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Le Magicien de Whitechapel tome 1 sur 3
EAN : 9782505013440
64 pages
Dargaud (27/02/2015)
3.11/5   28 notes
Résumé :
Londres, 1887. Jerrold Piccobello, magicien parmi les plus prestigieux du royaume britannique, se fait une nouvelle fois remballer d'une audition comme un malpropre. Désespéré, l'homme revient sur les lieux de son enfance, là où tout a commencé et où il fera une rencontre pour le moins inattendue...

Premier tome du Magicien de Whitechapel, une trilogie qui oscille entre l'aventure humaine et le récit fantastique.
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Londres, Piccadilly Circus, 1887. Sur la scène de ce cabaret, le magicien Jerrold Piccobello, venu passer une audition. Malheureusement, il ne sera pas retenu. le magicien de renommée internationale subit véritablement un affront. Honteux de se faire remballer ainsi comme un malpropre. Quelle déchéance pour lui... Une déchéance qu'il met surtout sur la perte de son ami et mentor, Virgill Webb. En errant dans les rues londoniennes, Jerrold se retrouve devant le théâtre The Eagle. Remontent alors à la surface la mort de sa mère, les coups foireux de son père, ses premiers pas dans le monde de la magie, sa rencontre avec le grand Virgill Webb...

Premier tome d'une trilogie, cet album met en avant l'enfance de Jerrold Piccobello, magicien de grande renommée. À travers les souvenirs qu'il nous conte, l'on apprend ainsi comment il est devenu l'homme qu'il est aujourd'hui. Même si tout se met en place gentiment et que les actions se font rares, l'ensemble est tout de même intéressant et les personnages sont plus que jamais vivants. André Benn plante son décor dans l'Angleterre Victorienne, son dessin colle d'ailleurs parfaitement à cette période: un trait élégant et tout en finesse, des dandys vivants et raffinés, une ambiance mystérieuse et romantique, un vocabulaire parfois désuet. Ce premier volet attise fortement notre curiosité, la fin inattendue aidant fortement.
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Jerrold Piccobello était un prince, que dis-je, un roi dans son domaine.
Majax l'adorait, Garcimore le vénérait, c'est dire le niveau stratosphérique atteint par cet homme que rien ne prédisposait à la magie.
Plus vous montez haut, plus rude est la chute.
Jerrold en a fait l'amère expérience.
Il se remémore ses vertes années et un apprentissage empli alors de gaieté et d'insouciance.

Grandeur et décadence d'un p'tit gars sorti du ruisseau avec pour seule ambition de se faire une place au soleil.
Tout comme Icare, il s'y est brûlé les ailes.

Ce récit est déconcertant car le scénario tient la route, le dessin est plaisant et l'encrage saisissant.
Pourtant, j'en ressors avec une impression mitigée. Je reste sur ma faim et lorsqu'on connaît ma propension à me sustenter d'un rien, 5 à 6000 cal/h font largement l'affaire, c'est jamais très bon.

Alors peut-être que ça pêche du côté du tempo, c'est bien possible.
Le fait d'user d'un argot généreux y a certainement contribué.
La difficulté à dissocier Jerrold de son mentor ne lassa pas d'énervasser le non physionomiste que je suis.
C'était pas le jour de la magie pour les nuls, j'en sais foutre rien.
Ce que je sais, c'est que l'ensemble, mais surtout un twist final intrigant, poussera cependant ma curiosité plus avant.
Faut dire que le tome 2 m'attend bien sagement sur une étagère, ce serait ballot de briser là sur un malentendu…

3.5/5
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En feuilletant cette bande dessinée, j'ai apprécié le trait de crayon d'André Benn et puis l'action se déroulant à Whitechapel au 19 ème siècle cela augurait des situations bien glauques.

Il est question ici de magie avec Jerrold Piccobello qui revient sur les lieux de son enfance, nous suivons son exil forcé avec sa soeur, sa découverte du théâtre, de la magie, son mentor Virgil Bell pour qui il voue une admiration sans borne.

Il n'y a pas vraiment de grande action majeure mais cette bande dessinée se lit toute seule et on a envie de continuer sur les tomes suivants.

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La magie, ce n'est pas que l'affaire d'Harry Potter et consorts (ou qu'on ne sort pas).

Ici, même les Moldus peuvent être magicien. de très grands magiciens.

Hélas, d'aussi qu'on soit monté, on n'est jamais assis que sur son cul, mais la chute n'en est pas pour autant aussi douloureuse que si on avait chu de l'Empire State Bulding.

Pourtant, Jerrold Piccobello a commencé dans la bas du panier, avec une père décédée et un père qui jouait au Grec, c'est-à-dire qu'il trichait avec les dés (entre autre).

C'est après avoir été refusé pour son numéro et s'être senti devenu has been que Jerrold revient sur les terres qui l'ont vu grandir. Se remémorant sa jeunesse et tous les mauvais coups du sort, il repense aussi avec nostalgie à son mentor, Virgil Webb, Ze best magicien. Celui qui lui a tout appris.

Les dessins ne m'ont pas trop emballés, de plus, à certains moments, on a du mal à différencier Jerrold de Virgil, si on n'est pas trop attentifs.

Dommage que je n'ai pas accroché aux dessins parce que le scénario, de son côté, appelle à la curiosité, à l'envie de découvrir la jeunesse de Jerrold, les coups durs, son insouciance de jeunesse…

Son apprentissage auprès du Gérad Majax de l'époque, du Harry Houdini qui ne s'évade pas, du David Copperfield qui séduit toute les dames après leur avoir montré sa baguette magique, était bien mis en scène et je n'ai pas vu le temps passer durant ma lecture.

Malgré tout, il me manquait un truc pour me faire revenir pour le deuxième acte, pour aller chercher la suite de cette bédé dans les étagères de la biblio et ce truc qui manquait, il est arrivé en final de ce tome et là, je me suis dit que j'allais suivre cette série – au diable les dessins que je n'aime pas – afin de savoir ce qui allait se passer maintenant que notre Jerrold avait passé un contrat inhabituel.

Faudrait peut-être lui signaler qu'il devra utiliser une longue cuillère, car lorsqu'on dîne à la table de ce personnage, vaut mieux en avoir un longue (de cuillère !).

Cul entre deux chaises pour cette chronique. La curiosité est plus forte, je ne résisterai pas, faudra que je lise la suite.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'ai beaucoup aimé ce récit dans ses 2/3. La dernière partie est un peu bizarre car on introduit le fantastique sans crier gare. L'authenticité et la crédibilité du récit prend un sacré coup. Pour autant, on a envie de connaître la suite. On se doute que vu le lieu et la date choisie, il y aura du Jack l'éventreur là-dessus. Pour le reste, c'est une nouvelle visite du mythe de Faust.

J'ai toujours aimé le milieu de la magie. Cela me rappelle un peu le film de Christopher Nolan à savoir le prestige qui fut un coup d'éclat brillantissime. On entre véritablement dans les coulisses de la prestidigitation. le désir d'être illusionné n'a pas de limites.

Au final, une trilogie qui commence et qui ne manque pas d'intérêt dans un décor londonien assez envoutant.
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critiques presse (2)
ActuaBD
25 août 2015
Une découverte diablement sympathique.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
06 mars 2015
L’artiste conserve ce style semi-réaliste qu’il a su faire évoluer depuis Mic Mac Adam et qui, maintenant, lui assure une reconnaissance évidente.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Comme c'est curieux... Lorsque l'on erre sans but précis en ressassant les souvenirs de notre existence, nos pas nous ramènent souvent sur les lieux de notre passé...
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Les hommes qui s'imaginent être complément civilisés et qui croient maîtriser en toutes circonstances leurs instincts se trompent lourdement. Les êtres humains sont et resteront toujours des animaux et ceux qui jouent avec les désirs jouent avec le feu.
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Si la vie est un miracle, l'homme est magicien.
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