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Citations sur D-Day et la bataille de Normandie (26)

Regardez le type qui est sur votre droite et regardez celui qui est sur votre gauche. Sur vous trois, il n'en restera qu'un après la première semaine en Normandie.
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Cet espèce de flou de la guerre fut la cause d'estimations terriblement exagérées des pertes, bien que les plus pessimistes aient été inférieures aux craintes de la veille du jour J. le seul fait certain est que 3 000 civils français moururent dans les vingt-quatre premières heures du débarquement, soit le double du total des morts américains.
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Comme Patton, Gerhardt tenait à ce que ses hommes se présentent dans une tenue impeccable jusque sur le champ de bataille. Il ne pouvait pas faire grand-chose contre le relâchement en ce domaine, car les soldats ne pouvaient se raser que lorsque leur bataillon était au repos. Mais, ce qui était plus justifié, il ne supportait pas de voir sue la plupart des GI portaient la jugulaire de leur casque glissée sur la nuque, et non attachée sous le menton. La plupart des combattants craignaient, à tort, que le souffle des explosions ne leur arrache la tête s'ils attachaient fermement leur casque. Gerhart lui-même portait son casque correctement en toutes circonstances. D'ailleurs, on le voyait rarement sans, car il en profitait pour dissimuler sa calvitie.
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Cette guerre, c'est un tel paradoxe, écrivit-il, elle fait ressortir ce qu''il y a de pire en l'homme, mais le pousse aussi au sommet du sacrifice de soi, de l'abnégation, de l'altruisme.
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Aussi affamés qu'ils aient pu être, nombre de Caennais restèrent longtemps incapables de supporter un camembert trop fait, tant l'odeur leur rappelait d'horribles souvenirs.
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Si les Français étaient amusés par l'accent des Cajuns de Louisiane, l'attitude condescendante des Américains les refroidit singulièrement : « Ils nous considèrent nettement comme des sous-développés. L'un d'eux me demande si j'ai jamais vu un cinéma. » À quoi elle répliqua que le cinéma avait été inventé en France, tout comme d'ailleurs l'automobile. « Il en reste pantois, et pas tellement convaincu. » (page 488)
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L'historien Claude Quétel, qui était alors un petit garçon à Bernière-sur-Mer, se souvient du passage des Canadiens dans son village et encore plus de son étonnement lorsqu’il vit un Noir pour la première fois de sa vie. Il ne put s'empêcher de lui demander pourquoi il était noir. « C'est parce que je ne me lave pas assez » , plaisanta le soldat. Claude le prit au pied de la lettre. Tenant à remercier les libérateurs de leur générosité, il se précipita chez lui, déroba à sa mère son précieux pain de savon et l'offrit au soldat noir juste avant qu'il ne parte pour le front. En voyant le savon dans sa petite main tendue, toute la troupe éclata de rire. Regardant la colonne de camions s'éloigner, Claude fut secoué de sanglots irrépressibles.
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Après la guerre, Montgomery, alias "Monty", porta sur Eisenhower l'un de ces jugements laconiques dont il avait le secret : "Un brave gars, mais pas un soldat."
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Les cloches sonnèrent à toute volée et, bientôt, le bourdon de Notre-Dame résonna à son tour dans le crépuscule frissonnant. La romancière Colette, bloquée chez elle, décrivit avec des larmes de joie dans les yeux cet instant magique où " la nuit se leva comme au crépuscule ".
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L'historien Claude Quétel, qui était alors un petit garçon à Bernières-sur-Mer, se souvient du passage des canadiens dans son village et plus encore de son étonnement lorsqu'il vt un Noir pour la première fois de sa vie. Il ne put s'empêcher de lui demander pourquoi il était noir. " C'est parce-que je ne me lava pas assez " plaisantât le soldat. Claude le prit au pied de la lettre. Tenant à remercier les libérateurs de leur générosité, il se précipitât chez lu, déroba à sa mère son précieux pain de savon et l'offrit au soldat noir avant qu'il ne parte au front ; En voyant le savon dans la petit main tendue, toute la troupe éclata de rire. Regardant la colonne de camion s'éloigner, Claude fut secoué de sanglots irrépressibles.
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