Contrairement à ce qu'on pense de ce livre,
Baudelaire ne fait pas l'apologie du haschich; il le condamne puisqu'il fait état du potentiel de dépendance qu'il peut avoir sur le cerveau du poète.
J'ai apprécié, en revanche la traduction du texte de Thomas de Quincey, le fameux mangeur d'opium auquel
Baudelaire y a ajouté des paragraphes par-ci par-là.
Un livre plutôt intéressant.
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