Le gone du Chaâba

Je n'ai pas trouvé grand intérêt à ce livre, qui raconte finalement d'une façon assez banale l'intinéraire de réussite d'un enfant à qui tout promettait l'échec. Non pas que je ne sois admiratif du parcours, mais la narration me parait insipide alors que tant d'autres histoires du même calibre ont déjà été racontées, et bien mieux.

Ce roman-autobiographique nous montre que même un enfant issue d'une famille très pauvre et étrangère peut réussir .
Le déclic d'Azouz se fait à l'école , il arrive à atteindre ses objectifs sans problème . La preuve Azouz Begag est professeur , il a aussi travaillait au gouvernement si je me souviens bien ,

Ce livre est intéressant, il reflète l'histoire réel vécu pour l'auteur Azouz Begag mais je ne l'ai pas beaucoup apprécié. Premièrement, les lieux ne changent pas c'est soit à l'école ou au Châaba. D'autre part, la structure du livre, pour moi rend pénible à lire. le fait qu'il n'y est pas de chapitre, aucune coupure pour annoncé des moments forts, l'histoire se fait en continue. Je pensais qu'il allait beaucoup me plaire mais j'ai eu du mal à le finir. Malgré tout, c'est une histoire touchante.

Le gone du Chaâba d'Azouz Begag

C'est l'histoire d'un "gone", Azouz Begag, qui a environ dix ans. Celui-ci est arabe. Il habite au Chaâba avec sa famille. le Chaâba ? C'est un bidonville constitué principalement de tôle et de déchets. Au début, le narrateur raconte son enfance : la vie qu'il mène, tout ce qu'il fait, son quotidien. L'enfant a un rêve, il rêve de devenir président, et pour ça, il doit travailler dur à l'école. Il doit être le premier (de la classe) même si c'est un arabe. Et puis, un matin, une famille part du Chaâba. Tout devient triste, ennuyant. Lui, il voudrait partir.


Je n 'ai pas aimé ce livre car, premièrement j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose, c'est lent, ennuyeux et ça devient lassant. ensuite, pour moi, il y avait trop de personnages, je n'arrivais pas à faire de lien entre eux. La façon d'écrire était spécial : passé du français, à l'arabe, puis au français parlé par un arabe. Je n'ai pas aimé aussi la façon dont les femmes étaient traitées. Elles étaient des esclaves.
Ce qui m'a plu, est l'intention de l'enfant de réussir à l'école, même s'il était arabe.

Roman autobiographique dans lequel Azouz Begag, fils d'immigrés, nous confie son enfance, près de Lyon, dans les années 60.
Il nous dépeint le bidonville avec ses habitations boiteuses, l'eau au puits, le sol des baraques en terre…, bref une vie quotidienne pénible et contraignante. Pourtant malgré ces conditions de vie misérable, il règne une grande solidarité et fraternité au sein du « Chabâa. »
Azouz Begag, nous relate aussi l'école, où l'intégration des « gones » d'origine Arabe n'est pas toujours au rendez-vous.

Un livre didactique pour les jeunes lecteurs.

Azouz Begag, - "Le gone du Chaâba" – Seuil / Points, 1986 (ISBN : 978-2020800327)

Roman autobiographique : de façon plutôt plate, fade et dépourvue d'originalité, l'auteur décrit son enfance de gamin issu de parents algériens, né à Lyon, ayant réussi à s'en sortir par le biais d'une scolarité réussie. Des scènes assez drôles mais assez convenues, pas de profondeur, juste une narration.

Ne donne pas mal à la tête, mais ne présente qu'un intérêt très limité.

C'est l'histoire d'un petit garçon nommé Azouz. Il est Algérien et il est né en France en 1957. Il vit dans un bidonville et va à l'école qui est la plus près. A l'école il est toujours dans les derniers, puis un jour il finit par travailler et devient le deuxième de la classe. La vie dans les bidonvilles n'est pas de tout repos, lui et les autres gones (enfants) fouillent les poubelles lors du déchargement du camion poubelle. Son père est très dur avec lui, sa soeur et son frère. Un jour ils vont déménager dans un appartement et leur vie va changer.

Je suis assez partagée sur ce livre car il m'a plu parce qu'il est facile à lire et l'histoire est simple. Mais en revanche je n'ai pas trop aimé car ce n'était pas assez palpitant à mon goût, il n'y avait pas vraiment d'action. Je ne conseillerais pas ce livre à quelqu'un qui adore le suspense et l'action, mais plus à une personne qui aime les histoires plutôt "calmes".

livre qui peut être intéressant a lire mais très vulgaire a mon gouts