Lu jusqu'au bout mais berrrk ...
2 chapitres et aucun paragraphe = livre indigeste ....
Le résumé au dos de la couverture ne correspond pas au livre : le narrateur parle plus de son état d'esprit que du sujet principal.
Bref, il fait parmi des livres à vite oublier...
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J'ai abandonné après 130 pages. Non que l'écriture ne soit belle, encore que le style répétitif ait quelque aspect désarçonnant, mais la vision pessimiste à l'extrême de T. Bernhard, de ses parents, de ses frères et soeurs mais aussi de l'Autriche ou de l'Allemagne, ne correspondait sans doute pas à mon état d'esprit.
Evidemment que l'attachement viscéral du narrateur à l'Italie, au Sud en général et à Rome en particulier, avait de quoi me séduire mais 130 pages plus tard nous tournions en rond… toujours…
Nonobstant quelques belles analyses sur l'art photographique comme abject car figurant sur pellicule des mensonges, ou l'abrutissement par la religion des masses mais aussi des prétendues élites… il m'a manqué la force de poursuivre.
Une autre fois ?
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