Le personnage du roman errait comme une épave, de page en page, se jetant sans conviction dans des aventures qui ne semblaient pas l'intéresser. A chaque nouveau feuillet, l'ombre impitoyable du "héros" apparaissait dans une incroyable lassitude, provoquant les bâillements attristés du lecteur. Celui-ci était complètement médusé par de pareilles inepties sorties de l'imagination d'un auteur si mal inspiré, et dont on ne retiendrait probablement pas le nom sur la couverture du livre... Pourtant, l'incroyable se produisit à la page six cent quatre-vingt-deux [...]
Le salon de Souffelweyersheim et TV-CS mettent à l'honneur l'émouvant petit livre de Laurent Bayart, « À pleins poumons », ouvrage autobiographique sur l'enfance de l'auteur, alors atteint de tuberculose, et sa rédemption par le vélo et l'écriture.