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Malgré le fait que j'ai lue Vandal love à la vitesse de l'éclair (enfin, pour moi) je termine cette lecture avec un sentiment d'ennui mortel et aucun intérêt pour découvrir d'autre roman de Deni Ellis Béchard. Ce roman, qui a reçu un prix, c'est cent ans dans la vie de la famille Hervé. Chez les Hervé, on vient au monde soit nain, soit géant, avec un instint naturel pour parcourir le monde. Vandal Love est surement une très rare déception pour moi lorsqu'il s'agit de la maison d'édition Alto. Mais les 4-5 personnages de la famille Hervé, en plus de tout ceux qui les côtoient ne sont qu'effleuré sur les 400 pages que dure ce roman. Ont y ressent la détresse des personnages, les défis de taille - pardonnez moi le jeux de mots - propre à chacun mais l'histoire familiale, les liens entre eux, leurs background personnel; tout cela est éludé. Tellement, que j'ai eu l'impression que durant tout le roman je ne faisais qu'écouter les problèmes d'une famille que je ne connaissait pas. Dans ces sombres moment de confinement, ce ne fut clairement pas une source de bonheur. + Lire la suite |