Et voici le troisième tome de la fameuse saga Menvatts, toujours d'un auteur différent et c'est ce qui est peut-être si intrigant et surprenant à chaque nouveaux tomes ..
À la base la couverture me refroidissait car je pensais que c'était une collection d'un auteur indépendant qui faisait du gore pour du gore mais au final c'est plusieurs auteurs et publiés en maison d'édition et de plus, l'histoire, du moins les histoires, sont toujours très intrigantes !
Au début j'avais du mal à rentrer dedans en me disant que cette fois-ci le tome n'allait pas me convenir mais en continuant, au moment où l'action avait vraiment commencée, enfin, l'action du résumé plus précisément, les choses ont commencées à devenirs captivantes.
Puis, quand j'ai vu qu'on passait à un autre personnage principal et pas n'importe lequel, le fameux ennemie de notre héroïne , ça m'a refroidie légèrement mais tout de même curieuse de la suite... Puis me revoilà intriguée.
Mes ressentis sur ce tome était semblables aux montagnes russes et comme toutes montagnes russes, à un moment il faut redescendre un peu et généralement la dernière descente du manège est la plus brusque et c'est effectivement le cas avec la fin découvrir que l'antagoniste était homosexuel m'a déçue car je trouves rare de pouvoir lire ou voir des films sans toujours devoir placer l'homosexualité de partout comme une mode, comme s'il faut le mettre pour satisfaire le public et j'ai été d'autant plus surprise vu le genre du livre mais bon, la façon dont la fin est tournée et la chute, on va dire que ça n'a pas trop d'importance et ne gâche pas spécialement l'histoire !
Pour dire, comme d'habitude j'ai beaucoup aimée le tome même s'il y a eu des moments qui m'ont refroidis. L'histoire reste tout de même une histoire intrigante.
Par contre, j'aurais vraiment appréciée avoir un genre de lexique pour rappeler exactement ce que sont les groupes et particulièrement les septrons et les boxs car c'était un peu flou dans ma tête, j'aurais aimée une description historique aussi sur leur création tout autant que j'en ai eu sur les menvatts et les arcurides !
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"Il disait que la calvitie était un mal respectable : elle était la seule conquérante capable de laisser une couronne à sa victime " p40
Vidéo de Dominic Bellavance