À samedi !

A samedi!
Long texte avec beaucoup d'images.
Beaucoup de suspens et d'amour.
Quand on commence le livre on est tout de suite dans l'action.
On se trompe beaucoup entre les personnages.
L'histoire est très réaliste,ce n'est pas son premier roman.
Il a fait plusieurs romans.
Il n' a pas eu de prix ni de distinction.
Il y a en tout 12 personnages.
Hubert Ben Kemoun habite à Nantes il a 60 ans.
Le décor est de notre époque les lieux sont dans des maisons à la piscine puis dehors.
L e genre de ce livre est un roman graphique.
Je n'ai pas aimée ce livre car il y a trop d'images et que l'histoire est trop courte.
Les adjectifs pour se livre seront:réaliste,mouvementé,étrange;intéressant,lassant,des fois un peu captivant,décevant,une fin sans surprise,lent, ennuyeux,glauque.
Pour moi il est très facile a lire.
Je recommande ce livre pour ceux:
-qui cherchent des livres très faciles à lire.
-Qui cherchent de l'amour.
-Qui cherchent de l'action dès le début.
-Qui aiment bien qu'il y est beaucoup de personnages

Roman graphique intéressant, j'ai aimé découvrir au fil des pages la complexité des sentiments amoureux et les réflexions philosophiques qui peuvent les accompagner (comment ne pas passer à côté de quelque chose; comment se donner entièrement à quelqu'un tout en affrontant la crainte de la non réciprocité ou de l'abandon), mais également des thématiques comme le raciste, l'importance de la culture.... Tout cela avec la légèreté d'expériences de vie. Je recommande!

Dans cet album illustré par le dessin atypique de Zaü à dominante rouge et noire, Hubert Ben Kemoun décline l'amour sous toutes ses formes. Avec Damien et Malo, c'est l'amour qui porte et transforme : "Je ne me suis jamais senti aussi grand, libre, fort et beau". Damien sort avec Mélodie et voudrait lui faire un cadeau "à sa mesure". Malo voudrait se déclarer à Bettina dont il est fou amoureux "comme un drogué sous dépendance" mais comment trouver les mots, lui, le gars de la cité ? Malo est prêt à changer pour elle, d'ailleurs son copain Kevin ne le reconnaît plus : "Tu vires fiotte et intello". Leurs sentiments sont mêlés, entre euphorie et oppression, parce que subsiste toujours un doute, celui qu'ils ne soient pas pleinement partagés...

D'ailleurs avec Mélodie, l'amour est moins engagé, plus léger - elle est si jeune encore. Elle se sent bien avec Damien, cependant Jérémy, qui l'a invitée à sa fête d'anniversaire, se fait pressant... Quant à sa mère Myriam, la voilà replongée dans son amour de jeunesse : Lionel, qui est devenu un auteur célèbre, vient dédicacer son dernier roman dans la librairie du quartier. Myriam n'a jamais eu le courage de lui avouer ses sentiments : "Le temps qui galope, et une occasion manquée".
L'amour, c'est aussi celui, tout aussi ambigu et compliqué, des relations mère-fille. Et à l'opposé de l'amour on trouve la haine, celle qui fait taguer à certains des messages racistes sur la devanture d'une épicerie ("La France aux Français").

C'est samedi que tout se jouera : Damien offrira son cadeau, Malo fera sa déclaration, Myriam rencontrera Lionel. "Parfois, il faut se lancer" parce qu'au fond, "ridicule était un mot beaucoup moins grave que malheureux". Mais les réactions des uns et des autres se révéleront parfois surprenantes ! Entre ceux qui s'enflamment trop vite, ceux qui au contraire regrettent de ne s'être jamais déclarés, l'auteur développe des conclusions loin d'être idylliques, et même un brin désabusées. La plupart connaîtront les désillusions de l'amour... Quant à ceux pour qui tout se termine bien, reste en suspens le caractère éphémère des sentiments. Libre au lecteur "d'y croire"... ou pas.
Lien : https://www.takalirsa.fr/a-s..

Ça commence bien.
Différentes histoires d'amours adolescentes et deux histoires où les maman jouent aussi un rôle.
Des destins croisés, des tranches de vies amoureuses.
Le graphisme est très beau, les couleurs, sélectives, bien choisies : c'est un très bel album.
Et puis ça se gâte un peu...
Petit à petit, l'auteur nous perd : il passe trop vite de l'un à l'autre. Puis il y a une erreur de prénom dans le texte ...comme pour nous perdre plus !!!
Et enfin, ça finit d'un coup, le zapping est terminé, comme si on éteignait la télé.... On est un peu frustré quand on voit qu'il n'y a pas de suite puis on réalise que chaque histoire est bouclée, à sa manière, et qu'effectivement il n'y a rien à dire de plus : les vies continuent mais pas besoin de les raconter !