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Le Fulgur tome 1 sur 3
EAN : 9782302059610
64 pages
Soleil (19/04/2017)
3.13/5   24 notes
Résumé :
1907. Suite à une terrible tempête, un navire voguant dans le canal du Yucatan sombre dans une fosse sous-marine avec un milliard d’or pur dans ses soutes. Bientôt, un groupe hétéroclite, savants, aventuriers, hommes d’affaires et journalistes, embarque à bord du Fulgur, un sous-marin unique en son genre, afin de retrouver la cargaison perdue. Mais leur aventure à 4 000 mètres de profondeur va rapidement prendre une tournure défiant l’entendement !
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Le côté steampunk de cette BD m'a tout de suite attirée.
J'ai franchement adoré le graphisme du sous marin, mais je pense que ça s'est arrêté là.

Pour continuer sur le graphisme, la colorisation un peu terne ne m'a pas emballée. Et j'ai trouvé certains graphismes un peu brouillon. Bref je n'ai pas accroché.

En ce qui concerne le scénario ,idem malheureusement. Trop proche d'un Jules Vernes tant aimé. Et puis j'avoue ne pas avoir eu de sympathie particulière pour les personnages.

Une BD que je n'ai pas aimé, et bien évidemment pour laquelle je ne poursuivrais pas la lecture.
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J'avais beaucoup apprécié la série « Sanctuaire » scénarisée par Dorison et illustrée par Bec. J'étais donc curieuse de découvrir Bec dans le rôle du scénariste avec « le Fulgur ».

Comme « Sanctuaire », « le Fulgur » est une aventure sous-marine fantastique. Mais le ton est complètement différent. Dans « le Fulgur », l'ambiance est très steampunk. On pense pas mal à Jules Verne.

Ce 1er tome n'est pas parfait, les personnages ne sont pas vraiment attachants, le récit ressemble un peu à une succession de rencontres avec des créatures monstrueuses et la colorisation manque un peu de nuances (quelques touches de lumière auraient été bienvenues). Mais malgré ces petites faiblesses le 1er volet de cette série procure un grand plaisir de lecture. le récit est prenant, l'atmosphère est assez angoissante et le tome se conclut sur un cliffhanger bien stressant.

Malheureusement, ma bibliothèque ne propose pas les tomes suivants de cette série. Je n'ai plus qu'à leur en suggérer l'achat et à croiser les doigts bien forts pour qu'ils accèdent à ma demande.
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Début du XXe siècle, le professeur Claudian est un éminent scientifique incompris qui trouvera heureusement un riche mécène. C'est ainsi qu'en quelques années naitra le Fulgur, un sous marin révolutionnaire capable de descendre dans les abysses.

Le Fulgur est une bande dessinée dont le scénario est dans le plus pur style jules vernien, jusqu'à sa présentation soignée.
Alors que le "sous-marin" tente de rejoindre une épave remplie d'or à quelques 4000 mètres de profondeur, une éruption volcanique les coince dans les abysses. Commence alors un voyage dans des grottes sous-marines abritant nombres de monstres incroyables. Un mélange entre 20 000 lieues sous les mers et voyage au centre de la terre!
Un bon scénario qui manque peut être d'originalité mais qui arrive à nous embarquer dans ce voyage abyssal. L'histoire est plus centré sur la découverte et la survie que sur les personnages en eux-mêmes. On les individualise presque pas, ne formant que l'équipage du Fulgur. J'ai trouvé ce coté un peu dommage.

Le dessin n'est pas mal mais j'ai eu du mal à accrocher plus que ça. La faute peut être à une colorisation un peu terne qui manque de contraste et de lumière et qui affadi le tout.
Néanmoins il y a une jolie maquette avec un découpage en chapitres bien présentés et une couverture qui donne envie (réalisé par un autre dessinateur).
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[Critique des trois volumes de la BD "Le Fulgur]

Avec Christophe Bec au scénario et Dejan Nenadou au dessin, nous voici embarqués -pour trois volumes- à bord du Fulgur, un sous-marin révolutionnaire et expérimental (nous sommes au tout début du XXe siècle) parti à la recherche d'un navire rempli d'or échoué au fond des mers.

Innovations technologiques, explorateurs intrépides et hardis scientifiques, chasse au trésor, catastrophes naturelles, abysses et monstres marins préhistoriques... avec cette BD steampunk, nous remontons allègrement le temps pour renouer avec l'univers et l'imaginaire de Jules Verne.

L'aventure ne manque pas d'intérêt, le suspens est soutenu, mais les personnages manquent d'épaisseur, le dessin ne m'a pas paru extraordinaire et la (trop grande) proximité avec les grands romans de Jules Verne ( en particulier "20 000 lieues sous les mers" et "Voyage au centre de la terre") nuit à l'originalité du récit.

Au final, une BD agréable, avec laquelle je ne me suis pas ennuyée... mais qui ne m'a pas conquise.
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Un petit voyage sous les mers pour découvrir des trésors notamment scientifiques et biologiques avec des monstres marins. Ce n'est pas sans nous rappeler 20 milles lieues sous les mers de Jules Verne.
Une BD très bien présentée par chapitre dont chaque première page est en effet vieilli avec des dessins crayonnés. On retrouve bien l'ambiance Jules Verne tout au long de la BD. du fantastique entre ces mystérieuses tempêtes, le sous marins et les monstres marins.
Par contre l'histoire manque un peu d'originalité mais il ne faut pas la lire pour ça. Je regrette toutefois une lecture un peu linéaire. Un enchainement de découvertes de monstres et quelques explications scientifiques auxquelles il faut s'accrocher tout de même. de plus les couleurs ternes qui donnent toujours l'impression d'être dans le noir (ce qui est quasiment le cas) sans jeu de lumière, renonce un peu à cet aspect de fantastique. On voudrait être ébloui. Et c'est vrai qu'il n'y a pas de variation, insistant sur cette impression de linéarité. C'est dommage car les dessins sont plutôt réussis. Les visages sont reconnaissables et agréables, avec un trait propre au dessinateur.
Les personnages ne sont pas très détaillés. Pour certains on les connait à peine, on a du mal à les cerner, à identifier leurs caractères. Ils sont assez impersonnels malgré les mésaventures qu'on vit avec eux. Ca ne nuit pas au récit mais ça aurait pu donner un peu de profondeur. Enfin les pages sont déjà bien fournies.
Une aventure agréable à suivre, une lecture distrayante qui nous fait voyager mais qui pour l'instant ne restera pas dans les mémoires.
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critiques presse (3)
BDGest
10 mai 2017
Ceux qui ne sont pas allergiques au fantastique suranné trouveront ici une aventure bien construite et mise en images propre à offrir un agréable divertissement.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
02 mai 2017
Ce premier volet de la série est une belle surprise. Même l'éditeur a fait en sorte que la présentation de cette série soit originale et enchante le lecteur.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BulledEncre
20 avril 2017
Revisite de 20000 lieues sous les mers à la sauce Steampunk. Une réussite !
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
- Voyez-vous, les évènements excessifs et dramatiques, les dangers extrêmes, créent vite autour de l'homme au caractère bien trempé une ambiance qui, sans même qu'il s'en rende compte, modifie son optique de vie...
- Je ne vous suis pas très bien, Claudian... Où voulez-vous en venir exactement ?
- Ce que je veux dire, c'est que c'est sous l'influence de ce phénomène psychique qu'on vit par exemple, au siège de Paris, les gamins habitués des Champs-Elysées jouer tranquillement au cerceau ou au ballon, insouciants du danger, tandis que les obus pleuvaient tout autour d'eux. L'extrême adaptation de l'homme fait que même dans notre situation, nous finissons par l'estimer acceptable.
- Pour peu qu'on ne la juge pas totalement désespérée...
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Le Fulgur avait l'aspect d'un être fantastique doué d'une vie étrange. Il évoquait quelque animal fabuleux, quelque monstre inconnu, hybride... Quelque chose de non, de mystérieusement inquiétant. Une forme lumineuse descendant lentement dans la masse des eaux...
Commenter  J’apprécie          100
La tempête est bonne fille, elle laisse toujours une chance au marin.
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Videos de Christophe Bec (37) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christophe Bec
Une gigantesque aurore boréale enveloppe la Terre durant 24 heures, au cours desquelles naissent 222 000 enfants. Ils ne pleurent pas, ne rient pas, ne ressentent aucune empathie et ont un QI anormalement élevé. Ce sont les Enfants de l'Aurore. Lorsque s'alignent les huit planètes de notre système solaire, les Enfants de l'Aurore passent à l'action, avec une coordination inexplicable, dans un but de domination et d'asservissement de l'espèce humaine. Leurs caractéristiques de naissance en font des êtres froids et calculateurs. Ceux qui refusent de se soumettre deviennent des proies, les Enfants de l'Aurore se révélant des exterminateurs d'une efficacité terrifiante.
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