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Anne Bayard-Sakai (Traducteur)
EAN : 9782070427604
195 pages
Gallimard (20/03/2003)
3.67/5   285 notes
Résumé :
Un respectable professeur d'université, à l'âge du démon de midi, ne parvient plus à satisfaire sa jeune femme dotée d'un tempérament excessif. Après avoir essayé divers excitants, il s'aperçoit que la jalousie est un incomparable stimulant.

Chacun des deux époux tient un journal, sachant très bien que l'autre le lit en cachette...

Un roman audacieux sur un sujet délicat.
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Critiques, Analyses et Avis (50) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 285 notes
"La clef" ouvre la porte d'un récit envoûtant, d'une construction remarquable.
Débutant sur la page d'un journal intime, celui de l'épouse, Tanizaki fait immédiatement entrer son lecteur dans l'intimité d'un couple. Le mari, professeur d'université de 56 ans n'arrive plus à satisfaire les besoins sexuels de sa femme, de 11 ans sa cadette. Il tente plusieurs traitements sans grand succès et puis un jour, il découvre que la jalousie est le plus puissant des stimulants. L'épouse, en femme vertueuse et docile, va alors se prêter à ce jeu pervers et écrira un journal destiné à alimenter les fantasmes sexuels de son mari. Tantôt victimes, tantôt bourreaux, les deux époux vont alors jouer l'un avec l'autre et surtout l'un contre l'autre. 

Tanizaki nous déroule le récit glaçant et précis d'une passion amoureuse, invitant le lecteur à observer cette lente destruction. Allez-y, nous dit-il, approchez, regardez comme les choses peuvent être entre deux êtres qui s'aiment encore sans plus parvenir à se rejoindre, sans plus parvenir à se parler.

Car au-delà de la lecture première d'un roman voyeuriste et malsain, Tanizaki nous offre un vrai roman d'amour. Comment ne pas être touché par la folie de cet homme sur le déclin qui aime encore sa femme de manière si totale, vénérant chez elle la moindre parcelle de son corps? Tanizaki nous manipule avec talent et nous donne sans doute une belle leçon d'humanité. Car enfin nous commençons "Cette confession impudique" avec un mari dominateur qui oblige sa femme à des choses dégradantes. Mais au fil du récit, un subtil changement d'éclairage nous fait voir soudain un pauvre homme qui se meurt d'amour. Notre jugement de lecteur en est ébranlé. Et n'est-ce pas pour nous faire comprendre que dans un couple, tout est si complexe qu'il faut bien se garder de juger.

Mais la clef est aussi un roman sur la condition de la femme au Japon en 1956. L'épouse est encore pétrie d'une éducation traditionnelle mais l'envie de modernité se fait sentir. On sent le socle qui se fissure, au grand dam peut-être de Tanizaki qui fait du kimono le symbole d'un érotisme révolu.

Le désir sans fin et la recherche du plaisir toujours plus intense ne peut conduire qu'à la mort, de la petite à la grande. Et comme souvent dans les oeuvres japonaises, "La clef" est habitée de cette fascination morbide. C'est un vertige qui entraîne vers le vide, vers le néant qui est l'aboutissement de tout. Une histoire qui nous ramène au célèbre film de Nagisa Oshima, "L'Empire des sens".
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Rien, absolument rien ne m'a séduite dans ce roman et j'en suis la première désolée !

D'abord, j'explique en deux mots pourquoi j'ai voulu le lire : premièrement, je n'avais jamais lu de littérature japonaise et c'était une carence qui devenait de plus en plus inacceptable à mes propres yeux et deuxièmement, j'avais lu la critique élogieuse d'andman sur cet opus et cela m'avait bien motivée.

Quand j'affirme que rien ne m'a plus dans ce roman, je n'exagère pas du tout.

Sa forme, tout d'abord.
Deux journaux intimes croisés, celui d'un mari et de son épouse. Ce n'est pas vraiment la forme en soi qui m'a déplu, j'ai déjà lu des journaux intimes, mais ce qui m'a complètement perturbée et peu convaincue, c'est que ces deux journaux sont sensés être à la fois intimes et lus en secret par l'autre conjoint, chaque conjoint-auteur de son propre journal ayant parfaitement connaissance du fait que son journal intime est lu par l'autre... Très complexe et alambiqué pour moi, trop. Je suis une fille simple et basique et j'aime quand les protagonistes (à plus forte raison des époux) se parlent directement. Je ne suis pas idiote, je comprends très bien que si l'auteur a choisi ce « scénario », c'est pour nous montrer combien la société bourgeoise japonaise de l'après-guerre est encore empreinte de ses traditions de pudeur et de retenue et que, justement, deux époux ne se parlent pas directement, de visu, mais, il n'empêche, je n'ai pas aimé, surtout qu'une fois qu'ils ont compris que leur conjoint lisait en secret leur journal, mari et femme écrivent toujours « dans l'hypothèse où il (elle) le lit en cachette » et cela rend, de mon point de vue, le style narratif très lourd. (Si vous n'avez pas tout compris aux dernières lignes que vous venez de lire, je ne peux vous en vouloir, tout ça reste très confus pour moi aussi !).

Le style de l'auteur (Gallimard, coll. Folio, traduction d'Anne Bayard-Sakai).
Est-ce à cause de la raison précédemment évoquée que, du coup, l'ensemble du récit m'a semblé d'un style très emprunté, peu naturel et pesant ? Ou bien ce style est-il propre à la littérature japonaise ? J'avoue ne pas avoir encore assez de recul pour en juger ; je vais devoir persévérer et lire d'autres auteurs nippons.

Le thème.
Un professeur d'université, pas loin d'être sexagénaire, se dit épuisé moralement et physiquement par l'appétit sexuel de sa séduisante femme, plus jeune que lui d'une douzaine d'années, nommée Ikuko. Instrumentalisant « l'amitié » du prétendant de leur fille pour sa femme, notre professeur va petit à petit organiser une sorte de cérémonie préliminaire à des soirées érotiques pendant lesquelles il aura tout loisir de profiter du corps (très bien conservé) de sa femme, créant pour cela une atmosphère propre à l'exciter en titillant sa jalousie et à lui rendre sa vigueur. Pour ce faire, il soûle sa femme au cognac qui, chaque soir, ne tarde pas à tomber inconsciente. S'ensuit une piqûre de calmant qui la rend assez inconsciente pour qu'elle n'ait plus qu'à « subir » lesdites « soirées érotiques » (photographies à son insu, examens corporels sous la lumière crue d'une lampe à néon, etc.) mais assez consciente tout de même pour qu'elle ressente toute la « volupté » de la situation. Là, encore, pour moi, des procédés très alambiqués (euh, pour ne pas dire « tordus »).

Bref, ennui et malaise vont très vite apparaître. Ces mêmes ennui et malaise que j'ai ressentis en visionnant le film de Julia Leigh, "Sleeping Beauty", adaptation du roman de Yasunari Kawabata, les "Belles Endormies".

Non seulement je n'aime pas qu'une femme soit droguée, soûlée ou sexuellement soumise de quelque autre façon que ce soit mais je dirais même que je ne le comprends pas, je ne l'accepte pas. Je ne trouve à ces situations aucun esthétisme, aucun art et aucune noblesse ; je n'y vois que dégradation et soumission... Je vous avais prévenus, je suis une fille simple et basique, voire, je vais finir par le croire, sans nuances ni subtilité.


Challenge ABC 2012 - 2013
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Tanizaki aurait pu faire sienne la fameuse citation de Pascal : «Le coeur a ses raisons que la raison ignore», lorsqu'il écrivit « La Clef : La Confession impudique». Il est en effet très rare de rencontrer des personnages de roman qui s'aiment avec autant de déraison.

Ikuko, une très belle femme de 45 ans, est mariée depuis plus de vingt ans à un professeur d'université de 11 ans son aîné.
Depuis quelques mois ils ne sont plus en phase au niveau de la libido, monsieur fatigue et a besoin de temps de récupération croissants tandis que madame au tempérament de feu est gagnée d'un sentiment d'intense déplaisir.

Plutôt que de parler ouvertement de leurs problèmes intimes, ils tiennent chacun de leur côté un journal en s'arrangeant pour qu'il soit lu en secret par l'autre. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, n'est-ce-pas ?

Ikuko a reçu de feu ses parents une stricte éducation confucéenne et s'est rangée à l'avis de ces derniers quant au choix de son mari. Depuis le début de la vie conjugale elle s'est efforcée de faire taire sa frustration.

Le couple a une fille de 20 ans Toshiko qui jalouse la beauté de sa mère. le prétendant de Toshiko, Kimura, vient régulièrement à la maison et le professeur se demande parfois si son épouse n'est pas plus éprise que leur fille de ce beau jeune homme.
En fait le professeur se complet dans la jalousie, synonyme pour lui de stimulant sexuel. Sa perversion va même jusqu'à profiter de l'ébriété occasionnelle de sa femme pour assouvir pendant son sommeil certains fantasmes qu'elle lui refuse depuis toujours.
Mais plus ou moins encouragée par le journal de son mari, la belle Ikuko, bien qu'elle écrive le contraire dans le sien, ne va pas tarder à atteindre avec le jeune Kimura le point de non retour…

La forme narrative de « La Clef » accentue encore le sentiment de dépravation de ce couple. le journal intime de l'un puis de l'autre sont dévoilés au lecteur, jour après jour, sur une période de quelques mois.
J'ai ressenti une certaine gêne au départ à pénétrer ainsi dans l'intimité de ce couple, gêne contrebalancée par l'impression première que les deux protagonistes jouaient cet étrange jeu épistolaire dans l'espoir de renforcer leur amour réciproque.
J'étais loin de me douter de la tournure tragique des évènements.
Malheureusement pour le professeur et sa femme, la psychanalyse, balbutiante, n'avait pas encore pignon sur rue dans le Japon de l'immédiat après-guerre !

Au final, un roman étonnant qui peut difficilement laisser le lecteur insensible. Je l'ai nettement préféré à « Svastika », également de Tanizaki, qui relate aussi une histoire de moeurs compliquée mais dont la fin m'avait laissé perplexe lors d'une récente lecture.
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C'est dans une compétition effrénée de confessions impudiques que l'on finit par trouver que plus aucune ne l'est. Certes, la Confession impudique a été publiée il y a plus d'un demi-siècle, mais ce n'est peut-être pas son âge qui rend cette oeuvre obsolète mais la nuance qui différencie la pudeur japonaise de la pudeur occidentale.


Ici, le moteur du plaisir charnel est défini en creux, par le manque et l'impossibilité d'assouvir ce qu'on imagine être le comble du plaisir. L'éducation ne semble pas donner la possibilité aux individus de se révéler dans le plaisir charnel. L'ignorance est à son comble et si Tanizaki fait s'interroger naïvement son personnage féminin (« Je ne connais pas d'autres hommes que mon mari, mais je me demande si tous les hommes sont aussi importuns ? Est-ce la coutume chez eux de se montrer aussi ennuyeusement collants pour se livrer à toutes sortes de jeux inutiles ? »), on finit par penser fermement que Tanizaki lui-même semble dépassé par les questions qui l'assaillent à propos du désir féminin. Les jeux auxquels se livrent les personnages s'avèrent rapidement fatigants et décevants dans leur quête d'une jouissance convenable qui permettrait de respecter la pudeur inculquée tout en s'octroyant un peu de joie personnelle.


« Mon mari parut arriver, comme d'habitude, au comble du plaisir, mais moi, comme d'habitude aussi, je restai insatisfaite. […] Mon mari reste confus de l'insuffisance de ses forces et s'en excuse chaque fois. Il me reproche d'être trop froide à son égard. Il veut dire que je suis, selon ses propres paroles, d'une endurance incomparable et d'une vigueur maladive dans ce domaine, mais ma manière d'opérer est trop routinière, trop traditionnelle, trop formaliste, dépourvue de variété. Pour les choses courantes de la vie je suis passive, pleine de retenue ; là seulement je suis exigeante, mais pourtant depuis vingt ans je ne sors pas de la même méthode et dans la même attitude. »


Ni distrayante ni excitante, la Confession impudique présente des personnages qui semblent au comble de la névrose, malades de leurs désirs inassouvis et incapables de les surmonter. Monomaniaques, cette Confession les décrit comme des êtres qui ne vivent plus que pour leurs jeux destructeurs. On peut les appréhender comme un exemple des ambivalences provoquées par une éducation sexuelle trop rigoureuse (voire une absence d'éducation sexuelle) ou –ce serait alors un corolaire réinvesti de sens- comme un exemple de dimensions du plaisir qui ne sont pas accessibles à ceux qui ont la permission d'assouvir tous leurs désirs dans des délais trop raisonnables.
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Un vieil homme et son épouse ne communiquent plus que par journal intime interposé. Incapables d'affronter une relation directe. Il s'en suit un chassé-croisé amoureux extrêmement pervers. Beaucoup de rebondissements dans cette intrigue que je trouve passionnante. Lorsqu'on n'a plus rien à se dire, lorsque l'on n'a plus confiance l'un dans l'autre, que reste-t-il de l'amour ? Des non-dits, de l'inavouable... Les japonais sont très forts à ce jeu là. Et ce roman de Tanizaki nous en restitue l'ambiance magistralement.
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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Une moitié de moi-même déteste violemment mon mari, mais une autre l'aime tout aussi violemment. Nous ne sommes en réalité pas faits pour nous entendre, mais je ne suis pas pour autant disposée à aimer quelqu'un d'autre. Je suis engluée dans de vieux idéaux de fidélité, et par nature incapable de les transgresser. Certes, cette façon perverse et insistante de me caresser m'est insupportable, mais, d'un autre côté, comme il est évident qu'il m'aime à la folie, je me sentirais coupable de ne pas le récompenser d'une manière ou d'une autre.
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A l'époque féodale, la vertu d'une femme voulant qu'elle se soumette absolument à son mari, elle se serait pliée à tous ces désirs, aussi infâmes ou répugnants qu'ils soient, et n'aurait d'ailleurs pas pu faire autrement.
A plus forte raison dois-je l'accepter de mon mari qui, sans les stimulations que lui procurent ces jeux insensés, est incapable d'accomplir l'acte de façon satisfaisante pour moi.
(...)
Je ne fais pas que remplir mon devoir. D'un certain point de vue, je demeure une épouse vertueuse et docile et, en échange, j'obtiens de lui qu'il comble mes appétits charnels dévorants.
(...)
Cela dit, je me demande pourquoi mon mari ne peut se contenter de me mettre nue, mais veut en plus me prendre en photos et, sans doute pour me les montrer, les fait agrandir et les colle dans son cahier.
(...)
La passion violente que suscite la jalousie, l'exacerbation des pulsions sexuelles obtenues grâce au spectacle inépuisable de ma femme nue, tout cela me conduit à une folie qui ne connaît pas de limite.
(...)
Pour l'instant, je suis infiniment plus porté sur la chose que ma femme. Quand je pense que, nuit après nuit, je suis plongé dans une extase que je n'aurais même pas osé imaginer en rêve, je ne peux m'empêcher d'être reconnaissant du bonheur qui m'échoit, mais en même temps, j'ai le pressentiment qu'un tel bonheur ne saurait durer, que tôt ou tard je devrai le payer, que minute après minute je rabote mon destin.
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C'était sûrement un rêve, mais existe-t-il des rêves aussi distincts, ayant un tel air de réalité ? Je me suis d'abord rendu compte tout d'un coup que je me trouvais au comble de la douleur physique et de la jouissance, et j'étais étonnée que mon mari puisse dégager une telle impression de vigueur et de puissance, jusqu'à ce que je comprenne que ce n'était pas mon mari, mais M. Kimura qui était sur moi. Etait-il resté chez nous pour me soigner ? Où était passé mon mari ? Pouvais-je me permettre un acte aussi contraire à la morale ? [...] Mais le plaisir était si intense qu'il m'ôtait les moyens de me poser ces questions. Jamais mon mari ne m'avait donné pareil plaisir. Cela n'avait absolument rien à voir avec ce qu'il me faisait goûter depuis vingt et quelques années que nous avions des rapports conjugaux, quelque chose de parfaitement tiède, inaccompli, et qui me laissait un arrière-goût des plus déplaisants. Rétrospectivement, il m'apparaissait que ça n'avait pas été de vrais rapports sexuels. Voilà ce que ça devait être, un véritable rapport. Et c'était M. Kimura qui me l'avait révélé. [...] Mais tout en me disant cela, je savais aussi, d'un autre côté, que c'était en partie un rêve. Je savais que si je croyais être étreinte par M. Kimura, cette impression ne valait que dans mon rêve, et qu'en réalité il s'agissait de mon mari - que, dans les bras de mon mari, je croyais être prise par M. Kimura.
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Je ne suis pas dépourvue de passion, mais, dans mon cas, elle est de nature a se concentrer au plus profond de moi-même, elle ne s'extériorise pas. Si je me contrains à l'extérioriser, alors elle disparaît à cet instant même. Mon mari refuse de comprendre que ma passion est comme une braise, qu'elle ne s'enflamme pas.
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Mon mari parut arriver, comme d’habitude, au comble du plaisir, mais moi, comme d’habitude aussi, je restai insatisfaite. […] Mon mari reste confus de l’insuffisance de ses forces et s’en excuse chaque fois. Il me reproche d’être trop froide à son égard. Il veut dire que je suis, selon ses propres paroles, d’une endurance incomparable et d’une vigueur maladive dans ce domaine, mais ma manière d’opérer est trop routinière, trop traditionnelle, trop formaliste, dépourvue de variété. Pour les choses courantes de la vie je suis passive, pleine de retenue ; là seulement je suis exigeante, mais pourtant depuis vingt ans je ne sors pas de la même méthode et dans la même attitude.
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