Une conversation entre Bilal qui n'a plus grand chose à dire (et à peindre avec ses copiés collés qu'il nous ressasse jusqu'au mortel ennui) et Onoditbio l'insipide pédant poussé à l'extrême , exemple de non culture genre asinus asinum fricat et on s'emmerde royal. Ca fait au moins une décade qu'ils ont eu le temps de réfléchir à leur reconversion (mémoires post mortem)
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Au fil des chapitres, Ono-dit-Biot remonte pas à pas le fil secret de l'un des créateurs les plus impressionnants qu'ait connus la bande dessinée actuelle. Au-delà des a priori, par-delà le mépris de certains, ce livre saisit Bilal l'enfant, l'homme et l'artiste, en allant traquer la vérité d'un dessinateur secret, né à Belgrade le 7 octobre 1951, en République socialiste de Yougoslavie, d'un père bosniaque et d'une mère tchèque.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Il y a beaucoup de choses dans ces entretiens, depuis l'arrivée, gare de l'Est et sous la pluie, d'Enki, 10 ans, sa main dans celle de sa mère, et l'adieu à un pays qui un jour n'existera même plus - l'ex-Yougoslavie. L'enfant fuit le réel, court vers un monde en lui, qui nourrira une œuvre splendide, éminemment prospective.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Au fil des pages, le lecteur devient véritablement un semblable et un frère, ainsi que le souhaitait Baudelaire, qui trône au panthéon d'Enki Bilal avec Georges Perec et quelques autres [...]. À la fin du livre, il n'y a plus d'idole. Il reste seulement un immense artiste.
Lire la critique sur le site : LePoint
Augustin Trapenard reçoit Enki Bilal pour "Shakespeare – Bilal. Une rencontre", paru aux Editions Marie Barbier. L'ouvrage se penche sur l'adaptation de "Roméo et Juliette" de William Shakespeare par Enki Bilal en 2011. A ses côtés, Camille de Peretti présente "L'Inconnue du portrait", édité chez Calmann-Lévy, dans lequel elle imagine l'histoire de la femme peinte par Gustav Klimt dans son "Portrait d'une dame". Yannick Haenel, lui, évoque "Bleu Bacon", publié chez Stock, et Thomas Schlesser "Les Yeux de Mona", édité chez Albin Michel.