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Critique de mediathequelespennesmirabeau
Sara Englewood vient d'être engagée comme gouvernante par l'aliéniste Simon Bloomberg pour diriger son étrange maison appelée La cour des miracles. Celle-ci abrite le personnel au service de l'imperturbable Simon Bloomberg : Jérômine chargée du ménage mais redoutable espionne, Ulysse au corps de géant abritant une âme d'enfant , la cuisinière fin cordon bleu et enfin deux singes vindicatifs qui vivent dans la jungle miniature installée au rez-de-chaussée. L'ombre d'Elzbieta l'épouse de l'aliéniste prétendument en voyage plane sur la maisonnée dont l'ambiance oppressante intrigue et inquiète Sarah qui commence alors une enquête dont les éléments la ramènent inexorablement vers Simon Bloomberg, le médecin aux méthodes plus que controversées par ses confrères.
L'action se situe en 1888-1889 au moment de l'exposition universelle ce qui donne l'occasion à l'auteur de décrire à la fois le quotidien des parisiens mais aussi l'effervescence et la curiosité suscitées par cette manifestation.
Jean-Luc Bizien tisse patiemment la trame de l'intrigue ajoutant ici un trait de caractère, là une aventure jusqu'à ce que tous les éléments s'emboîtent pour donner enfin la clef de l'énigme loin de ce que le lecteur avait pu imaginer. Une légère touche de fantastique colore le roman lui conférent une légère aura de mystère qui aiguise la curiosité du lecteur.
L'action se situe en 1888-1889 au moment de l'exposition universelle ce qui donne l'occasion à l'auteur de décrire à la fois le quotidien des parisiens mais aussi l'effervescence et la curiosité suscitées par cette manifestation.
Jean-Luc Bizien tisse patiemment la trame de l'intrigue ajoutant ici un trait de caractère, là une aventure jusqu'à ce que tous les éléments s'emboîtent pour donner enfin la clef de l'énigme loin de ce que le lecteur avait pu imaginer. Une légère touche de fantastique colore le roman lui conférent une légère aura de mystère qui aiguise la curiosité du lecteur.
