Après l'excellent Les sirènes du Transsibérien qui entraîna notre brestois jusqu'à Vladivostok (un port aussi), découverte de sept nouvelles suffisamment longues pour qu'on se cale bien dans chaque histoire, retrouvant d'ailleurs certains détails de l'une à l'autre, et même certain Baptiste (est-ce le même qui revient, avec des femmes différentes?), et une jolie mise en abyme pour la dernière,
Si c'est ma femme je suis pas là, qu'il faut absolument lire pour comprendre le titre (excellent).
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le couple ne se porte pas très bien, chez
Hervé Bellec. Des couples plutôt ordinaires, d'ailleurs, on pourrait facilement les croiser. Parfois l'un des deux pète les plombs, effroi du lecteur garanti, mais c'est souvent doux amer - et drôle, allez comprendre, c'est l'art de l'auteur...
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