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3,23

sur 395 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce fut une lecture rapide qui ne me laissera aucun souvenir. Je n'ai pas été réceptive au roman et à l'humour de l'auteur. L'histoire et le style de l'auteur ne semble pas concorder avec mes goûts personnels, mais je tenterai probablement de lire d'autres livres de l'auteur afin de me forger un avis.
Point positif ; le livre se lit vite, les chapitres sont courts, ce qui fait qu'il est plutôt aisé d'enchaîner les pages. C'est le genre de livre qui peut facilement se lire en une journée.
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Lu très rapidement, Mémoires d'un homme dérangé, est un roman léger et qui ne me laissera pas de grand souvenir. J'ai eu du mal à le finir malgré un début qui s'annonçait prometteur : plutôt drôle et sarcastique... Pourtant...
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Lu en quelques heures, débuté aux alentours de 4h00 du matin, pour le terminer vers 16h00.
Avant-hier et hier, je lisais Windows of the World, le roman de Beigbeder où il alterne chapitres "auto-biographiques" et fictifs où il s'image dans la peau d'un Texan coincé dans le restaurant qui surplombait le WTC lors du 11 septembre.
J'aime bien Beigbeder, c'est un sale con ! J'aime ses paradoxes, ses références, sa réelle ou fictive décadence, et surtout, dans "Une vie sans fin" la richesse de ses recherches.
Bref c'est un sale con cultivé comme beaucoup de ses maîtres à penser, comme Hunter S. Thompson, sauf que Beigbeder a plutôt tendance à se laisser aller dans ses côtés mielleux et pathétiques, un Droopy sous coke, du moins, avant...
Là, nous sommes sur les traces de ses premiers pas littéraires, on sent le personnage qui prend vie, la cristallisation de ce qui le fera être lui-même pour les décennies à venir.
Malheureusement, ici, je n'ai trouvé qu'un enchaînement de soirées, décadentes, mouais, si l'on veut, j'ai un peu la sensation d'entendre l'un de mes amis raconter ses propres soirées avec ses potes aux cartes bancaires noires, lignes de coke sur les pianos anciens, descentes de caves millésimées, bad trips dans les couloirs de marbre, et chutes en peignoir dans les piscines des résidences secondaires, tertiaires, quaternaires, bref, rien de nouveau sous le soleil, où alors me voilà juste blasée de la décadence des beaux quartiers qui n'évolue pas.
Quoi qu'il en soit, ici, on alterne entre la découverte de l'Amour, mettons une majuscule, ce pense que notre cher dandy apprécierait le geste, celui d'anoblir ce sentiment dans lequel il semble se perdre, voire carrément se prendre les pieds dans cette émotion qui le fascine autant qu'elle le fait flipper ; et les soirées, ici, ailleurs, nuits, jours, alcools, bourgeoisie et noblesse fin de race.
Il manque ce qu'il a bien plus développé dans ses écrits plus tardifs : la rébellion, la prise de conscience de certains aspects de la société, même si il n'est pas il n'est pas interdit qu'il crache dans la soupe, de mon point de vue chacun à le droit de critiquer les sujets qu'il veut, qu'importe son milieu, son statut, sa famille, son compte en banque, bref, aucune réflexion semble ne ressortir de cette époque, pas de grandes envolées sur le sens de la vie, il me semble bien vide ce foutu bouquin.
Bref, déjà un jeune con, mais aux références sans doute plus restreintes qu'aujourd'hui, vous me direz en 30 ans, on a le temps de s'enchaîner les lignes, qu'elles soient faites de mots ou de poudre, et l'âge semble lui avoir apporté plus de profondeur, je me sens même capable de faire le parallèle entre Despentes et lui: leurs évolutions sont palpables, qu'elles soient littéraires ou liées avec le temps qui passe, les évolutions sociétales, les prises de conscience ou non, et l'élargissement de leur culture.
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Je voulais à tout prix lire un livre de Frédéric Beigbeder ... Après avoir lu celui-ci, je ne suis plus sûre de la raison. C'est une vraie déception par rapport à ce que j'en avais ressenti dans les critiques, notamment sur son côté déjanté. J'ai trouvé les aspects "déjantés" du récit en réalité bien convenus. L'histoire, qui raconte en fait comment le personnage qui ressemble à l'auteur, finit par tomber éperdument amoureux au travers d'une succession de fêtes mondaines, l'histoire donc, est très masculine avec des femmes qui apparaissent souvent comme des êtres incompréhensibles mais admirables. Pourtant, si on excepte la succession de calembours "pitoyables" (comme il l'écrit l'auteur lui-même), il y a quelque chose de flamboyant et de très créateur dans le style de Frédéric Beigbeder avec de vrais moments de grâce, malheureusement trop rares. Peut-être parce que le monde décrit m'ennuie, l'histoire ne m'a pas intéressée surtout parce que le futile l'emporte sur l'essentiel. En détournant le jugement de Malraux sur le baron Clappique dans La condition humaine, je dirais que Frédéric Beigbeder a une plume d'or mais creuse ... en tout cas pour ce livre. J'essaierai d'en lire un autre ...
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J'avais gardé un bon souvenir de 99 francs, mais j'étais très jeune.
Ces mémoires ne m'ont pas du tout emballée, Marc Marronnier est imbu de lui-même et il m'a tout de suite été antipathique. D'ailleurs, c'est peut-être le but recherché. Quelques traits d'humour m'ont permis de tenir jusqu'au bout...
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HuUuuumm, le premier roman de Frédéric Beigbeder… HuUUuum huuUUuumm que dire ? C'est du Beigbeder quoi, mais en plus jeune, en moins fin (oui parce qu'ensuite, croyez le ou non, Beigbeder devient fin, dans son genre bien sûr), plus basique, moins bon pour résumer. Comme beaucoup de ses romans, il s'agit d'une autofiction, depuis le début donc Beigbeder aime (ou ne peut que ?) parler de lui. le livre est tout petit et se lit le temps d'un rien. Je ne l'ai pas vraiment aimé pour tout dire, il m'a fait l'effet d'une ébauche et puis surtout, surtout : TROP DE CALEMBOURS ! Aaah je déteste ça ! Aussi énervant qu'une mauvaise comédie à l'écran, lourd, attendu, cliché mais avec un avantage : c'est très court. Et quand même : on sent les poindre les prémices du grand talent de notre dandy préféré….
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J'apprécie les livres de Beigbeder, mais celui-ci m'a un peu déçu : le sujet (une amourette "passionnée" chez des jeunes riches) ainsi que les jeux de mots y sont assez limités, tout comme le recul de l'auteur sur sa jeune vie. Reste une plume agréable et la possibilité de suivre les pensées naïves d'un enfulte bourgeois, imperméables aux difficultés (pécuniaires ou non). Ce fut une expérience "amusante" que de lire ce livre après avoir lu "Désintégration" d'Emmanuelle Richard.
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Probablement un des livres les plus déjanté de Beigbeder mais ça reste un agréable moment de détende .
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