Patrick Besson/5
3 notes
Résumé :
« Un jour de l’été 2002, Franz-Olivier Giesbert m’a demandé
d’écrire sur la télévision chaque semaine dans Le Point. Je lui ai dit que j’écrivais déjà sur la télévision pour un autre hebdomadaire, textes rassemblés dans Le Plateau télé (Fayard, 2010). Franz m’a rappelé quelques jours plus tard et m’a dit que, dans ce cas, je pourrais écrire sur n’importe quoi. C’est ce que j’ai fait. »
d’écrire sur la télévision chaque semaine dans Le Point. Je lui ai dit que j’écrivais déjà sur la télévision pour un autre hebdomadaire, textes rassemblés dans Le Plateau télé (Fayard, 2010). Franz m’a rappelé quelques jours plus tard et m’a dit que, dans ce cas, je pourrais écrire sur n’importe quoi. C’est ce que j’ai fait. »
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critiques presse (3)
Impertinentes, parfois provocantes, les chroniques de Patrick Besson sont un vrai régal à la relecture.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Tout ce qui a fait l'actualité est évoqué par Besson, à quoi il faut ajouter tout ce qui a retenu son attention pour des raisons qui ne regardent que lui. Au final, cela fait une sorte d'encyclopédie loufoque et décalée de notre temps
Lire la critique sur le site : LeFigaro
On ne résume pas 405 chroniques. On ne compte pas leurs vacheries ni leurs victimes. Ses chroniques, c'est tout Besson. Déjanté, érudit, impertinent, grave, rigolard, vengeur, provocateur, coquin, lettré, anar, incontrôlable. Il se joue des lignes jaunes et plante en gourmand son petit drapeau noir. Souvent, avec Besson, on croit lire un sketch, c'est une fable. Ses textes abondent de réflexions sur ces tout et ces presque rien, ces n'importe quoi qui importent.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (13)
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Le couscous est un plat infini, donc divin. Il y a un paradis : le rab. On reprend du bouillon pour finir la semoule, on rajoute de la semoule pour finir le bouillon, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on pèse 100 kilos. "La seule chose nécessaire à un écrivain fécond, c'est une nourriture abondante et régulière", disait Baudelaire. Mais sur quel ton ?
Suggestion de titre pour un prochain roman de Katherine Pancol : La mouche verte n'a pas peur du cadavre de l'amour.
Le problème des génies, c'est qu'ils doivent vivre avec quelqu'un comme tout le monde, alors qu'ils ne sont pas comme tout le monde [...].
"Après la critique doit venir l'affirmation inouïe." C'est une phrase d'Henri Thomas (1912-1993), écrivain français qui ne passait pas à la télévision, car il avait compris que c'est inutile.
Quand on n'écrit pas de roman, on se demande qui nos romans intéressent. Quand on en écrit un, on a répondu à la question : c'est nous que notre roman intéresse. Le problèmes du succès, si douloureux pour la plupart des romanciers, car il n'en ont pas, ne se pose plus mais ce dépose au fond du verre de vin de l'inspiration, comme la lie.
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Videos de Patrick Besson (16)
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