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Critique de Follepicarde
Un poignard, un Leica, un journal de cuir noir, une commode rose avec des éléphants, une chanson de Michel Fugain et un bol de Bortsch, cela pourrait bien être le secret d'un été qui change les vies à jamais.
Eté 1977, Mouchka passe l'été seule avec son père, propriétaire d'un restaurant russe, la Datcha. le destin va bouleverser sa vie par deux fois cet été-là. Elle va découvrir le journal intime de sa mère, une photographe russe qui a fuit l'URSS en compagnie du danseur Noureev et qui a été tragiquement tuée lors d'un cambriolage qui a mal tourné. Lors de ses déambulations estivales dans Paris, elle va découvrir une drôle de petite boutique : le Grenier à rêves où travaille le beau Gabriel, lui aussi en quête d'identité. Mais il semblerait qu'il n'y a pas que l'amour qui les lie l'un à l'autre, et toutes les réponses qu'ils se posent se trouvent dans leur passé entremêlé.
Mon avis : Un livre à coté du quel j'ai failli passé, cela aurait été bien dommage car ce fut un moment très agréable de lecture. Telle une matriochka, le récit est à tiroir : témoignage d'une époque, chronique d'adolescences tourmentées et de la naissance des sentiments, roman historique... le style sans fioriture ni pathos est fluide, agréable, sensible. le récit mêle tour à tour les voix de Gabriel, de Mouchka mais aussi d'Irina la mère, par le biais de son journal, ce qui rend la lecture très agréable.
Eté 1977, Mouchka passe l'été seule avec son père, propriétaire d'un restaurant russe, la Datcha. le destin va bouleverser sa vie par deux fois cet été-là. Elle va découvrir le journal intime de sa mère, une photographe russe qui a fuit l'URSS en compagnie du danseur Noureev et qui a été tragiquement tuée lors d'un cambriolage qui a mal tourné. Lors de ses déambulations estivales dans Paris, elle va découvrir une drôle de petite boutique : le Grenier à rêves où travaille le beau Gabriel, lui aussi en quête d'identité. Mais il semblerait qu'il n'y a pas que l'amour qui les lie l'un à l'autre, et toutes les réponses qu'ils se posent se trouvent dans leur passé entremêlé.
Mon avis : Un livre à coté du quel j'ai failli passé, cela aurait été bien dommage car ce fut un moment très agréable de lecture. Telle une matriochka, le récit est à tiroir : témoignage d'une époque, chronique d'adolescences tourmentées et de la naissance des sentiments, roman historique... le style sans fioriture ni pathos est fluide, agréable, sensible. le récit mêle tour à tour les voix de Gabriel, de Mouchka mais aussi d'Irina la mère, par le biais de son journal, ce qui rend la lecture très agréable.
