Dur, dur, de critiquer un tel roman. Je m'y suis perdu bien des fois. le rythme, lent mais obsédant, finissait par avoir raison de mon attention.
Autant les pièces de
Beckett sont lumineuses, aérées, vives, autant ses romans, et tout particulièrement
Molloy, sont hermétiques, lourds, oppressants.
Oui, oppressé, je l'ai été. Avec cette impression d'être prisonnier, captif, d'une errance, d'un oubli.
Le tout couronné par la certitude de n'avoir
pas tout saisi, d'être
passé à côté de certains aspects, de certaines clés de lecture. Il semble y en avoir tellement...
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