Je le préfère en conteur de l'Histoire qu'en conteur d'histoire. Fidèle à lui-même
Stéphane Bern parle de mondanités, d'un monde select où les apparences sont trompeuses. Il y a de bonnes idées, comme le corbeau même s'il aurait pu servir un twist final plus alléchant.
Pierre Bonnard, notre personnage principal, manque de profondeur selon moi, il n'a pas la complexité que j'attendais d'un auteur qui côtoie depuis de nombreuses années les gens qu'il décrit, ainsi que les nombreux monarques dont il a souvent narré la vie.
La maturité du récit laisse à désirer, trop de facilités et une conclusion qui manque de panache mais pour un roman créer de toutes pièces j'ai lu pire. Je ne vais pas le descendre plus que ça, la lecture est facile et je n'ai pas aimé sans pour autant détester. L'auteur est capable de mieux.
Commenter  J’apprécie         20