Quel bonheur de retrouver Catherine enfin heureuse blottie dans les bras de son bel amant.
j'avais pourtant décidé de m'arrêter au premier volume, craignant que cette aventure au long cours prenne des relents d'eau de rose, mais j'ai finalement cédé à la tentation en passant chez mon libraire préféré et me suis procuré le deuxième volet de cette saga.
J'ai lu, tournant les pages avec passion, j'ai rêvé à l'amour violent qui ravage tout sur son passage, j'ai frémi, j'ai espéré, j'ai eu peur et finalement j'ai pleuré.
« Belle Catherine », je ne peux décidément pas te laisser poursuivre cette aventure, seule avec ton chagrin, je vais t'accompagner jusqu'à la dernière ligne du dernier volume.
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Là, pour le coup, plutôt bof !
Je m'explique, c'est toujours aussi bien écrit, les descriptions sont magnifiques qu'il s'agisse des vêtements, des châteaux, de l'ambiance, des batailles, rien à redire la dessus. le fond documentaire est riche et l'exploitation du personnage de Gilles de Rais est tout à fait convaincante dans ce roman. Alors me direz-vous, où est le problème ?
Le problème est le personnage de Catherine particulièrement et accessoirement celui d'Arnaud. Bien sûr, ils sont attachants mais quand les alternances larmoyantes de Catherine se frottent à l'orgueil démesuré d'Arnaud, on se retrouve avec des scènes qui se répètent à n'en plus finir et c'est assez lassant, du moins, moi, j'en suis fatiguée pour le moment.
D'aucuns on fait le rapprochement entre Angélique et Catherine, et pourtant, même si les événements se suivent et s'enchaînent dans les deux cas au fil de l'Histoire, les deux personnages n'ont pas la même consistance. Autant Angélique est inventive et constructive dans son malheur, autant Catherine, même si elle a des sursauts de courage, tombe rapidement dans la mièvrerie et c'est pénible.
Conclusion, ce n'est pas mal mais je vais attendre un peu pour lire la suite car les malheurs à répétition, pour le moment, c'est vraiment pas ça qui me remonte le moral et qui me distrait :-p
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La terreur de la damnation, l'antique effroi de Satan et du sorcier son serviteur ! Le grand seigneur, le guerrier sans peur disparaissaient, d'un seul coup, laissant seulement, à nu, l'homme aux prises avec la vieille peur ancestrales venue du fond des âges, l'angoisse de l'incompréhensible, née de l'humus des noires forêts druidiques sous l'éternelle menace des barbares deux du sang.
J'ai le coeur si plein d'amour, de joie et de douceur
Que la glace me paraît fleur et la neige verdure...
L'amour est frère de la mort. Dans les temps cruels qui sont les nôtres, ils sont les seules choses qui comptent.
Les femmes de ce siècle, et cela quel que soit leur rang, doivent se battre tout au long de leur vie. Et aussi que, plus encore que la guerre, la peste, la mort ou la ruine, c'est l'homme qui est leur pire ennemi ! On se bat avec les armes que l'on possède. Et parfois mieux vaut plier la rage au cœur que s'opposer à la tempête au risque d'être brisée.
Le seul fautif, en cette triste histoire, c'était le destin. Et c'était aussi l'amour éperdu, l'amour invincible qui, dès le premier regard échangé, l'avait liée à Arnaud de Montsalvy, capitaine ; de Charles VII et ennemi du duc de Bourgogne. Tant de choses les avaient séparés : la guerre, l'honneur, la naissance et jusqu'aux liens du sang... Mais maintenant, tout était bien : le chemin était aplani, la route du bonheur était grande ouverte...
Avec sa centaine de perles et ses 674 diamants d'une pureté exceptionnelle, taillés en brillants ou en poires, et sertis sur une monture dite « en esclavage », ce chef d'oeuvre de 2842 carats est un bijou unique dans l'histoire de la joaillerie. Suivons les traces de ce collier et de la mystérieuse affaire qui l'entoure, et découvrons comment théâtre, littérature et bande dessinée vont s'emparer d'un fait historique pour construire un véritable mythe littéraire. N'hésitant pas à s'éloigner de l'affaire originelle, ces récits se sont construits autour d'un objet bien réel, qui tient encore le premier rôle aujourd'hui dans de nombreuses adaptations télévisuelles et cinématographiques.
Pour en savoir plus, rdv sur le site Les Essentiels de la BnF : https://c.bnf.fr/TRC
Crédits de la vidéo :
Direction éditoriale
Armelle Pasco, cheffe du service des Éditions multimédias, BnF
Direction scientifique
Charline Coupeau, docteur en histoire de l'art et chercheuse à l'École des Arts Joailliers
Scénario, recherche iconographique et suivi de production
Sophie Guindon, chargée d'édition multimédia, BnF
Réalisation
Amopix
Enregistrement, musique et sound design
Mathias Bourre et Andrea Perugini, Opixido
Voix
Geert van Herwijnen
Crédits iconographiques
Collections de la BnF
© Bibliothèque nationale de France
Images extérieures :
Blake & Mortimer, Tome 10, L'Affaire du collier, Version journal de Tintin, 1967
Couverture, p.22, p.26, p.28, p.32, p.33 de la bande dessinée
© Editions Blake & Mortimer / Studio Jacobs (Dargaud-Lombard s.a.), 2024
Mickey et le collier de la reine, 1971
Couverture de la bande dessinée
© Hachette, 2024
Le collier de la reine de Frances Mossiker, 1963
Couverture du livre
© Julliard
Un collier pour le diable (Le Gerfaut des brumes, Tome 2), de Juliette Benzoni, 2003
Couverture du livre
© Pocket
Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur de Takashi Morita, 2022
Couverture du livre
© Kurokawa
Extraits de films et séries :
Arsène Lupin
Film de Jean-Paul Salomé, 2004
Extrait de la bande annonce
Artwork : Elisa Seitzinger
© M6 Vidéo
Arsène Lupin
Série TV de George Kay, 2021
Extrait de la bande annonce
© Netflix
L'affaire du collier
Film de Charles Shyer, 2023
Extrait de la bande annonce
© Canal VOD
Artwork : Elisa Seitzinger
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