Je me souviens avoir été très admiratif de
la Théorie de l'information du même auteur. Un livre puissant qui donnant une véritable vision sur la France actuelle à travers les trajectoires parallèles du pays et de Pascal
Erlanger (double de
Xavier Niel).
Ici, je n'ai malheureusement pas retrouver le même souffle dans les aventures de Jan, le prince héritier de la petite principauté imaginaire du Karst (capitale Karstberg) nichée dans les Alpes slovènes et d'Ida, la descendante de la famille Spitz qui dirige la banque Venezia depuis New York.
Il y a aussi Flavio, dont on se demande longuement comment son histoire d'enfant mélancolique confié à un couple de personnes âgées se raccroche au reste du roman.
Mais malgré cet imaginaire très riche, on s'ennuie ferme et je me suis presque fait violence pour continuer la lecteur de ce roman... Ceux qui veulent découvrir cet auteur préféreront
La Théorie de l'information qui a presque quelque chose de houellebecquien...
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