Je dois avouer être un peu déçu par cet opus hyper analytique qui noie le lecteur dans des détails et manque de la vision stratégique qui est la marque des autres ouvrages d'
Antony Beevor. D'autre part l'auteur occulte la contribution de l'armée britannique et caricature injustement Montgomery.
Un ouvrage inférieur (à mon avis) à celui de
Jacques Nobécourt "
Le dernier coup de dés de Hitler : 16 décembre 1944" qui présente les enjeux stratégiques ou à celui de
Michel Hérubel "
La Bataille des Ardennes : Décembre 1944-janvier 1945" qui est passionnant car l'écrivain a connu nombre d'acteurs de ces combats.
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