Très bien écrit et profond. Un petit air de Camus ou encore de Kafka, qui sont d'ailleurs quelques uns des auteurs préférés de Frédéric Bernicot. Gros coup de coeur...
Ce n'est pas la maladie en elle-même qui m'est inacceptable, mais l'idée de la souffrance qui en résulte, souffrance d'autant plus intolérable que l'issue est fatale.