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EAN : 9782501096195
286 pages
Marabout (22/04/2015)
3.94/5   9 notes
Résumé :
La saison d'été bat son plein à Torquay, où les Hewes passent la saison estivale. Beth est très occupée par ses obligations culinaires, mais profite de ses moments de liberté pour goûter aux bains de mer, qui font fureur dans la bonne société en cette année 1900. Mais le paysage ne va pas tarder à s'obscurcir, avec la découverte sur la lande de deux cadavres qui semblent avoir fait l'objet d'une exécution en règle.

Les deux victimes, Lady Hatheirley (... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Août 1900, Lord Hewes et sa petite famille séjournent sur la côte anglaise pour se remettre de leurs aventures précédentes. Evidemment, les ont suivis toute leur domesticité , dont Beth Huntly, leur cuisinière et accessoirement enquêtrice, pour notre plus grand plaisir. Ce tome deux peut se lire indépendamment mais ce serait dommage .
Un double meurtre comme entrée en matière ( une lady entretenait une relation avec son cocher ), hommes cagoulés de blanc qui rappellent le Ku klux klan, cambriolages en série ; entre deux recettes et trois bains de mer, Beth se verra entrainée , à l'insu de son plein gré, par une journaliste qui n'a vraiment pas froid aux yeux . Elle pourra compter sur le valet de Monsieur, un indien assez mystérieux surnommé , "mon fakir", et accessoirement son amant. Une relation secrête , qui se vit au milieu de la nuit, quand toute la maison dort et surtout quand les maitres n'ont plus besoin de leurs services, of course .
Une série délicieuse à lire, et distrayante, une héroïne malicieuse et moderne, des phrases qui claquent : on sent tout le plaisir qu'Anne Beddingfeld a eu à l'écrire….
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Deuxième enquête mettant en scène Beth Huntly, cuisinière au sein de la respectable famille Hewes, des aristocrates anglais vivant à Londres en 1900.
Cette histoire peut se lire sans avoir lu la première enquête : «  L'inconnue de Queen's Gate », car ça ne se suit pas vraiment et plein d'éléments clés sont rappelés au fil des pages.
Six mois ont passé depuis la première intrigue.
Beth, jeune femme ayant la tête sur les épaules, va cette fois tenter d'aider une journaliste, car deux meurtres ignobles ont été commis dans la ville balnéaire où séjourne la famille Hewes, à savoir celui d'une aristocrate, amie de Mme Hewes, et celui de son domestique.

L'auteur a vraiment à coeur de montrer le rôle des femmes dans cette société victorienne qui ne cesse de vouloir qu'elles restent à leur place : dans les salons mondains pour les « dames »et à la cuisine pour les domestiques.
Le personnage de la journaliste est intéressant, elle n'hésite pas à s'investir dans ses missions, elle pratiquait déjà ce qu'on appelle désormais de l'infiltration, à ses risques et périls.

L'ambiance victorienne est particulièrement bien décrite, on visualise bien les rues sombres, pleines de brouillard, les salons douillets où la famille se réunit pour déguster un Sherry devant un feu de cheminée, les cuisines en effervescence, les cabs tirés par des chevaux, les domestiques qui entendent tout, les aristocrates qui se font servir du matin au soir mais sont incapables d'enfiler seuls leur manteau…
Ce roman est encore une fois un prétexte pour proposer une critique sociale de l'époque, très réussie d'ailleurs.
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Le texte : attention il y a deux livres chroniqués qui se suivent (peuvent se lire séparément mais ce serait dommage)
L'inconnue de Queen's Gate

Beth Huntly, fille de cuisine chez Lord Hewes, se voit promue cuisinière pendant la maladie de la cuisinière en chef. Elle fait des miracles aux fourneaux, mais pas seulement. Ne sachant pas lire, domestique dans l'Angleterre de la fin du XIX° siècle et donc sans pratiquement aucune chance d'émancipation, elle n'en est pas moins dotée d'un sérieux sang-froid, d'un esprit vif et d'un coeur en or. Autant de qualités qui lui seront nécessaires à ne pas perdre sa place, perspective pourtant hautement probable à partir du moment où le corps d'une prostituée suffragette est retrouvée avec un poignard dans la gorge dans le jardin de ses employeurs.

La famille Hewes est particulière à bien des écarts mais sommes toutes assez représentative d'une époque qui touche à sa fin : un couple, issu d'un arrangement de raison et non de coeur entre les familles, qui ne se touche plus depuis 15 ans après la naissance de trois enfants dotés d'une cuillère en argent dans la bouche, l'aînée, limite idiote et mariée pour des raisons d'argent à un avocat, limite idiot, le second dilapidant une fortune qui s'amenuise en plaisirs interdits et la benjamine, 12 ans, obligée de grandir plus vite que son âge. Les Hewes représentent tout ce qui fait la noblesse anglaise à cette époque : un verni policé qui ne fait que cacher les perversions de chacun, l'hypocrisie sous l'humour (noir).

En cette veille de réveillon du siècle (nous sommes donc en décembre 1899), les suffragettes montrent de plus en plus leurs crocs face à une société largement dominée par les hommes. Les femmes y sont les inférieurs des hommes et les domestiques les inférieurs des femmes. C'est tout dire. Et pourtant, on retrouve dans l'organisation des domestiques d'une maison le même type de comportement pyramidal sur-hiérarchisé. C'est l'un des aspects les plus intéressants du livre.

Pour le reste, Anne Beddingfeld mélange plusieurs pistes : entre les suffragettes, la noblesse, la domesticité, le trafic de mineures, sans que l'on sache ou devine où elle veut en venir exactement, sans que se dessine clairement le lien entre les différentes affaires, créant ainsi, avec tout ce qui concerne les actes pédophiles, un sentiment de malaise chez le lecteur. Les oeillères des acteurs du drame qui se joue (et se dénoue) devant nous ne sont malheureusement pas sans rappeler celles qui ont encore cours aujourd'hui dans pas mal de cas de pédophilie.

Pour le style, Anne Beddingfeld réussi a créer des personnages attachant à travers Lord et Lady Hewes, malgré quelques travers qui ne dissimulent pas totalement leur bon fond, Beth, héroïne un peu ingénue qui gagne en maturité au fil des pages (et certainement au fil des romans à venir) mais qui n'a pas vraiment de prise sur l'histoire, jouant plus un rôle de témoin que réellement de détective, Rajiv, le domestique indien de Monsieur, ramené des Indes.

Le livre fonctionne d'autant plus comme un témoignage qu'Anne Beddingfel l'a écrit à la première personne du singulier, comme étant le récit ou le journal intime de Beth mais surtout qu'elle l'a écrit au présent. Ce constant décalage entre le temps de la lecture (un présent en 1899) et le présent réel du lecteur (pour mémoire des générations futures, ce livre est sorti en 2015) est d'abord déstabilisant avant de fort bien passer.

Un moment plus qu'agréable avec des personnages que j'ai immédiatement retrouvé dans la suite des aventures de notre cuisinière en chef (voir plus bas).

« […] il est des informations qu'un domestique se doit de garder pour lui. Si nous racontions toutes les frasques de nos employeurs, toute la bonne société anglaise se déliterait en un clin d'oeil. Nos patrons sont d'excellents donneurs de leçons, mais il est rare qu'ils se les servent. »
« - Depuis quand êtes-vous à notre service, Beth ?
- Deux cent trente-sept jours, Madame.
Elle paraît surprise de ma précision. le temps passé à servir ne doit pas avoir la même valeur que le temps passé à se faire servir. »

Les ombres de Torquay's Manor

Après les évènements de « L'inconnue de Queen's Gate » et quelques mois passés à l'écart de Londres bien mérités, Beth se retrouve sur la côte anglaise avec ses employeurs qui vont se trouver à nouveau mêlés à une histoire sanglante. Sur la lande de Dartmoor, le corps d'une Lady et de son chauffeur sont retrouvés poignardés et dans une position suggestive quant à la nature intime de leur relation. le médaillon de la Lady a disparu et les assassins n'auront de cesse de retrouver ce médaillon qui renferme le secret de leur action.

Ce nouvel épisode des aventures de Beth l'entraîne aux confins de ce que son métier de femme de cuisine l'autorise ou non à faire, mettant en danger sa place quand bien même elle est dans une famille atypique qui n'est pas sans avoir un attachement certain à cette jeune fille débrouillarde et quand bien même fait-elle cela pour sauver cette famille un peu frapadingue et par là même sauver sa place.

Les références à Sherlock Holmes, déjà présentes dans le premier livre, sont encore plus flagrantes ici à travers la lande de Dartmoor et les allusions au « Chien des Baskerville ».

Les suffragettes sont encore de la partie à travers le personnage d'Eleanor Rigby, journaliste en goguette sur la côte pour suivre les régates pour son journal mais beaucoup plus intéressée par les faits divers. Eleanor s'adresse à Beth pour solliciter son aide, l'histoire révèlera les motifs réels d'Eleanor qui, pour un journaliste, conserve malgré tout un semblant de morale à peu près disparue aujourd'hui dans une majorité de la profession.

Autre constante entre le premier tome des aventures de Beth et cette deuxième livraison, Anne Beddingfeld s'empare de thèmes d'actualité mais traités dans l'Angleterre des années 1899-1900 les rendant intemporels. Pédophilie et place de la femme dans la société dans « L'inconnue de Queen's Gate », il est ici question de moralité et des excès commis en son nom (la moralité prise en sons sens le plus large pouvant s'étendre aujourd'hui aux religions, au racisme, au rejet ; l'utilisation de références au Ku Klux Klan américain n'étant pas gratuite), de magouilles et de corruption, thèmes récurrents de l'actualité, de dérives d'une société embourgeoisée qui

Ces deux histoires s'enchainent parfaitement, se lisent facilement et sont distrayantes à plus d'un titre, servies par un style efficace avec des phrases sur ce qui est encore de l'esclavagisme (même rémunéré) qui font mouche, une vision émancipatrice (que ce soit la femme ou l'être humain en général) plutôt emballante. Et dans cette deuxième histoire, comme si la vie de Beth se mettait en adéquation avec ses aspirations, notre héroïne prend un peu plus les choses en main et les subit moins que dans le précédent récit. On s'attache sincèrement à cette jeune femme ne sachant pas lire mais sachant cuisiner, avec la tête sur les épaules, un peu tête brûlée aussi parfois et dont l'émancipation progressive s'accorde avec son histoire d'amour avec Ravij, le serviteur hindou de Monsieur.

A suivre encore donc avec plaisir.
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Bains de mer et double crème du Devon pour Lord et Lady Hewes, en ce mois d'août 1900. Brillant sous les feux du soleil, la Riviera anglaise est un bel écrin pour Beth Huntly, cuisinière en titre de la famille Hewes, qui se paie le luxe d'être à la fois aristocratique et originale.

L'été pourrait s'écouler paisiblement si il n'y avait eu un double meurtre : lady Hatheirley et son cocher sont assassinés sur la lande de Dartmoor. Pire, il semble que la jeune femme entretenait avec son cocher des relations coupables !

Entrainée sur les chemins de l'enquête par la journaliste Eleanor Rigby, libérée en diable, écartelée entre son devoir de domestique loyale et sa curiosité naturelle, Beth va tout de même prêter main forte à Elaonor, au grand dam de Rajiv…

Vous connaissez mon intérêt pour les polars historiques, spécialement ceux qui ont pour cadre l'Angleterre victorienne et qui ont pour héroïne une femme. Cet hiver j'avais découvert cette héroïne forte, qui ne s'en laisse pas compter, Beth Huntly, dans L'inconnue de Queen's Gate et je dois dire que j'avais été séduite par ce premier tome dans la même veine que Anne Perry.

J'ai donc rempilé avec Les ombres de Torquay's Manor, le deuxième opus de cette série et de nouveau, le charme a opéré. Anne Beddingfeld nous propose ici un polar victorien convaincant et une héroïne très attachante que j'ai hâte de retrouver dans les autres volumes de la série, même si ils semblent tous épuisés hélas !

L'action se passe donc dans la station prisée de Torquay en plein été. Dans la torpeur de ce mois d'août, cette station balnéaire ô combien tranquille d'ordinaire, va être le théâtre de plusieurs meurtres et de cambriolages, menés semble-t-il par une société secrète.

Dans ce second volume, Beth Huntley, une jeune femme passionnée de gastronomie, confirme tout le bien que je pensais d'elle. C'est une héroïne moderne, volontaire, pleine de ressources et de bon sens, qui apprend à lire et à écrire, et qui rêve d'ouvrir son propre restaurant.

Avec Rajiv, le valet de lord Hewes, qui a quitté son pays natal, l'Inde, pour entrer au service du lord, elle vit une vraie histoire d'amour mais ne veut pour autant pas sacrifier ses ambitions pour un mariage et des enfants qu'il appelle de ses voeux.

Outre ses deux personnages déjà présents dans le tome 1, on fait ici la connaissance de Eleanor Rigby, une femme affranchie des codes sociaux, une journaliste qui paie de sa personne et brave tous les dangers afin d'écrire un livre sur une bande de malfrats qu'elle a suivi à Torquay.

Anne Beddingfeld connaît bien cette époque et j'ai trouvé la trame historique vraiment passionnante. Elle montre aussi à merveille la place des femmes dans la société victorienne, les limites qu'elles ne peuvent franchir et le rôle qui leur est dévolu. L'enquête policière est originale, plutôt bien ficelée et même si j'ai découvert avant le point final, qui tirait les ficelles, je n'ai boudé mon plaisir à lire l'intrigue jusqu'au bout.

Si vous aimez, comme moi, les polars historiques façon Anne Perry et Ann Granger, je ne peux que vous recommander de découvrir les enquêtes de Beth Huntly, elles vous plairont sûrement !
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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En 1900 à Torquay, lady Hatheirley et Harry Seaton, son cocher et amant, sont retrouvés morts. Un message près de leurs cadavres indique que toute personne contrevenant à la morale sera pareillement exécutée. Elizabeth Huntly mène l'enquête.
Dans ce polar historique sur fond d'Angleterre victorienne, l'auteur nous entraîne dans les coulisses de l'aristocratie, dont les moeurs sont parfois aussi sombres que les bas-fonds londoniens. Son attachante héroïne n'hésite pas à transgresser les codes d'une société où les femmes et les domestiques ont rarement voix au chapitre…
A l'instar de Michèle Barrière dont je ne peux que vous conseiller les deux séries de polar gastronomique, l'auteur se lance dans le roman culinaire au 19e en Angleterre . Car en effet ce second titre qui nous a mis l'eau à la bouche est sortie en même que le premier opus des aventure de Elizabeth Huntly que nous avons eu plaisir à retrouver
Ces deux titres se lisent comme on sucerait un bonbon anglais acidulé et rafraîchissant.

Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
(…), Rajiv aide Lord Hewes à s'habiller, lui passe son veston, lui cire ses chaussures , lui attache son col. Quel animal dans la nature dispose ainsi d'un autre pour l'assister dans les gestes les plus ordinaires ? Et que deviendraient ces gens si, du jour au lendemain, plus personne ne se souciait de nouer leurs lacets ? Seraient-ils condamnés à errer nu-pieds ?
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- Savez- vous pourquoi on se serre la main ? (…)
- Cela remonte à très loin. jadis, quand deux hommes se rencontraient, chacun tendait à l'autre sa main droite vide, ce qui impliquait qu'aucun des deux ne poignarderait l'autre , (…).
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Chaque femme possède un atout, rétorque Eleanor. J'aurais préféré que ce soit mes seins, mais la nature m'a donné de bons yeux ...
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La loi n'est pas la même pour tous, je le sais bien.
Bien né, bien jugé.
Mal né, condamné.
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- Walter, je croyais que l'alcool , c'était fini ?
L'autre répliqua, avec un sourire désabusé.
- C'est ce que croyait l'alcool. Mais il se trompait...
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