Un livre court, mais d'une belle intensité. On se perd dans ces pages et leur temporalité, on navigue d'un lieu à un autre... pour mieux comprendre la relation de Jeanne avec Naja bien sûr, mais aussi avec sa grand-mère, Madame Trentesaux, etc.
Au travers de ce texte fiévreux et captivant, c'est finalement de la peur de l'autre, de l'acceptation, de l'empathie que nous parle l'auteur,
Jean-Claude Berutti.
J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de Je Savais À Peine le Nom de Ton Pays, un plaisir sauvage et porteur d'espoir, en dépit du thème principal qui pourrait sembler sombre : l'asile politique, la clandestinité.
Par sa force et sa prose, il nous rappelle que c'est définitivement dans la rencontre que l'on se construit.
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