Un monde où le val de ce béton, cette ruelle écœurante et ces lampadaires essoufflés sont maîtres; où les rats règnent depuis l’égout-ratière; où le conflit entre l’eau et la saleté est grande attraction, et où l’on se sent, malgré tout, un peu chez soi.
Mon cerveau se déchaîne et se noie dans une mer de présomptions et d’espérances – un véritable humour de masse, avec des feux d’artifices et des éclaboussures sociales un peu partout comme des rires et des applaudissements.
Il est enfin mort, donc. On peut au moins dire ça. Et il a fait plus que ce qu’il voulait : non seulement il s’est libéré de lui-même, mais en plus, il a soulagé l’univers d’un élément parasitaire. Doublement une bonne action. Fatalement égoïste. Par hasard, altruiste.