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Agatha Raisin enquête tome 18 sur 34
EAN : 9782226436481
324 pages
Albin Michel (30/10/2019)
3.74/5   387 notes
Résumé :
Bientôt Noël. Le sapin sent le roussi pour Agatha Raisin qui ne digère toujours pas d'avoir été larguée par James Lacey. Pour se forcer à l'oublier, elle se lance à corps perdu dans la préparation du réveillon pour ses amis. Jusqu'à en faire une obsession...
Même le meurtre de Mrs Tamworthy, retrouvée morte après un repas arrosé à la ciguë ne la détourne pas de son but. Pourtant, la riche veuve avait prévenu Agatha : elle était convaincue qu'un membre de sa f... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (81) Voir plus Ajouter une critique
3,74

sur 387 notes
🎄☃️Dix-huitième tome d'Agatha Raisin Enquête.⛄️🎄

Octobre. Agatha pense déjà à son repas de Noël qu'elle désire digne des versions dickensienne. Mais bon, avant de parler de Noël, il faut penser boulot. Son agence de détectives marchant plutôt bien, les affaires de divorce, de disparition d'animaux lui rapportent un bon bénéfice. Mais voilà qu'au courrier, une lettre de Mrs Tamworthy chamboule cette quiétude avec sa demande de voir Agatha puisque l'un de ses enfants souhaiterait la tuer.
Agatha désirant vivre une aventure à la Hercule Poirot, décide de rencontrer cette dame. Lors du dîner d'anniversaire donner pour ses 80 ans, Mrs Tamworthy est retrouvée morte, empoisonnée...


Cette série n'a rien d'extraordinaire en soi avec des enquêtes répétitives, des situations vues et revues. le seul élément sympathique consiste à retrouver Agatha Raisin et se dire ; qu'est-ce qu'elle a encore trouvé comme moyen de s'attirer des ennuis ? Dans cette nouvelle aventure, Agatha se retrouve plongée dans les secrets d'une famille dysfonctionnelle. L'arrivée du nouveau personnage de Tony Gilmour permet également de faire surgir d'on ne sait où un pseudo instinct maternel la part d'Agatha Raisin.


Côté enquête, que dire si ce n'est qu'entre sorcelleries, corps nus dansant en exposant bourrelets et graisse disgracieuse, ambiance de village tendue... on est loin du cadre idyllique de l'Angleterre. Ajouter à cela une enquête trouvant ses racines dans un passé expéditif où Tony Gilmour résout une énigme vieille de plus de 40 ans en quelques minutes, et vous voilà déjà à la fin du livre en restant sur votre faim.


Le personnage d'Agatha Raisin semble cependant plus attractif dans cette aventure. Sa lubie pour James Lacey est certes bien présente, mais elle n'est plus le seul fer-de-lance du personnage. La lectrice que je suis était lassée de suivre Agatha s'accrocher aux basques de cet homme sans la moindre dignité. de même, Agatha commence également à se comporter en adulte avec Charles Fraith dont elle ne semble plus aussi sensible. Leurs défauts sont ENFIN perçus par Agatha Raisin ! Ce n'est pas trop tôt ❗️❗️


La couverture est certes superbe et le titre accrocheur, mais j'avoue avoir été déstabilisée par cette tromperie. En effet, j'attendais une aventure dans une atmosphère de fêtes, mais les faits sont antérieurs. Seule la dernière partie où Agatha organise son dîner concerne Noël pour ensuite estomper par un épilogue résumant les 6 mois suivants en quelques lignes.


Pour conclure, cette série malgré ses nombreux défauts reste attachante. Je commence à comprendre pourquoi l'éditeur n'en sort que deux tous les 6 mois... ainsi on a le temps de les digérer.🤪
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Un tome qui redonne un peu de peps a la série en intégrant un nouveau personnage. La jeune Tony fraîchement embauchée par Agatha.
Sa jeunesse et son caractère mette un coup de fraîcheur .

Sinon rien de nouveau sous le soleil. Une intrigue qui se tient, une lecture légère et récréative.
Une Agatha égale à elle , jalouse a souhait, et qui me fait quand même marrer par son côté naïf et fleur bleue.

Encore une fois une lecture sympathique sans prise de tête.
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Bof, bof, bof...
Je continue à lire cette série car je dois avoir l'âme d'une ado fleur bleue et je veux connaître la suite des aventures sentimentales d'Agatha Raisin, mais les enquêtes qu'elle mène sont de plus en plus répétitives.
Je les lis et je les oublie dans la foulée.
J'ai trouvé étrange que le titre se focalise sur Noël alors que toute l'enquête se déroule en octobre et novembre, seule la toute fin se déroule à Noël et il ne se passe franchement pas grand chose dans la vie d'Agatha.
Même ses amis les plus fidèles semblent la délaisser, ils sont à peine présents.
Hop, au suivant !
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Je me faisais une joie de découvrir l'univers d'Agatha Raisin pour la première fois avec ce 18ème tome acheté durant les fêtes.
Hélas, la mayonnaise n'a pas pris. le thé n'a pas infusé. Noël n'a pas été enchanté. Et cette lecture m'a laissée sur le carreau.
Dommage.
J'ai trouvé cette enquête digne de peu d'intérêt, l'écriture de M.C. Beaton très fade et le suspense totalement absent.
Les personnages, à l'exception de Toni sont d'un ennui déconcertant.
Peut-être n'étais-je pas prête pour ce genre de littérature anglaise en ce moment ? Il faut dire qu'au sortir de Chien-Loup, j'avais placé la barre très haut.
Je me suis fait mon idée : ma rencontre avec Agatha Raisin s'arrête là. Il n'y aura pas de prochain tome. Je quitte la campagne anglaise et je reprends ma route à la découverte de romans plus palpitants.
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« Apparemment, aucun n'avait jugé nécessaire de faire des frais pour offrir à la vieille dame un présent convenable. Elle reçut plusieurs livres qu'Agatha identifia comme des ouvrages soldés dans les librairies écoulant les invendus. Jimmy donna à sa mère une bouillotte en forme d'ours en peluche. Fran s'était fendue d'un collier : Agatha avait vu le même au rayon bijouterie de Marks and Spencer. Sadie regarda Agatha et Charles avec insistance. « Vous n'avez pas apporté de cadeau à maman ?
- Pas eu le temps de passer chez Emmaüs », souffla Charles. »

Il faut dire que la « birthday girl » du jour, cette vieille teigne de Phyllis, n'est pas du genre sympatoche. Et l'enquête que mènera Agatha, aidée par ses chevaliers servants habituels et, c'est une première dans cette série, par une jeune fille débrouillarde, Toni, démontrera qu'elle avait beaucoup de choses à se reprocher. Ce qui explique qu'on lui ait fait le coup de la cigüe dans la salade de crudités.

Que voulez-vous, tout mon capital sympathie continue à aller à cette série, qui n'est objectivement pas d'une audace inouïe… C'était le dix-huitième volume, et il y a fort à parier que je lirai le suivant.

Ah oui, le titre : même si on en est encore loin au début du roman, Agatha tient à organiser un repas de Noël parfait, pour faire oublier la déconvenue d'un autre, de sinistre mémoire (narré dans une réjouissante nouvelle offerte en bonus par l'éditeur il y a un peu plus d'un an de ça).
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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Sitôt le café servi, les membres de la famille sortirent l’un après l’autre pour aller chercher leur cadeau. Apparemment, aucun n’avait jugé nécessaire de faire des frais pour offrir à la vieille dame un présent convenable. Elle reçut plusieurs livres qu’Agatha identifia comme des ouvrages soldés dans les librairies écoulant les invendus. Jimmy donna à sa mère une bouillotte en forme d’ours en peluche. Fran s’était fendue d’un collier : Agatha avait vu le même au rayon bijouterie de Marks & Spencer.
Sadie regarda Agatha et Charles avec insistance. « Vous n’avez pas apporté de cadeau à maman ?
– Pas eu le temps de passer chez Emmaüs », souffla Charles.
Agatha sentit le fou rire la gagner. Elle essaya de lutter, mais en vain, et s’esclaffa sans pouvoir s’arrêter.
La voix de Phyllis s’éleva au-dessus du brouhaha : « Je n’avais pas prévenu Agatha que c’était mon anniversaire. »
Agatha se ressaisit, s’essuya les yeux et s’excusa sous les regards soupçonneux de la famille.
C’est alors que, juste au moment où tous sauf Phyllis faisaient la grimace en essayant d’avaler leur vin de sureau, s’éleva la petite voix de Jennifer.
« Ma grand-mère, annonça-t-elle, faisant allusion à Sadie, dit que c’est pas la peine de te donner quelque chose de beau parce que tu vas tous nous entuber. »
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« Je vous sers un sherry ? proposa Agatha. Vous paraissez épuisée.
– Alf a pris froid. » Alf était le pasteur, et Agatha trouvait ce nom ridicule pour un ecclésiastique. Peregrine, Clarence, Digby, ou un prénom de ce style, voilà qui aurait été mieux. « J’ai fait les visites aux paroissiens à sa place. Honnêtement, la moitié d’entre eux ne se donnent même pas la peine de venir à l’église. »
Agatha posa un verre de sherry en face d’elle et déclara :
« Je suppose que personne ne craint plus Dieu. Or les gens aiment bien se faire peur.
– Cynique, mais juste. La nouvelle religion, c’est l’écologie. “La planète est en train de mourir, les calottes glaciaires fondent, et c’est entièrement votre faute, à vous autres pécheurs.”
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So although it was only early October, she tried to fill her mind with thoughts of Christmas. Unlike quite a number of perople, Agatha had not given up on Christmas. To have the perfect Christmas had been a childhood dream whilst surviving a rough upbringing in Birmingham slum. Holly berries glistened, snow fell gently outside, and inside, all was Dickensian jollity. And in her dreams, James Lacey kissed her under the midletoe, and, like a middle-aged sleeping beauty, she would awake to passion once more.
Her friend, the vicar's wife, Mrs. Bloxby, had once pointed out that Christmas was to celebrate the birth of Christ, but Agatha's mind shied away from that. To her, Christmas was more Hollywood than church.
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À la différence de beaucoup d’autres, Agatha n’avait pas renoncé à la magie de Noël. Pendant l’enfance et l’adolescence difficiles qu’elle avait vécues dans un taudis de Birmingham, elle en avait rêvé, de ce Noël parfait, du houx resplendissant, de la neige tombant doucement au-dehors pendant que, dans la maison, tout ne serait que festivités dignes de Dickens. Dans ce tableau idyllique, James Lacey l’embrassait sous le gui et, telle une Belle au bois dormant entre deux âges, elle s’éveillait de nouveau à la passion.
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Il y a un champ dont on ne se sert jamais de l’autre côté des deux hectares et demi de terres agricoles, et sur lequel se trouvent des maisons en ruine. Elles étaient une dizaine au XIXe siècle. Le manoir appartenait à un certain Jeremy Twistle. Il a expulsé les locataires parce qu’il voulait mettre plus de terres en culture. Mais il est mort avant d’avoir pu mettre ce projet à exécution, et les maisons sont tombées en ruine. Mrs Tamworthy a fait valoir que comme ces terres n’avaient jamais été utilisées pour l’agriculture, elle avait le droit de construire dessus, et elle a obtenu un permis. Nous, on ne voulait pas en entendre parler.
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