Il ne faudrait pas visiter Rome. Il faudrait l’habiter, la contempler à ses heures de suprême beauté, lui dire des mots d’amour dont une ville a l’air de sourire comme une femme. Et ce sont là des moments rares, imprévus, que les guides sont impuissants à préparer, dont la douceur prend l’âme, tout au fond. Tenez, vous revenez, par exemple, un soir, d’une course lointaine à quelque ruine, avec la lassitude de l’histoire, des notes érudites, de tout l’appareil destin...
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