Il serait tentant de reléguer Adam Sarlech au rang d’univers graphique déjanté et impénétrable. La réalité est tout autre : derrière cet air de démence, Bézian fait constamment preuve d’une rigueur extrême et jamais la cohérence du récit n’est prise en défaut.
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Frédéric Bézian : "En bande dessinée, le ciel bleu, l'herbe verte ne m'intéressent pas !"