Le texte de
Maurice Benroubi est bouleversant, peut-être d'autant plus qu'il n'est pas écrit de façon habituelle, linéaire. Il ne cherche pas non plus l'analyse : c'est un témoignage brut. J'ai aussi été très touchée par la tendresse avec laquelle il évoque ceux qui l'ont accompagné, ceux qui sont morts. le journal qui suit, écrit par son épouse, est touchant et intéressant : on voit deux existences en parallèle, séparées par la déportation. Les documents d'
A. Wieviorka restituent la dimension collective.