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Agatha Raisin enquête tome 10 sur 34
EAN : 9782226400345
288 pages
Albin Michel (07/03/2018)
3.76/5   541 notes
Résumé :
Meurtrie d’avoir été abandonnée par James, l’amour de sa vie, Agatha Raisin s’en remet aux présages d’une diseuse de bonne aventure : elle trouvera l’amour, le vrai, dans le Norfolk. Qu’à cela ne tienne, Agatha quitte Carsely et s’installe dans un charmant cottage de Fryfam où elle attend le prince charmant en écrivant son premier roman policier : Panique au manoir. Un titre prédestiné car, après une série d’étranges phénomènes, le châtelain du village est assassin... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (93) Voir plus Ajouter une critique
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Dixième tome de la saga Agatha Raisin Enquête.👠

Lors de sa précédente aventure, Agatha avait pris contact avec une diseuse de bonne aventure qui lui avait affirmé qu'elle trouverait l'amour dans le Norfolk. Et comme la femme sensée qu'est Agatha, elle décide de suivre ce présage, et part pour Fryfam une petite bourgade de la région en question. Arrivée dans le village, Agatha est accueillie par les femmes du coin et leur ment en prétendant être là pour écrire son premier roman policier : Panique au Manoir où le gentleman farmer de l'histoire est retrouvé égorgé.
Mais dans la vie d'Agatha, rien n'est jamais normal. Voila que le gentleman farmer du manoir du coin, Tolly Trumpington-James est assassiné de la même manière. Les soupçons se portent rapidement sur Agatha qui décide de se disculper en menant l'enquête. Aidée de son sex-toy... pardon de son ami sir Charles Fraith, Agatha se lance dans une aventure rocambolesque.



Alors là, je dis ENFIN la fin ! Sérieusement, je ne comprends de moins en moins l'intérêt de cette série. Ma maman aimant ce style d'histoire et désirant compléter sa collection de livres, je lui achète les livres dès leurs sorties et j'en profite pour me faire une idée. Celui-ci est sans contexte celui qui surpasse les autres en raison de l'histoire qui part dans tous les sens.
Dès le début, je rencontre un problème. L'auteur dans le précédent tome Sale temps pour les sorcières nous laissait avec une Agatha avec trois chats (Scrabble ayant été recueilli au cours de l'histoire par Agatha) et le livre ne fait plus mention que de deux chats. M.C. Beaton trouve le moyen en une phrase dans le dernier chapitre de corriger cet oubli.


Ensuite, la relation amoureuse entre nos deux héros commence à sérieusement me gaver. Depuis deux ou trois livres, James et Agatha ne se parlent plus et ne se croisent plus. Mais voilà que l'auteur accélère le tout dans le dernier chapitre pour nous vendre une fin complètement idiote. Ne parlons pas non plus du fait qu'Agatha depuis quelques tomes ne cesse de succomber au charme de Sir Charles Fraith et de finir dans son lit. Sérieusement, c'est lassant de revoir les mêmes choses. D'ailleurs, cette tendance à craquer n'en rend Agatha que plus pathétique voire... en contradiction totale avec le personnage de femme forte affichée au départ.

Enfin, quelle intrigue insipide. Un village ressemblant à Carsely où Agatha enquête sur le meurtre d'un nanti du coin et tente de découvrir les secrets des habitants. le tout saupoudrer de pseudo fantastique avec des fées ... Les crimes et les mobiles sont souvent les mêmes et l'auteur semble s'être installé dans un cycle habituel du style Agatha arrive quelque part. Quelqu'un meurt. Agatha est accusée. Charles arrive pour l'aider. Ils couchent ensemble. Agatha résout l'affaire sans le faire exprès. Fin.

Bref, j'adhère de moins en moins avec cette saga. Et pour couronner le tout, la couverture qui souvent compensait la déception est tout simplement hideuse. Ce fond bleu avec la guirlande électrique sous forme de noeud coulant est sinistre et .... sans lien avec le récit. Il serait bon de revenir aux couvertures drôles des précédents tomes svp.
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Une nouvelle aventure d'Agatha Raisin qui me laisse dubitative. Lors de l'épisode précédent la belle quinquagénaire revenait chez elle avec un chat afin d'augmenter sa collection d'un troisième animal de compagnie.. ici ce chat disparait…. il n'y en a que deux ! Il semblerait qu'il ai disparu de la mémoire de l'auteure jusqu'à ce qu'un flash de "réminiscence" fasse effet et lui remémore l'existence de ce chat en toute fin de roman. Avec une explication plus ou moins tirée par les cheveux.

Un tome qui se lit toujours bien, mais qui au fond n'a aucun intérêt.


Néanmoins, ma curiosité me pousse quand même à savoir ce qu'il va advenir de James et Agatha, sans oublier Charles… du moins le relationnel Charles Agatha peut peut-être apporter quelque chose a la suite des aventures

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Un dixième tome toujours au top avec une Agatha au plus haut de sa forme qui décide d'aller faire un séjour dans le Norfolk pour une nouvelle tentative d'oublier James.
« le Norfolk était devenu une partie de l'East Anglia après l'invasion des Anglo-Saxons au Ve siècle. «North Folk», autrement dit le pays des gens du Nord. Cette région était à l'origine le plus grand marécage d'Angleterre. Les Romains avaient aménagé des étapes sur les sites en hauteur. Ils avaient essayé d'assécher le sol et construit quelques voies traversant les Fens, comme on appelle les marais. Mais après l'arrivée des Anglo-saxons, leurs travaux furent laissés à l'abandon et le premier système de drainage efficace ne fut mis en oeuvre qu'au XVIIe siècle, à l'aide d'une série de digues et de canaux.
Habituée aux routes sinueuses et aux collines des Cotswolds, Agatha trouva infiniment déprimant ce paysage sans relief qui s'étendait à perte de vue. »

Charles, mon personnage favori, l'a rejoint et tous deux vont enquêter sur une affaire de meurtre.
« « Allez, raconte-moi ce qui se passe ici. »
Tout en vaquant à ses tâches culinaires – ôter l'emballage en carton, percer la pellicule de film alimentaire et mettre les barquettes au micro-ondes –, Agatha lui raconta tout sur les fées de Fryfam et le vol du Stubbs.
« Pas de meurtre ? s'enquit Charles. En général, là où tu passes, les gens trépassent. »
Encore une fois, on passe un excellent moment. L'écriture de M.C Beaton et pleine d'humour et le personnage d'Agatha et on ne peut plus charismatique.
« Tout en descendant Pucks Lane d'un pas lourd, elle se dit qu'elle serait bien inspirée d'observer attentivement la campagne alentour. C'est ce que font les écrivains. Dans la haie à sa droite, elle aperçut les baies rouges des églantiers et des aubépines. Parfait. « Les baies rouges des églantiers et des aubépines luisaient comme des lampes ornées de pierreries... » Non, très mauvais. « Les baies écarlates des églantiers et de aubépines pendaient, telles des lampes, sur les... »
Non, à reformuler. « Des baies d'églantier constellaient les haies. » Non. Des baies ne peuvent pas consteller. Des fleurs, si. Pfff, quelle idée de vouloir être écrivain, de toute façon ! »

L'enquête est prenante et encore une fois bien menée ! En piètre enquêtrice que je suis, je pense avoir soupçonnée tout le monde sauf le(s) véritable(s) coupable(s). Mais chut, je n'en dis pas plus et je vous laisse découvrir cette nouvelle enquête, quant à moi, je file lire la suite.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Un tome un peu plus sympathique que le précédent. On retrouve cette ambiance année 1990 que j'aime beaucoup. D'autant qu'Agatha Raisin se rend dans une campagne très éloignée, en plein milieu du Norfolk. Comme de coutume, sa personnalité a tendance de faire bouger les choses, dans le bon sens comme dans le mauvais. Agatha Raisin aime donner son avis, se mêler des affaires d'autrui sans pour autant être une personnalité méchante. Au contraire, elle sait faire preuve de générosité. Là voilà donc partie avec ses deux chats, résolue à déménager vers d'autres contrées pour oublier James Lacey (si seulement...)
Comme de coutume, où qu'elle passe, quelqu'un trépasse. Rien d'autre que le hobereau du coin. Et voilà-t-y pas que notre Agatha s'est mise en tête d'écrire un roman où justement un hobereau se faisait assassiner de la même manière. La voici donc suspecte et résolue à prouver son innocence en enquêtant de son côté, secondée en cela par Charles.

Ce que j'aime bien, outre l'ambiance, ce sont ces personnages loin d'être parfaits, avec de gros défauts mais auxquels on s'attache tout de même. Sauf un. Qui est encore en filigrane malheureusement. Je veux bien sûr parler de James Lacey et de la toquade qu'Agatha peut avoir sur lui.

La fin annonce un tome suivant que je ne suis pas sûre d'apprécier. A voir. L'autrice semble vouloir donner à la vie amoureuse d'Agatha des allures de montagnes russes, mais des montagnes russes qui sont plus souvent en bas, qu'en haut. Aussi cette situation ne durera-t-elle peut-être que le temps d'un roman. Mais vraiment, à quand la fin définitive de cette idylle qui ne mène nulle part?
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Dixième tome des aventures d'Agatha Raisin, ce volume m'a beaucoup déçu et fortement ennuyé.
Agatha est toujours aussi volage, elle s'amourache du premier venu en cinq minutes, elle couche avec n'importe qui et le regrette aussitôt, elle prend de gros risques en fourrant son nez dans les affaires des autres et s'en mord les doigts à chaque fois, mais il faut dire à sa décharge qu'elle a une vie bien morne, vu qu'à part se mêler de ce qui ne la regarde pas, elle n'a aucun centre d'intérêt dans la vie si ce n'est son flirt avorté avec son voisin James et son obsession pour son apparence physique.
L'auteur a dû avoir une grosse baisse de régime car cette intrigue est vraiment légère, l'auteur a d'ailleurs oublié en route quelques éléments qu'elle avait créés dans le volume précédent et se rattrape de justesse juste avant la fin en mentionnant pas exemple le troisième chat d'Agatha qui revient comme par magie sur le tapis après avoir été oublié durant tout le roman.
La fin arrive brutalement, elle est ridicule et pathétique et je n'y ai pas cru un seul instant.
Bref, aucune surprise, pas d'humour et une énorme lassitude pour cette série.
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Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
« Quelle mouche t’a piquée ?
– Tu ne l’as peut-être pas remarqué, mais madame Sainte-Nitouche commençait à te faire du charme.
– Allons, Aggie, c’est juste une brave bourgeoise un peu vieux jeu.
– Continue à croire ça et tu vas bientôt te retrouver le nez sur sa petite culotte en soie.
– Ne sois pas vulgaire ! Si nous nous réincarnons tous, Aggie, je parie que tu reviendras en mouche, écrasée sur un pare-brise.
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« Allez, raconte-moi ce qui se passe ici. »
Tout en vaquant à ses tâches culinaires – ôter l’emballage en carton, percer la pellicule de film alimentaire et mettre les barquettes au micro-ondes –, Agatha lui raconta tout sur les fées de Fryfam et le vol du Stubbs.
« Pas de meurtre ? s’enquit Charles. En général, là où tu passes, les gens trépassent.
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Tout en descendant Pucks Lane d'un pas lourd, elle se dit qu'elle serait bien inspirée d'observer attentivement la campagne alentour. C'est ce que font les écrivains. Dans la haie à sa droite, elle aperçut les baies rouges des églantiers et des aubépines. Parfait. « Les baies rouges des églantiers et des aubépines luisaient comme des lampes ornées de pierreries... » Non, très mauvais. « Les baies écarlates des églantiers et de aubépines pendaient, telles des lampes, sur les... »
Non, à reformuler. « Des baies d’églantier constellaient les haies. » Non. Des baies ne peuvent pas consteller. Des fleurs, si. Pfff, quelle idée de vouloir être écrivain, de toute façon !
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- [...] Pourquoi le Norfolk et pourquoi ce village, comment s'appelle-t-il, déjà ? Fry... Farm?
- J'ai piqué une épingle au hasard sur une carte. Vous comprenez, une voyante m'a dit que je devrais aller là-bas.
- Et on s’étonne que les églises se vident, murmura Mrs Bloxby, comme pour elle-même. Avoir recours à des extralucides et à des voyantes traduit un manque de spiritualité.
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Elle avait déjà loué un cottage dans un village du Norfolk : Fryfam. Elle l’avait choisi à l’aveugle, ne connaissant ni le village, ni le Norfolk. Mais c’est là qu’une voyante lui avait prédit que son destin s’accomplirait. Son voisin immédiat, le grand amour de sa vie, James Lacey, avait déserté Carsely sans lui dire au revoir, aussi avait-elle décidé de s’installer là-bas et choisi un village en piquant une aiguille au hasard sur la carte. Un coup de téléphone au poste de police de la ville lui avait permis d’obtenir les coordonnées d’un agent immobilier, elle avait trouvé un cottage à louer, et il ne lui restait plus qu’à vendre le sien et à quitter les lieux.
Mais les acheteurs potentiels ne lui plaisaient pas. Soit les femmes étaient trop jolies – et Agatha ne voulait pas qu’une séduisante créature habite à côté de chez James –, soit elles étaient revêches et désagréables, et elle ne tenait pas à infliger leur présence aux villageois.
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Thème : Agatha Raisin enquête, tome 1 : La quiche fatale de M.C. BeatonCréer un quiz sur ce livre

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