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EAN : 9782253018063
159 pages
Le Livre de Poche (30/11/-1)
4.06/5   91 notes
Résumé :
Un galion perdu dans les océans. Des brutes livrées à la famine, à l'alcool et à l'autodestruction.
Après quoi, les éléments déchaînés par un cyclone sans précédent infligent au navire les derniers tourment, avant de l'engloutir dans une atmosphère de fin du monde.
Alors commence la nouvelle vie des deux naufragés, un vieux matelot et un jeune mousse -- celui qui raconte cette histoire. Échoués sur une terre sinistre et inhospitalière, où la figure de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
4,06

sur 91 notes
De l'image mentale, plus ou moins précise, que l'on se fait d'une maison d'éditions, du style de textes qu'elle publie, certains livres viennent l'enrichir ou l'infléchir, la confronter ou plus généralement la conforter.
Ce roman est terriblement, profondément, Jean-Jacques Pauvert.
Pas celui des scandales judiciaires, des défis à la censure, celui qui a sorti le Marquis de Sade du placard, « Le Château de Cène » ou bien « Histoire d'O »…
Plutôt celui qui s'est toujours intéressé à une étrange forme de symbolisme fantastique à la française, présent en second rideau de cet érotisme transgressif, voyante carte de visite.

Mais il est ici question de sa ré-édition chez l'Arbre Vengeur, avec l'appui plus ou moins assumé de Juan Asensio (oui, encore lui… ), qui en signe une préface de seulement 30 pages cette fois-ci… qui n'a d'ailleurs pas été conservée dans sa version mini-poche « véhémente » (nom de la collection… ça lui va pourtant comme un gant…), dont il aurait sûrement mieux fallu en faire une postface, lui qui ne se gène pas pour écrire qu'il trouve celle de Dominique Roux « étrange, moins fulgurante qu'obscure », alors qu'elle colle parfaitement à ce texte, et ce dès sa première parution, justement chez J.J. Pauvert.

S'attarder à parler d'éditions — celle-ci réunissant le roman éponyme ainsi qu'une courte variation médiévale, habile complément aidant à saisir le sens de toute cette entreprise — signifie ne pas avoir pas trop envie de se lancer dans le fond de l'histoire…
S'ouvrant classique récit de marine à voile au temps de sa prédominance, prétexte à un naufrage menant on ne sait où… île déserte, autre dimension ou bien les Enfers ?… duo de personnage type maitre et élève, père et fils, ou encore jeune et vieux, lâchés dans un environnement incompréhensible, poisseux de symbolisme sans grandes destinations, accouchant d'une petite épopée sans grande saveur, peinant à donner quelques reliefs malgré la promesse de cette montagne.

On appréciera justement l'ajout de cette nouvelle, « Ils ont déchiré son image », utile préquelle ( ou antépisode au Québec ) à l'impression d'ensemble, ainsi que sa sensible postface.
On pourra alors lire avec plus d'attention la préface, surtout pour y glaner d'utiles conseils de lectures, le genre fantastique en ayant souvent bien besoin.

Pour le reste, on laissera aux autres le soin de deviser sur l'identité de son auteur, sa vie tragique, ainsi que l'ombre forcément pesante de son patronyme.

De ces éditeurs français férus de surréalisme, symbolisme et autre fantastique, la « patte Pauvert » a souvent quelque chose de malaisant, enjoignant le lecteur un peu plus carré à se pencher vers les collections de son confrère Henri Parisot
Tout ce ci restant bien-sûr fruit d'une impression… bien que tenace…
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Cet été j'ai poursuivi le travail d'exploration des rayons arrière de ma bibliothèque. J'y ai retrouvé La montagne morte de la vie, de Michel Bernanos, le fils de Georges.
Paru chez Jean Jacques Pauvert en 1967, le roman a été réédité par le Livre de Poche en 1977, dans la collection Fictions dirigée par Michel Demuth et Jean-Baptiste Baronian. Je me souviens encore de ma surprise lorsque j'ai lu le nom Bernanos dans cette collection. Je pensais bien entendu au père, Georges et c'est seulement en rentrant chez moi que je me suis aperçu de ma bourde.
Bizarrement le livre est dédié à l'actrice Maria Mauban (1924-2014), la mère de Jean-Claude Dauphin.
Michel Bernanos s'est suicidé le 27 juillet 1964 dans la forêt de Fontainebleau, il était âgé de 41 ans.
La Montagne morte de la vie est le roman titre d'un cycle de trois oeuvres présentées comme les oeuvres majeures de l'auteur.
Un jeune homme de dix-huit ans, « un soir, après boire, » se retrouve à « signer un engagement d'une année sur un galion. »
En bute aux brimades de l'équipage il trouve refuge auprès de Toine le vieux cuisinier : « Va chercher ton hamac, tu dormiras avec moi à la cuisine. Tu seras toujours mieux qu'avec ces voyous. »
Pour fuir cet environnement hostile, le héros s'isole dans le spectacle immense de la mer :
« le navire (…) et son beaupré donnant l'illusion d'éperonner l'horizon semblait voler. »
« la brise légère (…) me faisait penser aux caresses de ma mère, du temps où je n'étais encore qu'un tout petit enfant. »
« (…) le galion faisant jaillir des gerbes de gouttelettes où se mêlaient de minuscules arcs-en-ciel. »
Il passe ses nuits « (…) à guetter les étoiles nouvelles qui s'élevaient de l'horizon pour s'installer dans la sombre voute céleste sous la garde immobile de la Grand Ourse. »
Le dernier paragraphe du voyage en galion sonne comme une réminiscence du poème de Jose Maria de Heredia, les Conquérants (fatigués de porter leur misère hautaine) :
« Les hommes devenus silencieux étaient pour la plupart allongés sur le pont digérant leurs crimes. Certains fixaient devant eux des yeux hagards, remplis de vide, comme s'ils avaient voulu chercher l'oubli dans le lointain, là où le jour pur marquait l'aurore. »
Pour le héros, le voyage en galion est un parcours initiatique. Il y est seul, sans défense face à un équipage qui veut le plier à ses volontés. Il s'abrite derrière une autorité naturelle, celle d'un vieux cuisinier respecté. Mais ce dernier lui apprends que dans l'adversité, il convient d'oublier les querelles et de faire cause commune y compris avec ses anciens tortionnaires.
« (…) j'appris par la suite à mes dépens que l'homme est vulnérable devant la souffrance, comme devant la joie. »
Le héros et Toine, le cuisinier, se retrouvent seuls, ils abordent sur une terre au relief étrange, dominée par un soleil rouge « Autour de nous, la roche avait cette même couleur rouge (…) »
Commence alors un deuxième parcours initiatique, la progression vers le sommet d'une montagne, progression au sein d'un environnement inconnu, plantes carnivores, forêt vivante, village aux habitants pétrifiés.
Le roman de Bernanos renvoie à notre propre expérience de la vie, à nos peurs, à la recherche de certitudes, à nos déceptions devant l'homme, aux épreuves qui nous font devenir des humains consentants.
En terminant cette deuxième lecture, près de 40 ans après la première, je reste avec la même impression amère quant au sens de la vie et à notre présence sur terre.
A lire, à condition de ne pas sombrer.

Lien : http://desecrits.blog.lemond..
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Cela commence comme un roman d'aventures maritimes, quelque part entre l'île au trésor et les aventures d'Arthur Gordon Pym.
Le jeune narrateur, dont nous ne connaitrons pas le nom, se retrouve embarqué en qualité de mousse sur un galion en route pour l'Amérique du Sud.

Devenu le souffre-douleur d'une large partie de l'équipage il est protégé par Toine le cuistot du bord qui s'est pris d'affection pour lui.
Le galion est alors bloqué dans une zone sans vent ; c'est le début des ennuis...

"La montagne morte de la vie" est un étonnant roman, cruel avec ses personnages qui sont confontés à un lieu déconcertant et effrayant.
Ici, pas de monstres, c'est l'environnement tout entier qui est source de peur.
Le curieux titre trouve une explication à la fin du livre, cette montagne pourrait être celle de la destinée des hommes, plongés dans un inconnu qui les bouleverse et les terrifie, jusqu'à l'inéluctable.

Un livre original et fort à découvrir !
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Michel Bernanos est l'un des trois fils de Georges Bernanos, éclipsé par la personnalité de son père il n'a réussi à libérer son extraordinaire talent que dans ce livre qui est un des plus beaux de la littérature fantastique française et à coup sûr, un des plus émouvants et des plus tragiques.
Lorsqu'ils furent au pied de la montagne ils virent d'innombrables silhouettes d'êtres pétrifiés les yeux dirigés vers le sommet.
La seule preuve de vie de leur figure n'était plus que la flamme ardente de leur regard. C'est la découverte que vivent deux marins après le naufrage de leur navire, cette aventure a des accents et des relents horrifiques d'une oeuvre de Lovecraft.
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Voilà une étrange découverte, lors de la lecture d'une critique du Stalker dans son blog au titre acerbe, dissection du cadavre de la littérature, La montagne morte de la vie de Michel Bernanos. Ce roman fantastique vient s'inviter à ma curiosité, celle, de la langue, de la prose envoutante, d'une histoire tourbillonnante.
Bernanos, ce nom plutôt associé à Georges, auteur incontesté de la langue française, avec Sous le soleil de Satan paru en 1926, Monsieur Ouine paru en 1943, Les enfants humiliés paru en 1940 et tant d'autres constellant une oeuvre littéraire riche et puissante de ce grand auteur du XXe siècle. Mais là, Bernanos se trouve uni à Michel, l'un des fils de Georges, poète, auteur de romans fantastiques, écrivant sous des pseudos divers comme Michel Talbert et Michel Drowin, pour rompre avec le nom de famille célèbre de son père, Michel est peu connu, certes, mais La montagne morte de la vie, roman source d'un cycle fantastique, paru à titre posthume ouvrira les portes de la notoriété à ce prénom.
Il est vrai que la littérature de nos jours souffre de la société de consommation et d'une propagande illusoire de certains auteurs formidables, ces écrivains sont la mode de certain, au détriment de l'écriture, mais du chiffre ; faire vendre. Regardons les prix de nos jours, offert à des pseudos écrivains de circonstances…. Mais la découverte reste la meilleure façon de pouvoir puiser dans une réelle littérature, sans artifice, pouvoir chiner dans des libraires indépendants, s'ouvrir à une véritable littérature, naturelle, comme La montagne morte de la vie, récit écrit en 1963, paru à titre posthume.
Ce roman, divisé en deux parties distinctes, emporte votre coeur dans une tourmente sans fin, une angoisse saisissante portée par une écriture incroyable, la peur de notre jeune narrateur s'infuse dans le périple de ce galion comme une malédiction entrainant l'équipage dans une folie furieuse, une expédition maudite pénétrant par fatalité dans l'enfer océanique en furie.
Un jeune garçon se retrouve, après une cuite mémorable, enroulé malgré lui dans une expédition maritime, à la conquête de l'or sud-américain, sur un galion en partance. Ce jeune homme subira l'agitation des hommes d'équipage pour presque le noyer lors d'un bizutage musclé et stupide, puis Toine un vieil homme, cuisinier, le prendra sous son aile. Cette aventure semble à chaque instant souffrir de mal chance, comme une inévitable circonstance basculant dans l'effroi d'une catastrophe, en entrainant une autre comme une chute sans fin.
La première partie parait nous chavirer dans une aventure maritime au siècle des pirates, celle de la conquête des Amériques, pour y troquer l'or. Dès le début, le jeune homme de 18 ans semble plongé dans un horrible cauchemar, encore grisé par l'alcool, agressé par l'odeur du goudron au-dessus de la cale, le voilà encré sur le pont d'un navire, enrôlé, dans cette expédition inconnue, commence son histoire qu'il nous conte.
Tout se déchaine comme une malédiction, une volonté de Dieu, comme à Job, pour tester notre jeune moussaillon, perdu dans le monde des adultes. le galion stoppe, pris dans un anticyclone, plus de vent, les vivres pourrissent, l'eau manque, l'équipage vire dans la folie, s'entretue, s'empoisonne de pommes de terre germées, mangées crues, se cannibalise pour se manger entre eux, s'enivre de rhum. Petit à petit, ces hommes glissent dans la bestialité humaine pour survivre et finir par s'exterminer un à un, aidé par la nature capricieuse.
Michel Bernanos dans une inertie troublante nous aspire dans ce tourbillon sans fin, comme ce coeur de la tempête entrainant le navire dans sa déchéance, le lecteur est happé dans ce chaos tel un automate prisonnier de ces mots hypnotiques, de ce mouvement s'ouvre la porte de l'enfer.
Cette deuxième partie, plus inquiétante dans l'immobilité où le rouge brule le paysage d'une chaleur de limbe, ce panorama saigne de sa curiosité et de son étrangeté, les deux survivants pensent être dans l'antre de l'enfer. L'histoire prend sa part de fantastique, tout parait d'un autre monde, l'atmosphère, le ciel, le silence alourdit la pesanteur de l'oppression, la végétation est hostile, la terre est instable. Cette survie est surtout un cauchemar de vie, Toine et le jeune narrateur s'imprègne de cette poussière, pour devenir statue de cette montagne, berceau de leur tombeau.
La mort demeure vaine, statufié de cette terre hostile, le jeune garçon narre cette histoire, comme si sa pensée devenait universelle pour être transcrite et lue. Ce roman est admirablement écrit, sa forme aimante l'attention pour l'aspirer dans ce tumulte sans fin.
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critiques presse (1)
Actualitte
26 mai 2017
Porté par une langue poétique rare et précieuse, ce roman offre une histoire et des visions qui vous suivront durant une bonne partie de votre vie de lecteur !
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Au bout d’un long moment de pénible descente. Nous sentîmes sous nos pieds le contact d’un rocher. Il était énorme, et avançait assez loin dans le vide. Nous nous mimes a plat ventre et rampâmes jusqu’à ce que nos regards puissent plonger dans l’abime. Nous pûmes cette fois en apprécier la profondeur extraordinaire, grâce a plusieurs feux allumes qui en éclairaient le fond.
« Avez-vous une idée de ce que cela peut vouloir dire ? » demandai-je à Toine.
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Je venais tout juste d'atteindre mes dix-huit ans, lorsqu'un soir, après boire, la main d'un ami guida la mienne pour signer un engagement d'une année sur un galion.
Mes souvenirs relatifs à ce qui devait être le départ d'une aventure effroyable, sont très vagues, pour ne pas dire nuls. En fait, je ne repris vraiment contact avec la réalité, que le lendemain matin. Ma surprise fut grande, alors, de me retrouver couché de tout mon long sur la dure, accueilli par le bleu du ciel profond.
J'aperçus ensuite des voiles que gonflait doucement un vent léger, puis les petites taches blanches de la mer en mouvement se multipliant jusqu'au bout de l'horizon.
Au comble de l'étonnement, je regardai autour de moi, quantité de cordages s'y trouvaient lovés, des cordages pareils à ceux que j'avais vus si souvent sur les ponts des navires en escale...
(extrait du chapitre premier)
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Je regrette vraiment pour toi, petit, de te voir avec moi dans mon cauchemar d'homme éveillé. Mais il faut bien que tu comprennes que si nous commençons à nous affoler, c'est contre nous que nous travaillons ! Ici, tout est inexplicable. Et ne compte surtout pas trouver la solution. Comme partout, la mort rôde avec la vie. Mais ici, un peu plus qu'ailleurs, c'est tout !
Il me disait cela pour me tranquiliser. Mais tandis qu'il me parlait, je sentais monter en moi la solitude. Toine sans la peur, je le voyais bien, prenait le chemin de l'acceptation. Et je me demandais si l'étonnement que je lisais sur ses traits n'était pas celui de n'être pas mort. Le vieux coeur de mon compagnon était fatigué, et j'étais persuadé qu'il ne continuait à battre que pour son jeune ami.
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Je m’étais endormi, comme il m’arrivait souvent, sans m’en rendre compte, et il me semblait entendre Toine frapper du pied à mes côtés et grincer des dents d’impatience, sans doute parce que je ne m’éveillais pas assez vite à son gré. Mi-furieux, je me soulevai enfin sur un coude et grognai :
– Ça va, ça va, je me lève.
Mais ma colère s’évanouit lorsque je vis Toine, ou plutôt son ombre, se pencher sur moi en chuchotant :
– Tais-toi, petit, et regarde !
L’intonation qu’il employa – celle qu’on ne trouve que pour les belles choses qui vous intimident – me fit plus d’effet qu’un coup de pied lancé dans mes reins, car ce n’était pas précisément le genre de Toine de se pâmer d’admiration devant quoi que ce soit. Je me mis donc debout, chuchotant à mon tour :
– Qu’est-ce qu’il y a ?
En même temps, je fixai mon regard droit devant moi. Ne voyant que la forêt sous la couleur argentée de l’aurore blême, je me retournai vers Toine :
– Ben quoi, ce n’est que le jour qui se lève !
– En pleine nuit ? Tu as déjà vu, toi, petit, le jour se lever la nuit ? En plus, dans cet endroit où y a jamais de lune ? Et puis tu sais bien que le jour, ici, est rouge !
C’était vrai, comment avais-je pu l’oublier ! Mais alors, qu’allait-il encore se passer ? Je sentis mon sang se glacer lorsque le bruit que j’avais pris dans mon sommeil pour Toine frappant du pied avec colère se fit de nouveau entendre. Je m’accrochai au bras de mon compagnon.
– Vous entendez ? fis-je à voix basse.
– Oui, petit, me répondit-il d’un ton étrangement calme. On dirait qu’un cœur de géant bat sous nos pieds.
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La mer était devenue d'huile, le ciel d'une étrange profondeur, et, par-dessus tout, planait un formidable silence. Notre mât observait une immobilité totale. Il se dégageait de cette ambiance quelque chose de maléfique impossible à définir. J'avais, pour ma part, l'impression d'être englouti dans une grotte aux dimensions sans limites, dont les voûtes auraient été parsemées d'énormes vers luisant vitrifiés dans leur vie comme dans leur propre lumière.
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