Susan Webster sort d'un hôpital pénitentiaire où elle a passé 3 ans pour avoir tué son fils Dylan à cause d'une dépression post-natale. Enfin ça c'est ce qu'elle croît, ou ce qu'on a voulu lui faire croire, puisque Susan n'a aucun souvenir de la tragédie. Elle s'installe dans un village tranquille pour tenter de se reconstruire mais un jour une enveloppe est laissée sur son paillasson. A l'intérieur elle y trouve une photo d'un petit garçon d'environ 4 ans et au dos une inscription : Dylan. Susan commence à douter et, avec l'aide d'un soi-disant journaliste atterri devant sa maison on ne sait pas trop comment et sa meilleure amie de prison Cassie, elle commence à mener son enquête.
Que dire de ce roman, si ce n'est que je l'ai trouvé truffé d'incohérences et pas franchement bien construit. Même s'il suit la mode actuelle qui consiste à faire alterner passé et présent cela semble bien artificiel ici. Sur la quatrième de couverture on annonce que l'auteur serait “l'héritière anglaise de
Jean-Christophe Grangé”, on en est bien loin tant par l'intrigue que par l'écriture. Les personnages ne sont pas même pas attachants, surtout pas la mère qui a un comportement vraiment pas crédible… Quant à l'histoire, certes, elle est bien glauque mais pas franchement plausible non plus.
Décevant.
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