Deuxième épisode des aventures de Renée Stone (alias Agatha Christie). le piège de la mer rouge débute là où se termine Meurtre en Abyssinie.
Les qualités du premier tome se retrouvent dans le second. Une histoire qui quitte toutefois le champs du policier exotique pour se retrouver dans celui de l'aventure à la Indiana Jones ou pour les plus anciens à la Henry de Monfreid qui inspire d'ailleurs le personnage de de Frick. C'est donc moins alambiqué que l'histoire précédente et on se perd moins dans les intrigues secondaires. L'histoire est beaucoup plus linéaire et les personnages subissent plus les événements qu'ils ne les maîtrisent.
Mais c'est toujours aussi bien écrit par Julie Birmant avec toujours autant d'humour dans les dialogues et de références à la culture populaire.
Les dessins de Clément Ombrerie sont encore une fois parfait pour évoquer l'Éthiopie, Djibouti et les rives de la Mer Caspienne. le style totalement poétique et non réaliste de son trait colle bien avec les invraisemblances inhérentes à ce genre de récit d'aventures. Et pour le coup, ils nous aident à rentrer dans cette histoire passionnante qui part encore une fois dans des directions inattendues.
Il reste un tome pour clore ce roman feuilleton. J'ai hâte de la lire !
Pour moi, le charme de cette série réside dans son côté rétro et dans son scénario assez imaginatif. L'inspiration des auteurs se trouve du côté de personnages réels comme Agatha Christie, Mallowan ou encore Monfreid dont les vies furent effectivement des plus romanesques. Par contre, le graphisme manque singulièrement d'application. On est parfois à la limite du gribouillage tant le trait est poussé. C'est vraiment dommage, cela nuit à cette série de manière importante.
Aventure rétro qui reprend des personnages réels (dont Agatha Christie et son second mari) et les place dans de folles histoires à la Indiana Jones : une pointe de romance (mais pour le moment ce n'est pas réciproque), de l'espionnage et des trahisons (beaucoup, on a du mal à suivre les personnages). C'est gentillement surrané allié à un dessin dynamique et expressif. Rocambolesque et éminament sympathique. Une réussite dans le genre, mais il ne faut surtout pas chercher de logique ni de réalisme...
A noter pour commencer en début d'album, un résumé de l'album précédent. Un bon point eu égard au petit manque de clarté dû notamment à la multitude de personnages et un dessin parfois confusant.
Nous retrouvons nos deux héros Renée Stone et John Malowan en bien mauvaise posture.
Bien qu'ayant réussi à prendre un dessin de la fameuse relique qui leur permettra peut être de découvrir un trésor inestimable, ils sont maintenant poursuivis par des traites que rien ne semble vouloir arrêter.
A mi chemin entre Agatha Christie et Les aventures d'Indiana John, le lecteur se laisse embarquer par l'intrigue où archéologie et espionnage font une bonne association.
Le dessin reste malheureusement toujours décevant avec des traits assez grossiers et des visages peu sympathiques.
J'avais imaginé que les différents tomes de la série était totalement indépendant. La façon dont se finissait le premier me convenait. Mais pas du tout, c'est une seule histoire, et j'ai faire un peu travailler ma mémoire pour recoller au récit.
J'aime toujours le petit côté rétro du récit. la mise en couleur si particulière. J'étais tout le même un peu perdue au milieu de tous ces personnages, qui est qui, qui est allié de qui, qui manipule qui....
Le troisième opus ne devrait pas tardé pour enfin profité de la totalité du récit
- "Hamritu Shibtu"
- Mais bon sang, ça veut dire quoi ce truc?
- "Hamritu Shibtu" ? Vieille pute en Akkadien !
- Ha ha ha, tu as traité Stanford de vieille pute !
- Oui et il n'a pas moufté. Ce qui prouve que cet ignare ne connaît rien à la Mésopotamie !
Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.