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Agatha Raisin enquête tome 21 sur 34
EAN : 9781200807163
Robinson Publishing (21/04/2011)
3.81/5   273 notes
Résumé :
Le Noël qui s'annonce dans le village de Carsely sent le sapin... John Sunday, membre de la Commission de santé et de sécurité, menace de mettre fin aux traditions si chères aux habitants. L'arbre de Noël sur le toit de l'église ? Un danger public. Les décorations accrochées aux réverbères ? Inutiles. Les jouets réalisés par une villageoise ? Nocifs pour les enfants. Foutaises ! protestent les membres de la Société des dames du village : il faut mettre ce trouble-fê... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (45) Voir plus Ajouter une critique
3,81

sur 273 notes
J'avais prévenu que j'avais besoin de lire des choses légères... Et pour ça rien de mieux qu'un Agatha Raisin.
Pas de prise de tête, la lecture est aisée, parfois même complètement loufoque, et qui prête a sourire.

En tout cas Agatha a bien du mal a accepter les années qui passent... Je n'ai pas compté le nombre de ravalement de façade mais y'en a quand même quelques uns... J'ai adoré celui dans la voiture d'ailleurs.

Après si le personnage d'Agatha Raisin m'agace par certains côté j'apprécie malgré tout son cynisme qui me fait bien rire.

Je finis donc l'année en légèreté.
Bon réveillon et meilleurs voeux a tous !
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Un homme est assassiné, mais comme c'était un membre d'une commission de sécurité particulièrement à cheval sur les règlements et qu'il empêchait tout le monde de vivre, personne ne le regrette beaucoup.
Mais du coup, les suspects sont nombreux !
Au bout d'une vingtaine de tomes de cette série, ça fait quand même un bon paquet de morts dans la jolie campagne anglaise où vit notre héroïne Agatha Raisin, surtout qu'il y en a généralement deux ou trois par volume...ce n'est évidemment plus très crédible, mais c'est ça qui est drôle.
Dans ce volume, Agatha m'a semblé encore plus futile que dans les précédents romans, elle passe en effet son temps à vérifier son allure dans le miroir, même en pleine enquête.
Un interrogatoire de prévu ? Vite, un miroir !
Un homme lui parle gentiment ? Et hop, elle part se remaquiller.
Un journaliste pointe son nez à l'horizon ? Et la voila qui court se changer en vitesse et se refaire une beauté pour éliminer ses cernes et ses poils de moustache !
Elle est ridicule mais c'est ça qui la rend si drôle car ses réactions n'ont rien de normales.
L'enquête est assez prévisible, mais j'ai passé un bon moment de détente et parfois on ne demande rien de plus.
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Dans un village voisin de Carsely, John Sunday, un membre de la Commission de santé et de sécurité est retrouvé lardé de coups de couteau. Personne ne semble vraiment regretter cet empêcheur de tourner en rond, bien au contraire. Bon débarras ! N'importe quel habitant du village pourrait bien avoir fait le coup. Seraient-ils tous de mèche ?
L'enquête piétine et Agatha va donc, comme à son habitude, jouer les fouines en fourrant son nez partout...

Une lecture assez prévisible mais distrayante et bourrée d'humour.
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Echaudée par ses précédentes tentatives de vivre le parfait Noël Dickensien, Agatha a décidé de partir en vacances au soleil, en Corse. Après quelques déconvenues, elle décide finalement qu'elle peut très bien s'abstenir de fêter Noël tout en restant chez elle ! Mais de retour dans les Costwolds, elle se rend compte qu'on lui a facilité la tâche : point de sapin sur l'église, point de guirlandes lumineuses kitchs sur les façades des maisons, point d'ampoules sur les réverbères ! le coupable ? John Sunday, membre de la Commission de santé et de sécurité, qui a réussi à se mettre tout Carsely et les villages alentours à dos avec ses normes excessives ! Alors bien sûr, il ne faudra pas s'étonner de le retrouver avec un couteau de cuisine dans le dos !

Et nous voici donc de retour à Carsely pour le 21e tome (déjà!) des aventures d'Agatha Raisin. Je sais, la parution est bien plus avancée, mais je fais durer le plaisir en suivant les achats de ma médiathèque et en me contentant d'un tome tous les deux ou trois mois.

J'ai trouvé celui ci particulièrement réussi, nous changeons un peu de construction par rapport aux tomes précédents et c'était agréable. Ici, l'intrigue va se dérouler sur toute une année, d'un Noël à l'autre. C'est donc une enquête riche, avec des événements annexes, des enquêtes complémentaires plus ou moins liées à l'enquête principale. J'ai beaucoup aimé cette construction qui nous permet de voir tour à tour tous les personnages auxquels nous sommes attachés dans l'entourage d'Agatha.
Pour mon plus grand plaisir, peu de James, moi je suis team Charles, même si j'aimerais bien qu'il gagne un peu en maturité ! Enfin, question maturité, Agatha n'est pas un modèle non plus, me direz-vous ! Comme d'habitude, notre midinette (enfin opérée de la hanche!) tombera dans les bras du premier play boy venu, quitte à y laisser sa peau! Mais c'était très touchant de la voir s'inquiéter pour Roy, ou pour Toni (même si nous savons que le mieux est l'ennemi du bien, Agatha ne l'a pas encore compris, elle). Et je ris toujours de voir les mamies des Costwolds toutes plus désagréables les unes que les autres ! Franchement, les gens sont tous détestables là-bas !

C'est toujours aussi drôle et addictif. Vivement la suite !
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Revoilà Agatha pour sa vingt-et-unième enquête, qui, si j'ai bien compté, dure un an, d'un Noël à l'autre. Et elle en connaîtra, des rebondissements, Agatha, au cours de cette année. Des événements malheureux, dramatiques surviendront, dont elle se sentira responsable. Or, mon jugement est simple : elle n'est ni responsable, ni coupable, ni elle ni Toni ne peuvent aider une personne qui s'enfonce de plus en plus, en dépit de l'aide reçue. Agatha a fort à faire aussi parce qu'après une vingtaine d'enquêtes, elle a tout de même acquis une certaine réputation avec son agence de détectives : soit l'on pense qu'elle est une bonne enquêtrice (elle s'est tout de même nettement améliorée) soit comme le chef de la police, ou d'autres encore, on ne la voit que comme une empêcheuse d'enquêter en rond, une femme qui trouve par hasard des faits qui bousculent l'ordre des choses, et on la sous-estime grandement. Ceux qui en veulent vraiment à Agatha (et je ne parle pas du pasteur Bloxby qui ne l'a jamais supporté, c'est autre chose) ont très souvent quelque chose, voire plusieurs choses à se reprocher. Prenons Dan, un journaliste qui a déversé son fiel, grâce à un rédacteur en chef pas très regardant (le népotisme mène à tout, même à bafouer la charte des journalistes) : il est très réellement un mauvais journaliste, bidouillant largement ses reportages, et se servant de son pouvoir pour quelques abus machistes. S'il n'a pas oublié ce que lui a fait Agatha (à juste raison) quand elle travaillait dans la communication, il aurait dû se souvenir aussi qu'elle n'avait rien perdu de son mordant.
Je parle, je parle, et je m'écarte du sujet premier de ce roman : un empêcheur de fêter Noël en rond, une personne qui tient à tout prix à ce que les règles, les lois soient respectées. Il ne s'agit pas de quelqu'un qui pense à la sécurité de tous, non juste d'une personne qui possède un petit pouvoir et qui s'en sert. Aussi, sa mort ne suscite pas vraiment l'indignation, plutôt le soulagement, même chez ses collègues. Son décès est suivi d'un autre, une femme qui, comme très souvent dans les enquêtes d'Agatha Raisin – c'est le ressort obligatoire – avait trouvé le coupable, et au lieu de prévenir la police, l'avait clamé sur les toits – sans révéler le nom, bien entendu. Elle non plus ne suscite pas vraiment la désespérance, ses enfants ne font même le trajet des Etats-Unis pour enterrer leur mère, nouvelle châtelaine de ce charmant petit village – oui, Carsely n'est pas le seul village à compter quelques criminels. Par contre, pour l'héritage, ou pour demander à Agatha d'enquêter, le fils Tom est capable de faire le déplacement. Il est capable de draguer aussi Agatha, dont la vie sentimentale est pour le moins au point mort – ou presque. Agatha semble enfin débarrassée de son obsession pour James. Certes, elle est encore obsédée par son apparence, même si elle est lucide sur son apparence, sur la lutte que mènent les femmes pour rester attirantes en dépit du temps qui passe, alors que les hommes ne font pas grand chose, parce qu'on ne leur demande pas grand chose. Elle se mêle aussi de la vie sentimentale des autres, comme celle de Toni. Il faut dire que la jeune femme n'a pas été très gâtée jusqu'à présent, et qu'Agatha ne voudrait pas la voir commettre des erreurs – ni elle, ni le garçon qui l'aime « peut-être ». Oui, le peut-être me gène aussi, surtout que ce sont surtout les femmes qui payent les conséquences. Toni est une excellente enquêtrice – et Agatha ne veut pas la perdre.
Et James ? Il aide Agatha dans son enquête, aussi curieux que cela puisse paraître. Lui semble avoir des regrets, et Agatha ne pas manquer d'humour face à un homme qui l'a toujours jugé sévèrement. Alors, que se passera-t-il ensuite ? Il reste encore une dizaine de titres à traduire avant d'avoir (ou pas) le fin mot définitif sur la plus longue histoire d'amour des romans policiers.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
By the time she got to Charles de Gaulle, she had a sore throat and was cursing that she now had to leave by terminal 2E instead of the former 2F. The terminal was huge and bewildering and check-in in chaotic. The only bright spot was when the man checking her bags through security asked to see her passport. He studies her photograph. "This, madame," he said, "is the photograph of a beautiful woman, and you are even more beautiful today."
Agatha, accustomed to the French ability to flirt, answered , "Monsieur, such a compliment coming from a handsome man like yourself makes me feel beautiful." He smiled, everyone in security smiled, and Agatha felt a glow. Aren't the French marvellous when it comes to flirting, she thought.
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Pourquoi, se demanda-t-elle amèrement, une femme dans la cinquantaine devait-elle entamer la longue bataille perdue d'avance contre le naufrage de son apparence, tandis que les hommes, si tant est qu'ils n'aient pas de bedaine, pouvaient vieillir avec dignité?
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Lorsqu’elle arriva à Odley Cruesis, Agatha vit que la police était déjà sur place et qu’on embarquait Roy dans une ambulance. Elle aperçut Bill Wong et se précipita vers lui. « Il est vivant ?
- Tout juste. Il a reçu un mauvais coup.
- Je vais l’accompagner à l’hôpital.
- Agatha, vous avez bu.
- Et alors ? Je ne compte pas conduire l’ambulance ! »
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« Voici mon joyau », annonça Miriam avec fierté en les menant dans le hall principal.
Charles balaya du regard les armures étincelantes, la longue table de réfectoire, les hallebardes croisées sur le mur, les bannières en lambeaux, les copies de torches moyenâgeuses alimentées au gaz et réprima un sourire. Il doutait qu’un seul des objets de cette pièce soit authentique. Mais à l’évidence, Agatha était jalouse de Miriam et il ne pouvait résister à l’envie de l’asticoter. Peut-être qu’Agatha finirait par reconnaître chez la millionnaire certains de ses propres défauts, son arrivisme, par exemple, et qu’elle les corrigerait un peu.
« Ravissant ! » s’exclama-t-il.
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- Je vais vous dire ce que nous avions en commun, grogna Tilly. Une haine de toutes les punaises de sacristie bornées et hypocrites qui peuplent ce village.
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