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Critique de Fanfanhouari
J' ai essayé, j'ai tenu bon ,j'ai réussi à le finir après m' avoir dit à chaque fin de page :" abandonné,il y a tant de livres qui t ' attendent."
Je me suis ennuyée, je me suis même carrément sentie mal.
Je n'ai pas compris cet etalage de mots balancés et passant du coq à l' âne.
Pourtant tout était là pour faire de ce livre un merveilleux roman.
Une dame entre deux ages qui cache en elle bien des souffrances, un enfant abandonné par sa mère, des voisins plein de vie ,une intrigue pour retrouver cette mère, une histoire d'amour ,une histoire d' abandon ,une histoire de vie belle et tragique .
Mais je n'ai pas compris pourquoi l' auteur a appelé son livre Juliette Pomerleau puisqu'il appelait son heroine l' obèse comme si c' était son identité.
Je n' ai pas compris ce fouilli qui était indigeste tant il se perdait dans d'innombrables détails, d' innombrables paroles vides ,d' innombrables blablas ennuyeux.
J' ai retenu quelques expressions rigolotes mais qui n' a pas réussi à enlever le malaise ressenti de cette lecture.
Je regrette d'avoir lu ce roman qui aurait gagné a être plus court ,plus respectueux de Juliette.
J' ai souvent comparé ma lecture à une longue balade en vélo où je galère à monter les pentes et me retrouve à bout de souffle,puis je me retrouve sur des routes plates, sans relief ou tous les arbres se ressemblent et par moment des descentes où on a l' impression qu' on va se retrouver par terre.
Seul le passage avec le merle d' Inde m' a fait entrevoir un rayon de soleil.
Ce livre va aller dans une boîte à livre en espérant que d' autres yeux ,un autre coeur sauront y voir autre chose, car peut-être qu' il n' était juste pas pour moi.
Je me suis ennuyée, je me suis même carrément sentie mal.
Je n'ai pas compris cet etalage de mots balancés et passant du coq à l' âne.
Pourtant tout était là pour faire de ce livre un merveilleux roman.
Une dame entre deux ages qui cache en elle bien des souffrances, un enfant abandonné par sa mère, des voisins plein de vie ,une intrigue pour retrouver cette mère, une histoire d'amour ,une histoire d' abandon ,une histoire de vie belle et tragique .
Mais je n'ai pas compris pourquoi l' auteur a appelé son livre Juliette Pomerleau puisqu'il appelait son heroine l' obèse comme si c' était son identité.
Je n' ai pas compris ce fouilli qui était indigeste tant il se perdait dans d'innombrables détails, d' innombrables paroles vides ,d' innombrables blablas ennuyeux.
J' ai retenu quelques expressions rigolotes mais qui n' a pas réussi à enlever le malaise ressenti de cette lecture.
Je regrette d'avoir lu ce roman qui aurait gagné a être plus court ,plus respectueux de Juliette.
J' ai souvent comparé ma lecture à une longue balade en vélo où je galère à monter les pentes et me retrouve à bout de souffle,puis je me retrouve sur des routes plates, sans relief ou tous les arbres se ressemblent et par moment des descentes où on a l' impression qu' on va se retrouver par terre.
Seul le passage avec le merle d' Inde m' a fait entrevoir un rayon de soleil.
Ce livre va aller dans une boîte à livre en espérant que d' autres yeux ,un autre coeur sauront y voir autre chose, car peut-être qu' il n' était juste pas pour moi.
