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Agatha Raisin enquête tome 26 sur 34
EAN : 9782226444257
342 pages
Albin Michel (03/03/2021)
3.78/5   208 notes
Résumé :
À peine installée à Carsely, Jill Davent, une psychologue aux airs prétentieux, attire déjà l’antipathie. Non seulement elle flirte avec James, l’ex-mari d’Agatha, mais en plus elle fouine dans le passé de l’enquêtrice : la petite peste a même engagé un détective privé pour lever le voile sur ses origines… jugées populaires ! Excédée, Agatha la menace aux yeux de tous. Pas de chance, deux jours plus tard, Jill est retrouvée étranglée, et la première suspecte est tou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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Ce qu'il y a de formidable avec Agatha Raisin c'est qu'elle ne vieillit pas.
Au début de la série, elle avait une petite cinquantaine d'années et dans ce 26ème volume, elle a toujours le même âge !
Elle est toujours aussi sans- gêne, stupide, elle fourre son nez là où il ne faudrait pas, elle s'attire des ennuis à chaque fois, elle risque sa vie dans pratiquement tous les volumes et pourtant, elle continue d'enquêter sur des crimes...
Elle est censée vivre dans un paisible petit village anglais, mais tous les 3 mois ou presque, il s'y produit un ou plusieurs meurtres affreux, ce qui ne donne que moyennement envie d'aller s'installer à la campagne !
Ajoutez à cela qu'Agatha à la maturité d'une ado de 15 ans et qu'elle tombe amoureuse de tous les hommes à la ronde sans exception ou presque...
Dans ce volume, c'est la nouvelle psy du village qui va être assassinée.
Pas de grand changement par rapport aux volumes précédents, la recette est toujours la même, des meurtres, des amourettes, des situations ridicules ou dangereuses...je suis souvent déçue mais je ne peux m'empêcher de lire le suivant à chaque fois !
Distrayant et oubliable, parfois on n'a besoin de rien d'autre !

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Toujours autant de plaisir à retrouver notre chère Agatha et ses collègues et amis. Cette fois elle fait fort car un tueur en série sévit dans son village. Dans cette enquête il y a beaucoup de rebondissements et d'intrigues. J'adore cette série qui se lit assez facilement.
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Avant-dernier volume des aventures d'Agatha Raisin, la détective de choc des Costwolds... Soyons honnête, ce n'est pas ma tasse de thé 😉😄 Mais si je ne suis pas la cible, je ne dénie pas à ces histoires très anglaises un certain charme. 
Pour ceux qui ne connaîtraient pas la dame malgré la série télé, pas désagréable d'ailleurs, la charmante Agatha est une détective "de village" arrivée de Londres avec ses chats et ses talons aiguilles dans l'improbable village de Carsely. Entre nous, la campagne anglaise qui nous charme avec ses cottages aux toits de chaume et ses jardins fleuris est le lieu de tous les dangers. Meurtres, chantages fleurissent à tous les coins de rue. de l'Inspecteur Morse à Barnaby ou Agatha, on s'entretue férocement entre deux tasses de thé et trois rosiers...
Notre détective voit arriver dans SON village la détestable Jill Davent, pseudo thérapeute, qui ne tarde pas à faire courir des rumeurs sur elle. Ambiance au vitriol qui ne va pas durer puisque très vite la nouvelle psy locale est retrouvée étranglée. Ladite Jill aussi thérapeute que moi athlète olympique, mi-escort girl mi-maître-chanteur, a bien dû déranger quelqu'un. Enquêtant sur la mort de son ennemie, Agatha sera victime de plusieurs tentatives de meurtre, draguera tout beau mâle épousable qui passe, prendra des drogues à son insu, mettra sur le gril quasiment toutes les femmes du village, suspectera tout le monde ou presque et se gavera de gin-tonic... 😁 Une jolie série de meurtres faisant baisser dangereusement la population locale, quelques suicides, des fleurs mortelles... ce ne sont pas les péripéties qui manquent. Évidemment, notre héroïne finira par trouver le/la coupable avant d'être enterrée vivante ! 
On est chez MC Beaton donc tout finit bien, on enchaîne même directement sur le n°27 dans les toutes dernières pages. 
A réserver aux fans donc, c'est sympathique, facile à lire, distrayant et très anglais. Agatha est elle aussi sympathique et j'irai volontiers prendre le thé (elle a des chats)... On ne s'ennuie pas mais ce n'est pas pour moi.
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Roy : "...quoi de neuf à Crimeville ?" (p.254)
Eh bien, nous avons là 5 meurtres en 150 pages +1 tentative de meurtre sur notre chère Agatha dont les nerds commencent à lâcher...
C'est sûr qu'au bout de 26 tomes, on n'a plus ce petit truc qui rendait les premiers tomes si attractifs, malgré tout, je tiens à les lire tous !
Nous commençons dans ce tome par le meurtre de la dernière venue de Carsely, Jill, une psychologue. Mais qui ? Comment ? Ce sera à Agatha et son agence de détective de nous le dire...
Bon, on tourne un peu en rond mais c'est toujours sympathique :)
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Pour bien comprendre ce tome, il faut avoir lu le précédent.
Est ce que Agatha Raisin va évolué un jour ? C'est le 26eme tome et elle n'a pratiquement pas changé que cela soit physiquement ( elle ne vieillit jamais ? ) que mentalement ( il peut y avoir de légères évolutions). Dès qu'un homme entre dans la balance, les défauts sont de retour ! Et puis bien souvent cet homme veut la tuer....
Quant à Charles et James, vont ils enfin se décider à agir la concernant ? On dirait des courants d'airs ! Et puis avoir mauvaise conscience ou ne pas du tout en avoir envers notre enquêtrice surtout quand elle pas au plus prêt de la mort cela va 5 minutes !
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Leur apparence était étonnamment semblable : même grosse bouche boudeuse de merlu, même bronzage de salon de beauté, mêmes vêtements coûteux, même silhouette impeccable entretenue à grand renfort de régimes draconiens et de séances avec un coach sportif.

Les femmes avaient-elles des « maris-trophées » ? se demanda Agatha. Bien qu’elle ne soit plus amoureuse de James, songea-t-elle avec mélancolie, peut-être voulait-elle qu’il reste quand même célibataire pour avoir tout loisir de jouir de sa flatteuse compagnie, comme pour dire aux gens : « Regardez le beau poisson que j’ai ferré. »
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Enfin, l’analyse révéla que la feuille était issue d’un plant d’Aconitum napellus, ou plus simplement aconit, une renonculacée mortellement vénéneuse. On s’en servait autrefois pour tuer les loups et les chiens enragés, raison pour laquelle la plante était populairement appelée « tue-loup ». Toutes ses parties étaient redoutablement toxiques, et il n’était même pas besoin de l’ingérer pour que mort s’ensuive : le poison pouvait être absorbé par les pores de la peau. Elle ressemblait à un inoffensif delphinium et la couleur la plus commune de ses fleurs était le violet.
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Agatha n’y avait pas pensé. D’un autre côté, il y avait des années que Doris s’occupait comme personne de son cottage et se chargeait de ses deux chats quand elle s’éloignait de Carsely. Elle haussa les épaules.
« Bah ! Faisons-le quand même, dit-elle. Marché conclu ?
– Oh, Agatha, vous êtes une sainte ! Puisse le bon Dieu vous faire vivre jusqu’à cent ans. »
Mais dans l’obscurité nocturne des Cotswolds, quelqu’un projetait déjà d’envoyer Agatha Raisin ad patres à un âge beaucoup moins avancé.
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Tandis qu’un Mark enthousiaste exposait à James ses ambitions en matière d’écriture, Agatha se rendit compte que peu lui importait à quel genre de bouquin il s’attellerait, qu’il s’agisse de fiction ou d’autre chose. James, pour sa part, comprit qu’en tant que lecteur Mark avait une prédilection pour les récits d’espionnage et lui suggéra d’en écrire un en se fondant sur son expérience à Dubaï. Agatha, cependant, commençait à se dire qu’il y avait en Mark quelque chose du collégien.
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A cet instant même, Charles, qui avait fait un saut chez Agatha sans la trouver, frappait à la porte de James. Il lui demanda s'il savait où elle était passée. James se lança dans une diatribe sur le manque de moralité d'Agatha, qu'il conclut par ces mots :
"Je ne la crois pas une seconde quand elle me dit que ce n'est pas un rendez-vous galant et qu'elle n'y va que pour les besoins de son enquête.
- Je pourrais essayer de vérifier, dit Charles. Il habite où, ce Davent ? "
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