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Critique de Phoenicia
C'est toujours un plaisir pour moi de sortir de ma bibliothèque un opus d'Agatha Raisin. La couverture en elle-même donne le ton. Toujours très travaillée, on sent la pointe d'humour cynique qui ne manquera pas à la lecture.
Notre Miss Marple des temps modernes n'est pas épargnée dans ce tome. Un conseil municipal est en désaccord sur la commercialisation d'une eau de source. La fontaine, macabre, est ornée d'une tête de mort. Agatha Raisin est engagée en free lance dans l'entreprise qui cherche à la commercialiser. Toujours pas loin, un crime pointe le bout de son nez : le président du conseil municipal est assassiné et retrouvé mort dans cette fontaine. Un lien avec cette commercialisation? On peut le supposer. Sauf que c'est oublier bien vite que les membres du conseil municipal sont à couteaux tirés, pleins de rancunes, de vexations et de jalousies les uns envers les autres.
On retrouve le climat de la campagne anglaise, un décor particulier qui me séduit lorsque je lis les Agatha Raisin. On retrouve également les amours d'Agatha, un fait que j'apprécie de moins en moins. Je me passerai bien des montagnes russes concernant la relation James-Agatha. Hormis cela, Agatha est sur le coup, secondée par James et Roy. L'un est rancunier, l'autre, carriériste et intéressé. Des alliés qui ne sont pas d'un grand soutien moral pour une Agatha insultée et menacée en permanence dans cet opus. Répliques cinglantes sont au rendez-vous, offrant une dose d'humour bienvenue.
Je pense qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu la série entière pour lire ce tome. On retrouve la recette habituelle de cette série : je n'ai pas l'impression pour l'instant qu'un tome soit au-dessus d'un autre. J'apprécie de les lire cependant espacés les uns des autres. Trop semblables sur bien des points et surtout ayant peu d'évolutions sur les personnages et leurs relations, les lire d'une traite doit être quelque peu rébarbatif. En lire un de temps en temps, selon son humeur, leur donne, à mon sens, davantage de saveur lorsque l'on recherche de la légèreté.
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Séries 2021
Notre Miss Marple des temps modernes n'est pas épargnée dans ce tome. Un conseil municipal est en désaccord sur la commercialisation d'une eau de source. La fontaine, macabre, est ornée d'une tête de mort. Agatha Raisin est engagée en free lance dans l'entreprise qui cherche à la commercialiser. Toujours pas loin, un crime pointe le bout de son nez : le président du conseil municipal est assassiné et retrouvé mort dans cette fontaine. Un lien avec cette commercialisation? On peut le supposer. Sauf que c'est oublier bien vite que les membres du conseil municipal sont à couteaux tirés, pleins de rancunes, de vexations et de jalousies les uns envers les autres.
On retrouve le climat de la campagne anglaise, un décor particulier qui me séduit lorsque je lis les Agatha Raisin. On retrouve également les amours d'Agatha, un fait que j'apprécie de moins en moins. Je me passerai bien des montagnes russes concernant la relation James-Agatha. Hormis cela, Agatha est sur le coup, secondée par James et Roy. L'un est rancunier, l'autre, carriériste et intéressé. Des alliés qui ne sont pas d'un grand soutien moral pour une Agatha insultée et menacée en permanence dans cet opus. Répliques cinglantes sont au rendez-vous, offrant une dose d'humour bienvenue.
Je pense qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu la série entière pour lire ce tome. On retrouve la recette habituelle de cette série : je n'ai pas l'impression pour l'instant qu'un tome soit au-dessus d'un autre. J'apprécie de les lire cependant espacés les uns des autres. Trop semblables sur bien des points et surtout ayant peu d'évolutions sur les personnages et leurs relations, les lire d'une traite doit être quelque peu rébarbatif. En lire un de temps en temps, selon son humeur, leur donne, à mon sens, davantage de saveur lorsque l'on recherche de la légèreté.
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Séries 2021
