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La Société tome 8 sur 13
EAN : 9782824210483
La Bourdonnaye (10/12/2014)
4.16/5   29 notes
Résumé :
Au sein de la Société, les compétences des adhérents peuvent être mises à contribution à tout moment. En vertu de ce principe, Alexis Duivel se permet de solliciter Frédérique Roche, kiné aux doigts de fée, et accessoirement élément actif de l’organisation clandestine.
La mission de la demoiselle, si elle l’accepte : remettre un jeune accidenté de la route sur pied. Et pour faire fondre ses réticences, le vice-président a prévu d’user d’arguments très persuas... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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C'est sous la plume d'Angela que j'ai terminé ma semaine et que j'en ai commencé une autre.

Il est tout juste 2 heure du matin et je viens de finir la lecture de ce tome à la fois bouleversant et unique.
Unique, car les dessins magnifiques, qui complètent le texte, donnent un côté réel à l'histoire sans pour autant tomber dans la BD, ça donne un charme particulier à la lecture (bien que j'aurai aimé voir Stéphane sous la plume de l'artiste). Bouleversante, pas seulement avec l'histoire qui nous est contée, mais ce tome a comme un goût de fin proche et inévitable. 

Toutes celles et ceux qui ont lu le roman vont savoir de quoi je parle quand je dis que le tome 8 donne le départ vers la fin de la saga, pour ne pas dire de la Société elle-même.
Ce sentiment m'est tombé dessus quand Stéphane parle de Mickaëlla et de son "devoir" envers Henry Valmur. C'est à ce moment précis que j'ai appréhendé mes deux prochaines lectures consacrées à la Société, et surtout le tome 10 qui pour nous, lecteurs, arrivera bien trop vite.
Mais je refuse de vous faire languir plus longtemps, Angela le fait bien assez pour moi.

Que dire de plus que Ninou? Elle a tellement bien exploité le roman qu'il serait simple pour moi de juste la citer pour exposer mes propres idées sur le tome 8, alors je ne dirai seulement que ces quelques mots:
Le premier pas est un roman empreint de sincérité non feinte, de tendresse et d'érotisme comme Angela sait très bien l'écrire. Encore une fois, je me suis laissée entrainer dans l'univers de la Société et de ce nouveau couple qui différent de base se retrouve au final tellement semblable.

Laissez-vous tenter par le charme de la plume d'Angela.

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Encore une Grande Réussite pour la Fée Behelle avec son huitième tome de la série La Société « le premier pas ». Je me demande comment elle fait pour toujours innover dans ses histoires ? Elles sont tellement différentes des unes des autres. le ton change à chaque fois. Et pourtant c'est toujours aussi déroutant, sensuel et addictif … c'est extraordinaire !

Dans cet opus Angela Behelle nous expédie dans le sud de la France où nous allons à la rencontre de deux personnages hauts en couleurs. Une héroïne indépendante qu'on admire pour sa franchise et qui assume ce qu'elle est : Frédérique Roche. Ensuite un héros mystérieux mais d'une froideur stupéfiante et pourtant on tombe sous son charme : l'énigmatique Stéphane Vallet. On sait qu'il cache qu'il cache quelque chose et on reste en haleine jusqu'à la fin pour avoir le fin mot de l'histoire. Et bien évidement on peut compter sur la présence de Mister Alexis avec ses petits airs de manipulateur et conspirateur.

Que dire de plus ? Madame Behelle vous êtes incontestablement la magicienne de l'érotisme. Bien que ce tome soit plus axé sur la profondeur des sentiments de nos héros vous réussissez à chaque fois m'éblouir avec vos mots fluides, intenses et riches en émotions tout en m'offrant des moments torrides à me faire rougir de plaisir. On se laisse facilement happer par ce duo attachant et déterminé. Et encore une fois, votre intrigue est l'une des plus phénoménales et délicieusement menée. En plus, vous avez rajouté une petite touche très coquine dans ce petit chef d'oeuvre. A vous lecteurs je m'explique, nos héros vont devoir négocier rudement pour que chacun arrive à satisfaction de leur objectif. Et je peux vous dire que cela donne un certain charme à l'histoire. Mais cela, c'est à vous de le découvrir !

Mais ce tome annonce malheureusement la fin de cette Fantastique Saga. Nous allons avoir la confirmation du rôle d'un personnage important au sein de la Société elle même et c'est très troublant ! Je me suis même demandée ce que l'auteur me réserve dans l'avant dernier épisode ?

Comme vous l'aurez compris « le premier pas » rejoint « A votre service » dans mes énormes coups coeurs (Mais attention Daniel est et restera mon héros préféré). Je ne m'attendais pas à temps de sensations fortes et j'en redemande encore ! Si vous ne connaissez pas encore la Saga La Société d'Angela Behelle je vous le conseille vivement !
Lien : http://wp.me/p5AuT9-12a
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Frédérique Roche est une jeune kinésithérapeute, qui use et abuse de tous les plaisirs que peux lui fournir la Société. Parrainé par un père qui cumul les relations avec de jeunes femmes. Notre jeune héroïne ne voit aucun mal à exploité tout ce pourquoi elle paye. Quand Alexis Duivel, lui demande d'aider un ami qui a baisser les bras, pour une guérison incertaine auquel il ne croit plus, Frédérique ne voit que le moyen d'obtenir un caprice de plus son : Aston Martin DBS Cabriolet Noire.



Pourquoi Stéphane Vallate ne veut-il pas faire le moindre effort pour guérir ?
Frédérique sortira-t-elle indemne de toute cette histoire ?
Que cache réellement cette mission ?
Alexis aurait-il fait Échec et Matt une fois de plus ?

Frédérique Roche est une jeune femme qui réussi tout dans sa vie. Une carrière florissante, elle mène sa vie sexuelle comme elle le souhaite. Elle ne manque de rien.
Derrière ses apparences de femme comblée se cache un caractère d'homme. Une fonceuse, qui aime le risque, la vitesse et qui aime dirigée les hommes pour sa propre consommation démesurée. Un prénom à consonance masculine et féminine qui sied à,merveille à une héroïne peu orthodoxe.
Quand Frédérique rencontre Stéphane Vallate pour la première fois, elle va rencontrer l'homme qui se cache derrière le mystérieux badge Oméga. Un secret de la société qui était bien caché.
Stéphane est sévère, froid mais en même temps il se cache derrière un regard de dessinateur (talent qu'il possède), il a l'art et la manière de pénétrer l'âme des gens à travers d'esquisses. En plus d'être talentueux, il est juste sublime, un homme qui pourrait devenir plus qu'un fantasme. Il a ce don de mettre une femme à nue dans ses dessins. Il voit Frédérique telle qu'elle devrait être.

Angela Behelle a réussi complètement à m'ensorcelée, en effet Daniel (T3) est sorti pendant 3h45 de mon esprit. En commençant la lecture, nous sommes forcément sur la défensive. Alexis Duivel ne demande jamais rien, sans contre-parti ou sans idée précise de la direction que doivent prendre les opérations. Nous commençons forcément à faire des hypothèses sur tout et sur rien. Mais là est le talent de l'auteure, elle arrive à nous amener là où elle veut et vous amener à mettre de côté la seule hypothèse qui s'avère être la solution.
Cette histoire va confronter deux personnes qui n'ont pas la même définition de la société et surtout du plaisir. Deux êtres qui vont devoir revoir tous leurs préjugés, leurs acquis. Ils vont devoir s'apprivoisé et vont s'émancipé l'un avec l'autre, de leurs propres prisons.

L'histoire d'une Jeune femme qui devient l'héroïne d'une Bande dessiné érotique et qui réalisera que pour acquérir l'excellence, il suffit de patience, d'envie, de séduction et non pas de rentré dans la mécanique d'assouvir juste le besoin de jouir.

P.S Ma chronique vous semblera peut-être évasive si vous n'avez pas lu le livre. Normal cette romance vous dévoilera toutes ses surprises quand vous aurez ouvert votre exemplaire. Cependant Attention : Ne pas le lire dans un lieu public ou entourez de vos enfants. Vous pourriez vite rougir ou répondre à des questions, dont vous n'auriez pas les réponses.
Lien : http://jewelrybyaly.blogspot..
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Ce huitième tome de notre sublime saga La Société est une lecture magnifique et surtout additive.

La mission de Frédérique Roche, que lui confit Alexis au nom de la Société, est assez simple, remettre un jeune homme sur ses jambes, et en prime elle recevra une superbe Austin Martin. Rien ne se déroule comme ils l'avaient prévus. Fred se retrouve déstabilisé face Stéphane, et Stéphane sous le charme de Frédérique.

Frédérique Roche est une kinésithérapeute de renom, et membre de la Société grâce à son père. C'est une jeune femme impertinente avec de la répartie, et un sale caractère. Elle le laisse même souvent prendre l'initiative de ses actes et de ses paroles. C'est une belle héroïne, belle et intéressante.
Stéphane Vallate travaille pour son père dans la société familiale, et rêve surtout d'une autre vie. Au premier contact, il est désagréable et inaccessible, et pourtant c'est un homme très intelligent et avec un humour piquant.

La narration est du point de vue de Frédérique. le suspense se concentre sur le faite que cette histoire est partie d'Alexis Duivel, qu'a-t-il pu préparer pour notre chère Frédérique ? Alexis ne fait rien sans un but bien précis, et tout le long de la lecture, cette intrigue prend une place très importante. La relation entre Frédérique et Stéphane est sensuelle, torride et belle. le parallèle avec l'histoire de Lucie apporte un côté encore plus sensuel et coquin.
La plume est un plaisir, fluide, légère et rythmée, une lecture plaisante et captivante.

Ce tome est une pure pépite, sensualité, humour et suspense, une belle réussite pour cette saga de renom. Je vous laisse découvrir plus amplement cette histoire au cours de votre lecture, vous ne serez pas déçus. Comme d'habitude !
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J'aime beaucoup les romans d'Angela Behelle car elle sait concocter des romans très sensuels tout en n'oubliant pas d'y ajouter une grosse pincée d'amour avec un petit peu de jalousie et quelques pleurs pour faire bonne mesure. On a tous ces ingrédients dans ce roman qui se lit avec beaucoup de plaisir. Frédérique est une belle jeune femme sensuelle qui aime fréquenter les salons de la Société car elle est sûre de rencontrer des hommes qui lui permettent d'assouvir ses fantasmes. Bien sûr, quand elle rentre chez elle seule, elle éprouve quelques regrets. Mais on ne rencontre plus le Prince charmant aujourd'hui, n'est-ce pas ? A son grand étonnement, elle va le voir en chair et en os et même le soigner. Ce prince c'est Stéphane, un ami d'Alexis Duivel, qui a eu un grave accident de voiture et qui, depuis, ne marche plus. Frédérique est envoyée dans le midi pour le remettre sur pieds. Une belle maison, du soleil, un bel homme… Bref, notre Frédérique se retrouve rapidement emportée dans un tourbillon de plaisirs et sous la coupe de Stéphane qui va lui faire prendre conscience à quel point sa vie était vide jusqu'ici. Un roman délicieux à lire tout de suite ou plus tard en vacances !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
J’avale d’un trait le reste de mon café avant de m’intéresser au contenu du colis. J’y découvre des fromages de chèvre, des tomates grappes qui sentent bon, de la charcuterie très appétissante, des fruits frais ainsi, comme de bien entendu, qu’un gros concombre. C’est idiot, j’en ai rêvé de ce légume, mais j’ose à peine me souvenir de l’usage que j’ai pu en faire. Tandis que je rigole toute seule, Stéphane fait son apparition à la porte de la cuisine.
— Laisse ce concombre tranquille, s’il te plaît, me dit-il, un sourire aux lèvres. Je refuse de devoir me méfier du contenu de mon assiette.
— Tu as un humour plus pourri que le mien, et pourtant je m’entraîne, je lui rétorque, joueuse.
— Alors pourquoi riais-tu en caressant ce légume?
— Je repensais justement à ton indécente supposition, je mens effrontément.
— Tu as une façon d’y repenser assez troublante.
— Contrairement à ce que tu sembles supposer, je n’étais pas en train de masturber ce concombre, mais de le lustrer pour le rendre brillant. N’est-il pas plus appétissant comme ça? je demande en lui présentant le légume.
— Par moment, tu me fais peur, rigole-t-il. Range ce concombre dans le frigo, par pitié, Fred.
— Comme tu voudras.
Je m’exécute avant de procéder au rangement du reste des courses.
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Par certains côtés, nous nous ressemblons.
« Des têtes brûlées », affirme mon père.
« Des nanas qui savent ce qu’elles veulent et qui se donnent les moyens de l’obtenir », je dirais plutôt.
Après tout, on n’est jamais si bien servi que par soi-même. J’en fais encore l’expérience, ce soir.
— À ta santé! je lance en cognant mon verre contre celui de Lou qui approuve.
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Je ne déteste rien de plus que ces cabines de magasin dans lesquelles je me trouve le teint blafard et l’air d’avoir abusé de crème glacée. Au moins, chez Madame Jeanne, je n’éprouve jamais cette cruelle impression. Son salon décoré comme un boudoir, les grands miroirs dorés, le canapé rouge, la lumière tamisée, et même la douce odeur qui nous enveloppe, tout contribue à ce qu’on se sente belle et désirable. On sort de chez elle le sourire aux lèvres avec un capital confiance gonflé à bloc. Ici, je me fais l’effet d’un mollusque échoué sur un banc de sable.
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il ne m’a pas fallu longtemps avant d’apprivoiser complètement les quelque 660 chevaux de la bestiole. Et tout ça n’était rien encore en comparaison du moment précis où la barrière de péage de l’autoroute s’est levée devant moi.
J’en ai mouillé mon string.
Un comble!
C’était bien la première fois que je mouillais en payant.
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Je suis réveillée par le chant des oiseaux. Ça aussi, c’est une nouveauté. Je ne savais pas que ces bestioles pouvaient faire un tel concert de si bon matin.
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