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EAN : 9782211307680
358 pages
Ecole des loisirs (03/06/2020)
4/5   35 notes
Résumé :
De retour à la Maison des enfants de Sèvres, Catherine se lance dans le monde. Poussée par Goéland et Pingouin, elle commence une carrière de photographe-reporter. Mais, au début des années 50, il ne fait pas bon être une femme dans ce milieu exclusivement masculin. Et si la guerre est finie, les combats, eux, ne manquent pas. À commencer par le féminisme, que Catherine découvre avec Simone de Beauvoir. Sa rencontre avec Mavis, chanteuse noire américaine qui a fui l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Ce roman m'a happée en me transportant dans la vie bouleversante, captivante et inspirante de l'héroïne Catherine.
En effet, Catherine au travers de cette histoire, surmonte toutes les difficultés pour réaliser ses rêves. Ainsi, grâce au soutien de ses amis, Catherine va devenir photographe reporter et partir aux États-Unis.

Cette oeuvre me parle car même si elle s'inscrit dans les années de l'après Seconde Guerre Mondiale, elle aborde les sujets du racisme, de l'homophobie, du sexisme et de la ségrégation encore d'actualité aujourd'hui, plus de soixante ans après.

De plus, au fur et à mesure de l'histoire, on y découvre de belles histoires d'amitié, même au-delà des frontières, de belles histoires d'amour, au-delà des règles, et surtout une très belle histoire de bienveillance et d'entraide avec une maison des enfants, qui consacre sa vie aux enfants juifs orphelins.
L'action se déroule entre la France, l'Allemagne et les États-Unis à un rythme soutenu. Tous les personnages sont très touchants et attachants.

L'écriture est immersive grâce à ses descriptions très détaillées et recherchées pour nous plonger dans ces années de l'après Seconde Guerre Mondiale.

J'ai adoré ce livre, à lire absolument, car en plus de nous refaire vivre un pan de l'histoire, ce roman est une belle leçon de vie, de courage, d'amour, d'amitié et de réussite malgré les difficultés tout en soulignant des thèmes actuels.
Un roman historique, instructif, distrayant et d'actualité.

Manon V.


Attrayant, ce roman se lit vite malgré son nombre de pages.

Il nous raconte l'histoire de Catherine, une jeune femme juive qui fuit pendant la guerre, mais va revenir à l'endroit où elle a grandi pour débuter une carrière de photographe. Un métier qui va la faire voyager et rencontrer de nombreuses personnes.
A travers ses yeux, nous allons découvrir des personnalités historiques et en apprendre davantage sur les causes défendues à l'époque comme les droits des femmes et ceux des noirs américains.

J'ai aimé les détails historiques que ce livre nous apporte sur cette période.
J'ai également apprécié les personnages de Catherine qui est une battante, de nature plutôt optimiste et Goéland qui est une femme de caractère imposant le respect.

En revanche, un élément m'a gênée. J'aurai préféré que l'on rende hommage à une autre figure du féminisme dont je pourrais cautionner non seulement la cause soutenue mais également les moeurs.
J'ai également trouvé que l'écriture au présent ne mettait pas pleinement le récit en valeur. J'aurais préféré un récit au passé.

Je n'ai donc pour ma part pas réussi à accrocher ; néanmoins, le thème reste très intéressant et pourrait plaire à tous ceux qui souhaitent plonger dans L Histoire.

Membre anonyme des Readvengers






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Au nom de Catherine est un roman écrit par Julia Billet publié en 2020 et qui vise principalement un public jeune (adolescent).

Cette histoire se déroule dans les années cinquante. Catherine, une jeune femme juive, revient à Sèvres après presqu'un an d'absence.
Durant la guerre, elle a donc dû se cacher et changer d'identité à cause de sa religion.
Elle est de retour à la maison des enfants, où elle a vécu une partie de sa vie car ses parents, juifs, n'ont pas pu rester avec elle à cause de la guerre. Catherine est passionnée de photographie et grâce à ses amis, elle décide d'exploiter son talent en se lançant dans une carrière de photographe-reporter. Malheureusement pour elle, être une femme dans un monde d'hommes est loin d'être facile et elle va vite s'en rendre compte. Tout au long de cette histoire, Catherine va faire de merveilleuses rencontres qui la pousseront à s'engager dans la lutte contre le racisme ou bien encore contre le sexisme. Elle va se surpasser afin de réussir à vaincre ses peurs et va vivre plein d'aventures extraordinaires dans le but de devenir une femme indépendante et libre.

Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé ce roman car malgré sa longueur, il se lit vite car il est plein d'aventures. En effet, les nombreux voyages de Catherine comme celui aux Etats-Unis, ses reportages et ses rencontres avec de grandes personnalités vont nous faire paraitre l'histoire plus courte qu'elle ne l'est.
Puis, le fait que l'histoire se déroule après la guerre, dans les années cinquante, m'a beaucoup plu. Par exemple, je trouve cela bien que l'auteur ait insisté sur les traumatismes que les juifs ont pu subir après la guerre ainsi que sur la haine que certains français ont pu développer envers les nazis allemands. C'est ce qu'évoque le voyage en Allemagne qu'effectuera de Catherine dans ce livre. On peut donc remarquer que malgré la fin de la guerre, beaucoup de citoyens français, notamment les juifs, ne sont, dans un premier temps, pas tous prêts à pardonner aux Allemands.
Enfin, j'ai vraiment beaucoup aimé le fait que la lutte contre le racisme et le sexisme soit mise en avant dans cette histoire. Effectivement, Catherine se lance personnellement dans ces combats et rencontre alors Simone de Beauvoir, une autrice féministe, mais rencontrera également des personnages importants de l'affaire Brown, affaire qui entraîne une lutte contre la ségrégation. Catherine s'engagera énormément dans cette affaire avec comme atout: son appareil photo.

Je vous conseille donc vraiment de lire ce livre que j'ai beaucoup aimé !
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Aylin K.
Catherine est une Juive ayant survécu à la Seconde Guerre mondiale. Mais malgré la fin de la guerre, elle refuse de reprendre son nom d'origine. Alors que le monde commence à se reconstruire, elle tente elle-même de trouver sa place en tant que photographe pour les journaux. Ses amis, qui forment en réalité sa famille, l'aident comme ils le peuvent, et la pousse à avancer. Elle et un groupe d'autre enfant plus ou moins traumatisé par la guerre se rendent en Allemagne. Malgré leur peur. Ils y rencontrent de nombreuses personnes et deviendront amis, malgré toutes les choses qui ont été dressées entre eux. Son voyage et l'article ainsi que les photos qu'elle avait pris durant ce voyage son publié dans le journal. Mais les retours ne sont pas forcément bons...
Malgré cela, elle continue sa carrière de photographe. Mais Catherine vit encore à une époque misogyne où les femmes n'ont pas une très grande place dans la société : on ne lui propose que de faire des photos pour les magazines de mode. du moins, au début. Elle fait la rencontre de nombreuses personnes, plus ou moins connue, et découvre le racisme. Et décide de lutter contre. On l'envoie alors en tant que journaliste aux Etats-Unis, ou elle découvrira de nombreuses choses et de nombreuses personnes...

Une histoire intrigante et touchante, qui nous apprend de nombreuses choses non seulement sur la Seconde Guerre mondiale, mais surtout sur tout ce qu'il s'est passé ensuite. Les choses qui y étaient toujours bien présente, comme le racisme, mais dont on ne parle pas beaucoup. Catherine est une personne courageuse ayant pourtant de nombreuses peurs qu'elle essaye d'affronter petit à petit, tout en réalisant ses rêves.


Mme le Gallais : Au nom de Catherine de Julia Billet est une bande dessinée que j'ai particulièrement apprécié. Elle raconte l'histoire vraie d'une jeune fille juive pendant la Seconde Guerre mondiale. Pendant tout le récit, on suit Catherine dans son aventure et dans sa quête de retrouver ses parents. À travers, ses photographies Catherine espère faire face à l'oppression et au stéréotype de l'allemand méchant. Même si le thème est difficile, la lecture reste fluide et c'est une histoire qui devrait plaire aux plus jeunes comme aux grands !
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Au nom de Catherine de Julia Billet raconte la suite de l'histoire de Catherine, une jeune juive qui rentre à la Maison des enfants de Sèvres, l'endroit qui l'a vu grandir après la seconde guerre mondiale.

Arrivée sur place, les deux gérants lui conseillent de se trouver un travail en rapport avec sa passion, la photographie. Catherine commence alors un emploi de photographe-reporter. le problème, c'est qu'être une femme est un frein à cet emploi et de nombreuses portes se ferment sur son passage. Catherine se rend très rapidement compte qu'il y a de nombreux préjugés qui existent toujours et que la guerre n'a pas servie à les arrêter.

Qu'à cela ne tienne, Catherine se lance dans une entreprise afin de dénoncer les combats qui ne manquent pas de lui tenir à coeur. La voilà donc à se rendre en Allemagne dans l'espoir de prouver que les allemands ne sont pas tous des monstres. En plus de ça, sa rencontre avec Mavis, une chanteuse noire va bouleverser sa vie à jamais et Catherine n'aura alors de prouver que peut importe notre couleur de peau, nous sommes tous égaux.

Bien qu'il s'agisse d'un roman, il n'est pas difficile d'imaginer les scènes écrites par l'autrice se dérouler dans la réalité. En effet, même au jour d'aujourd'hui, le racisme tient toujours une part importante alors il n'est pas difficile de croire que dans les années 1950, il était plus que présent.
Les lecteurs suivent avec plaisir les aventures de Catherine qui n'hésite pas à se rendre aux États-Unis pour prouver à quel point le racisme peut être désastreux pour le développement des enfants.
Un récit plaisant à lire malgré les thèmes difficiles que l'autrice aborde dans son roman (lutte pour le féminisme, racisme, homophobie...). Un pan de l'histoire qui doit avoir sa place dans la littérature de jeunesse.

Ce qui est intéressant avec le personnage de Catherine, c'est qu'elle est passionnée par la photographie et c'est la raison pour laquelle elle prend le parti de dénoncer les combats qui lui tiennent à coeur par le biais de sa passion. Catherine est une jeune femme qui se donne à fond pour ce qui compte pour elle.

En résumé, Au nom de Catherine est un roman qui vaut le coup d'oeil et qui plaira aux lecteurs.
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Le livre « Au Nom de Catherine » est un livre datant de 2020 , c'est un roman écrit par Julia Billet , oeuvre aimé par le public. L'éditeur est l'école des loisirs.

le livre est un roman parlant principalement de féminisme , d'après-guerre , de photographie ainsi que de l'évolution franco-allemande. C'est un livre rempli d'action et de moment émouvant.

Dans ce roman, nous retrouvons Catherine Rachel , une jeune femme juive, ayant grandi à la maison des enfants de Sèvres avec un couple de résistant du nom de Goéland et Pingouin qui l'ont cachés durant la seconde guerre mondiale. Catherine va essayer de vivre avec Etienne dans la province, mais elle va revenir à Paris pour réaliser sa passion , son rêve : la photographie.

Quand elle va revenir , elle va de nouveau se lier d'amitié à Jeannot , tout deux à la recherche de Sarah. Catherine Rachel va déménager à la Ruche dans le 15 ème. Elle va y rencontrer Max Ernst.

Elle va réaliser des reportages pour l'Humanité , après ses quelques reportages , elle va devoir travailler à la presse féminine et va partir aux Etats-Unis pour les mouvements du droit civique.

Durant son voyage, elle va vivre beaucoup d'aventure et va rencontrer beaucoup de personnes tels que Mavis, une chanteuse noire américaine qui a fuit les USA pour la France. Elle va découvrir le féminisme avec Simone de Beauvoir. Catherine va se rendre en Allemagne pour montrer que les Allemands ne sont pas tous mauvais.

Ce livre est livre qui peut intéresser n'importe quel public.

Voici quelques citations qui m'ont plu, « La paix ne peut venir que de si nous la faisons avec nous même et avec ceux que nous voyons comme ennemis » et enfin « Vous avez été victime de la folie des adultes et la seule façon d'en finir est de se côtoyer , se connaître se rencontrer de s'aimer »
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critiques presse (5)
Sur fond d’identité et de résilience, la finesse du trait de Mayalen Goust épouse celle du propos. Une dessinatrice à suivre, dont on avait déjà apprécié le trait sur «Alicia prima ballerina assoluta», de la scénariste genevoise Eileen Hofer.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
LigneClaire
16 mai 2023
Rachel petite fille juive se passionne pendant la guerre pour la photo. Elle change de nom et devient Catherine. Un ouvrage d’une rare humanité adaptée du roman de Julia Billet paru à l’École des Loisirs et qui signe le scénario de cet album au dessin chaleureux de Claire Fauvel.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Sceneario
12 avril 2023
Julia Billet aborde aussi la question du pardon lors d’une séquence en Allemagne peut être un brin stéréotypée, mais touchante et pleine de promesses pour l’avenir.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
11 avril 2023
Fiction qui emprunte à la réalité historique, Au nom de Catherine illustre l’espoir d’une génération qui voulait tourner le dos à la guerre et qui croyait en un futur forcément radieux. Une belle histoire délicatement racontée.
Lire la critique sur le site : BDGest
Ricochet
16 septembre 2020
L’écriture est simple, l’histoire linéaire enchaîne les événements sans les faire se chevaucher. La petite histoire rencontre très régulièrement la grande, nous offrant un condensé de l’atmosphère pleine de vitalité qui bouillait à la Libération.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
"Tu sais, je ne dois pas seulement être sérieuse, je dois être deux fois plus sérieuse que les autres. Je dois travailler deux fois mieux que les autres. Quand on est noir, on doit toujours faire ses preuves, sinon on nous prend pour des idiots. Et, pour moi, c'est pire, parce qu'avec le procès tout le monde va regarder si je suis aussi intelligente qu'un enfant blanc de mon âge. C'est l'avocat qui m'a expliqué tout ça. Alors tu comprends, les grimaces, je n'ai pas trop le droit d'en faire. Et je dois être la meilleure. Papa m'a dit que c'était ma mission à moi."

À 9 ans cette enfant a une maturité qui me rappelle Alice en pleine guerre, si petite et déjà tellement consciente du monde, de la vie et de la mort aussi.

C'est Linda qui m'a fait comprendre qu'ici c'est la guerre depuis des siècles et qu'elle bat encore son plein. Elle est un petit soldat qui doit marcher au pas, en première ligne.

Page 321
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"Ils sont surpris qu'on envoie une femme au bout du monde, qui plus est une jeune femme, pour couvrir un évènement qui prend de l'ampleur dans la ville et même dans l’État depuis une année."

Selon moi cette citation est puissante. Elle illustre parfaitement la place de la femme à la fin de la seconde guerre mondiale. Dans cette partie de l'histoire, Catherine par aux États-Unis pour couvrir un évènement de grande ampleur, mais aussi au nom d'un de ses proches amis. A son arrivée, la population locale l'accueille mal, pour la simple raison qu'elle est une jeune femme photographe, envoyée pour couvrir un évènement qui, selon eux, aurait dû être couvert par un homme.
Cet extrait explique, à l'époque, être une femme dans le milieu du travail peut-être synonyme de honte. Surtout pour accomplir une tâche qu'un homme "devrait" faire.
Jasmeen
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"La guerre est finie et aujourd'hui, je suis obligée d'avoir à nouveau de vrais papiers : je n'ai plus de raison ni le droit de me cacher et je dois vivre dans la légalité, pour de bon. Pourtant, là, à la frontière allemande, j'aurais voulu montrer ma carte d'identité, celle où Cohen n'apparait pas, celle où l'on peut lire "Catherine Colin", mon nom de guerre, l'identité que je me suis forgée et que j'ai finie par adopter."

J'ai choisi cet extrait car je pense qu'il illustre bien la peur que la plupart des juifs ont dû ressentir à la fin de la guerre. Dans cette scène malgré le fait que Catherine n'ait plus rien à craindre face aux allemands, elle prend tout de même peur, preuve que la guerre a dû la traumatiser profondément.
Jasmeen
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Imaginer des Juifs comme moi partir en vacances en Allemagne à me donne une soudaine envie de vomir. L'idée que des Juifs comme moi pourraient côtoyer de jeunes Allemands qui, il y a peu, portaient des uniformes de la jeunesse nazie me terrifie.
- La paix ne peut venir que si nous la faisons avec nous-mêmes et avec ceux que nous voyons encore comme des ennemis. Or Hans Peter a raison, vous avez été victimes de la folie des adultes, et la seule façon d'en finir est de se côtoyer, de se connaître, de se rencontrer, de s'aimer.

Page 84 et 85 : Goéland, directrice de la maison d'enfants de Sèvres, propose un séjour de vacances en Bavière à Catherine et Jeannot.
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"A mon sens le mariage est une obscénité, alors oui, je te comprends et je t'admire, jeune fille. Il en faut du courage pour s'opposer au diktat ambiant."

Je trouve cet extrait très puissant. Il offre une nouvelle vision sur le mariage. Encore aujourd'hui, une majorité de femmes est "destinée" à être mariée. Dans notre société actuelle, et passée, les femmes doivent se marier, sans condition. Une femme qui ne se marie pas peut être parfois considérée comme anormale. Selon moi, cette phrase est puissante et prouve qu'une femme peut avoir une vie normale sans être mariée.
Jasmeen
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Videos de Julia Billet (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Julia Billet
Dans le 149e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Jeanne, premier tome sur trois de Crénom, Baudelaire, adaptation du roman de Jean Teulé par Tino et Dominique Gelli et publié chez Futuropolis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l'album Le prof qui a sauvé sa vie que l'on doit au scénario d'Albert Algoud, au dessin de Florence Cestac et c'est édité chez Dargaud - La sortie de l'album Au nom de Catherine, adaptation d'un roman de Julia Billet par Mayalen Goust au dessin et c'est édité chez chez Rue de Sèvres - La sortie de Salamandre, titre que l'on doit à Ian Culbard et aux éditions 404 comics - La sortie de l'album Trois chardons que l'on doit à Cécile Becq et aux éditions Sarbacane - La sortie de l'album Dans l'ombre, adaptation du roman conjoint d’Édouard Philippe et Gilles Boyer, c'est Philippe Pelaez qui en signe le scénario, Cédrick Le Bihan le dessin et c'est co-édité par Jean Claude Lattès et Grand angle - La réédition de La guerre de Catherine pour les 10 ans de Rue de Sèvres, roman de Julia Billet qu'adapte ici Claire Fauvel
+ Lire la suite
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