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Georges Goldfayn (Traducteur)
EAN : 9782743614300
313 pages
Payot et Rivages (17/06/2005)
3.8/5   79 notes
Résumé :
Quoi de mieux, pour narrer l'épopée de la révolution mexicaine, que de se mettre dans la peau de rodolfo fierro, le plus fidèle lieutenant de pancho villa ? C'est ce que fait James Carlos Blake qui nous conte, dans un style digne d'un roman d'aventures, l'odyssée grandiose et pitoyable de ces révolutionnaires à la fois idéalistes et cruels.Mêlant habilement faits et fiction, blake fait revivre l'histoire chaotique du Mexique au début du XXe siècle. À travers des êtr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Les révolutions se sont bien souvent déroulées dans des bains de sang.
La Révolution mexicaine a été particulièrement sanglante et sanguinaire.
Pancho Villa est la figure principale de ce roman de James Carlos Blake, adapté en roman graphique par Léonard Chemineau.
Ce personnage, un hors-la-loi mexicain devenu général de l'armée fédérale lors de la
Révolution, a mené avec ses « amis » la révolution du bas contre les riches et éduqués.
Se sont joint à eux tous les truands, bandits et transfuges mercenaires prêts à en découdre pour le mouvement.

Considérés par les étrangers comme des métis ignorants, ils vont faire régner la terreur multipliant les boucheries et éliminant tous ceux qui osent entraver leur chemin.
Leur lutte désespéré adaptée en bande dessinée, est narrée d'une plume précise et engagée.

Les dessins de Léonard Chemineau possèdent une forte puissance évocatrice et allégorique qui secouent l'imaginaire.
La narration de la folie des boucheries d'une violence extrême, lui donne l'occasion d'illustrer un des symboles du Mexique, les têtes de mort du fameux Dia des muertos.

En bande dessinée la couleur est la bande-son de l'histoire.
Le traitement graphique et le travail très réussi des coloristes est à la croisée des ocres, rouges et bruns, retranscrivant à merveille l'atmosphère poisseuse de sang et de violence abrupte.

L'un des charmes du roman graphique c'est qu'il n'est pas interdit de prendre des libertés avec L Histoire.
Apprendre et s'amuser en lisant : voilà un argument imparable !


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C'est l'adaptation en bande dessinée d'un roman de James Carlos Blake, auteur d'origine mexicaine. Il raconte la révolution et la guerre civile mexicaine de 1910-1920. L'action se situe dans l'entourage de Poncho Villa, chef des révolutionnaires du Nord. le personnage central est Rodolfo Fierro, personnage réel, tueur sans scrupule, cynique et sans coeur, un vrai sadique, mais un des meilleurs lieutenant de Poncho Villa, un personnage plus attiré par l'aventure que par les idéaux. le récit prend quelques libertés avec la réalité, navigant à la limite de l'uchronie puisque ce personnage, mort en 1915, survit dans cette histoire à cette guerre. Mais c'est pour mieux raconter l'état d'esprit qui régnait dans cette époque, Poncho Villa n'était qu'un bandit que les circonstances ont transformé en héros révolutionnaire. L'ambiance est chaude, dure et violente, le graphisme avec ces tons d'ocres et un trait cru et agressif rend bien compte de l'atmosphère, de la chaleur, du sable rouge à perte de vue, de la rudesse où la vie et la mort se confondent, c'est la chaos mexicain. On n'est pas très loin de la vision de Sergio Leone dans “Il était une fois la révolution”. Mais malgré quelques digressions avec la réalité, on reste ici plus proche d'un récit historique. On se situe là où L Histoire réelle côtoie l'aventure, et c'est là que se tiennent l'intérêt et la réussite de cette bande dessinée.
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Rodolfo Fierro a sans doute été le plus fidèle compagnon d'arme du général Pancho Villa. Tout commence en 1910, alors que Fierro sort de prison et qu'il rencontre Tomas Urbina, un des lieutenants de Villa. Très vite, l'ex-prisonnier montre sa bravoure et se révèle un tueur sans état d'âme. Devenu le bras droit du général, il va accompagner ce dernier jusqu'à sa mort en 1923. Ensemble ils vont traverser les moments les plus terribles de la révolution mexicaine. du soutien au constitutionnaliste Carranza à l'alliance avec Zapata, cette petite quinzaine d'années sera pour eux l'occasion de vivre une aventure humaine d'une rare violence.

En adaptant le roman de James Carlos Blake, Léonard Chemineau propose une plongée au coeur d'une des plus grandes révoltes du 20ème siècle. L'indépendance du Mexique restera à jamais pavée du sang de nombreuses victimes innocentes. Impossible d'oublier que pendant cette période le pays est en plein chaos. Pillages, viols, massacres… la guerre civile laisse chacun exprimer ses plus bas instincts. Fierro joue le rôle du narrateur. Son point de vue est intéressant car il n'est pas celui d'un idéologue. Son but n'est pas de délivrer une population opprimée, il veut simplement profiter au maximum de ce mode vie sans aucune contrainte : « La révolution nous a donné des armes, les meilleurs chevaux, des bottes, des vêtements et des chapeaux texans. A manger et à boire autant que nous voulions. Elle nous a fait voir du pays, elle nous a donné de l'or et des femmes, partout... Mais surtout elle nous a donné la liberté. » La fin de l'insurrection est pour lui une mauvaise nouvelle : « Si c'est vraiment fini, ça va être le retour de la loi, du papier, des directeurs, des tribunaux, des prisons, de toute cette merde. » Ce personnage sulfureux est sans doute représentatif de la majorité des hommes s'étant engagés dans le conflit : aucune conscience politique, juste la volonté de vivre les choses à cent à l'heure. Born to be wild, en quelque sorte…


Léonard Chemineau signe ici sa première BD. Cet ingénieur spécialisé dans l'environnement et le développement durable a été repéré lors du concours Jeunes talents du festival d'Angoulême en 2009. Pour un débutant, il maîtrise déjà sacrément la narration. Beaucoup de cases en cinémascope, des scènes de bataille très dynamiques, une représentation de la violence réaliste qui ne tombe jamais dans le gratuitement gore, des couleurs chaudes qui emmènent le lecteur au coeur du désert mexicain… les qualités de son adaptation son nombreuses. Son trait élégant rappelle parfois celui de Mathieu Bonhomme (Le marquis d'Anaon, le voyage d'Esteban). Il y a pire comme comparaison !

Finalement, le problème majeur tient dans la densité du roman original. Comment résumer autant d'événements et d'années de lutte en si peu de pages ? L'histoire de l'indépendance mexicaine défile à vitesse grand V et il n'est pas toujours évident d'en saisir les subtilités. Pour autant, grâce à ses personnages haut en couleurs et à son intérêt historique, cet album restera pour moi une bonne pioche.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Dans des mots croisés sadiques, à la définition de "Villa célèbre", il fallait répondre "Pancho"… Oui, c'étaient des mots croisés de sadiques.

Pancho Villa, cet homme que je ne connais pas. C'était donc l'occasion d'aller me coucher moins bête, tout en fournissant une chronique de plus pour le Mois Espagnol où je n'ai guère brillé, cette année.

— La révolution, c'est comme une bicyclette, quand elle n'avance plus, elle tombe.
— Eddy Merck ?
— Non, Che Guevara !

Ah ça, pour faire la révolution, ils l'ont faite… Mais à quel prix ? Celui de la barbarie, celui où l'on tue tout ce qui ne nous plait pas, tout ce qui nous gêne, ou juste pour prouver qu'on est un homme et donc, un tue le premier type qui passe, même si c'est une connaissance.

Je le dis d'emblée, je n'ai pas aimé les dessins de cette bédé, ni les couleurs, pourtant dans les tons chauds. Encore moins les personnages, mais c'est accessoire, vu les actes qu'ils commettent (pillages, vols, viols, assassinats,…).

Évidemment, le récit est cru, sans fard, sans édulcorants. La révolution passera aussi par des magouilles, par des alliances, par des traîtrises.

Moi, je me méfie toujours des personnes qui veulent délivrer des populations opprimées… Au départ, on tue des méchants, comme le fit Daenerys dans GOT et puis, à force de traquer des monstres, on court toujours le risque d'en devenir un sois-même et de tout faire pour que l'état de guerre ou de révolution continue.

C'est bien démontré dans ces pages. Et puis, lorsque le chaos règne, la loi est absente, la loi, c'est eux, c'est moi. No rules, autrement dit, pas de règles, si ce n'est celle du plus fort.

Pour cela, je dois dire que l'auteur le retranscrit bien dans ses dessins, dans les dialogues, dans les actions des révolutionnaires. Mais il faut dire aussi qu'il met en scène un roman de James Carlos Black…

Tant pis pour moi, je n'ai pas adhéré, pas aimé, mais c'est ainsi. Les dessins, c'est une histoire de goûts et de couleurs. On aime ou on n'aime pas. Il m'est déjà arrivé de détester des dessins mais d'apprécier le récit, le scénario, mais dans ce cas-ci, je suis passée à côté de tout.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Aujourd'hui encore, le PRI (Parti révolutionnaire institutionnel) est le principal parti politique du Mexique, malgré l'ouverture du pluripartisme dans le pays depuis les années 1960. Ce parti fut fondé en 1929, soit presque vingt ans après le début de la révolution mexicaine, qui dura de 1910 à 1920.

Le roman de James Carlos Blake se focalise sur cet événement, dans lequel émergea une figure à l'aura légendaire : Pancho Villa. Ancien bandit devenu chef de guerre, il mena la lutte armée à travers des coups de main, des batailles et des prises de villes avant d'être obligé, privé d'hommes et de soutiens politiques, de renoncer à la guerre puis d'être assassiné dans une rue de Parral. Pour suivre le périple de cet homme, Blake choisit comme personnage principal une autre figure historique, Rodolfo Fierro, surnommé le Boucher pour sa capacité à tuer. Ce personnage, pour lequel il est difficile de ne pas éprouver de sympathie, fut l'un des plus proches compagnons de Pancho Villa, son homme de main impitoyable ainsi qu'un seigneur de guerre de confiance. Blake s'arrange avec la vérité historique : mort en 1915, Fierro continue de vivre dans le roman afin de suivre, jusqu'au bout, le parcours de Villa.

Épopée brutale et héroïque, le roman invite à interroger le sens du combat révolutionnaire. Quelle est donc cette révolution dont parlent les Villa, les Carranza, les Huerta, les Zapata ? S'agit-il de prendre la place des anciens maîtres et de jouir des mêmes privilèges ? S'agit-il de passer par les armes hommes, femmes et enfants et collectionner les massacres ? S'agit-il de légitimer la cruauté et l'horreur par la nécessaire redistribution des terres aux paysans ?

Les révolutionnaires seraient épris d'égalité et de liberté. Mais, comme l'indique Fierro, on ne combat pas pour devenir libre : on combat parce que l'on est libre. L'exercice de la violence devient alors l'indicateur du degré de liberté. A ce titre, Pancho Villa et sa troupe sont on ne peut plus libres. D'ailleurs, comment les qualifier ? Armée révolutionnaire ou cartel de bandits et de criminels ? Ils méconnaissent les absurdes lois de la guerre et exécutent les prisonniers, se vengent des traîtres en assassinant leurs familles, se terrent comme des bêtes aux heures les plus sombres.

Et pourtant, on comprend ces hommes, leur exaltation à être ainsi libres, à être ainsi redoutés, à mettre en jeu leur vie jour après jour. Qu'elle soit réalisée au nom d'idéaux ou non, cette aventure est celle d'une époque révolue où l'on galopait à travers les déserts, où l'on festoyait avec force enchiladas et mezcal, où l'on dégaine à vive allure pour faire respecter le nom et le chef.

Les amis de Pancho Villa tâche de retrouver l'esprit de ces années où la folie et l'idéal étaient intimement liés. Blake, avec une écriture posée et bien structurée, rend compréhensible cette période et tisse les liens et les ruptures politiques et personnels qui unissent ou déchirent tous ces hommes aux carrures dignes de l'Etat. le roman est fort, dense, grisant à certains égards et donne un (trop court) aperçu de la riche histoire du Mexique.
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critiques presse (3)
BDSphere
05 juin 2012
->Retrouvez ce coup de coeur dans le n°15 de BDSphère publié le 3 mai 2012.
En hommage au western spaghetti de Sergio Leone, Emir Kusturica envisage d’adapter le roman du Mexicain James Carlos Blake, Les Amis de Pancho Villa au cinéma. C’est chose faite en BD par le dessinateur autodidacte Léonard Chemineau, remarqué au concours “Jeunes Talents” du festival d’Angoulême en 2009 qui signe un premier album flamboyant. Embarqué par hasard dans la tourmente révolutionnaire, le narrateur omniscient Rodolfo Fierro a sans doute été le plus fidèle compagnon d’arme du général Pancho Villa. En 1910, à sa sortie de prison, il s’engage au côté des troupes rebelles et devient le bras droit du charismatique général jusqu’à sa mort en 1923. Anti-héros parmi le ramassis de mercenaires opportunistes, de criminels de haut vol et de révolutionnaires convaincus, celui qu’on surnomme vite “le boucher” (“El Carnicero”) incarne l’exaltation et le désenchantement de la révolution dans un récit réaliste sanglant et sans compromis qui croise les grandes figures historiques. Les couleurs illuminent le désert inondé de soleil, révélant un dessin fouillé et majestueux. L’intrigue cavale, imprègne un univers crédible et esthétiquement très réussi. Une réflexion sans concession sur l’engagement révolutionnaire.
Les Amis de Pancho Villa, Léonard Chemineau, d’après le roman de James Carlos Blake, Casterman/Rivages Noir, 128 pages, 18 euros.
ISBN-13: 978-2203034570
Lire la critique sur le site : BDSphere
BDGest
13 avril 2012
Proposant des protagonistes hauts en couleur au sein de décors particulièrement lumineux, ils restituent à merveille l’ambiance poussiéreuse et suffocante de ce pays en proie au chaos. Chapeau (ou sombrero si vous préférez) !
Lire la critique sur le site : BDGest
BoDoi
13 avril 2012
À la fois palpitant récit d’aventures et réflexion sur l’engagement et le sens d’une révolution populaire (des fusils, oui, mais pour tuer qui?), cette adaptation du roman éponyme de James Carlos Blake est impeccable.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Urbina aimait à parler de l’époque où, à Juárez, lui et un groupe de ses gars allèrent voir un des premiers spectacles de cinéma de la ville. Les problèmes commencèrent à la caisse de l’entrée, quand Cholo Martinez insista pour ne payer que moitié prix, parce qu’il n’avait qu’un seul œil. Le caissier maintint résolument que Cholo devait payer le même prix que tous les autres spectateurs. Et si tout le monde portait un bandeau sur l’œil, pour éviter de payer le plein tarif, et l’enlevait ensuite dans la salle pour regarder le film avec les deux yeux ? Qui escroquerait qui, alors ? « Dans ce cas, suggéra Cholo, demandez à tous ceux qui ont un bandeau sur l’œil de vous montrer ce qu’il y a en dessous. » Il retira son bandeau et il fourra son orbite vide et à vif sous le nez du petit homme zélé. Urbina rapportait que le bonhomme en avait presque vomi. Il permit à Cholo d’entrer à moitié prix.
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"N'ayez pas peur les gars! C'est une fiesta! Écoutez. Dansez, petits frères, dansez sur la musique de ces canons!"

Chaque fois que je comportais ainsi au milieu de fusillades et sous le feu de l'artillerie, les gars me regardaient comme si j'avais des cornes et une queue pointue. Mais ils travaillaient aussi plus sûrement et combattaient plus bravement, assurés de leur sécurité en ma compagnie, parce que Fierro était indestructible.

Et je l'étais.
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« Pendant plus de trente ans, Porfirio Díaz gouverna ce pays comme un domaine privé. Les ennemis qu’il ne tuait pas, il les achetait avec des cadeaux sous forme d’haciendas, de fonctions politiques ou de capacités administratives dans l’armée. Díaz ne laissait d’autre choix que manger le pain qu’il fournissait ou recevoir sur la tête les coups de son gourdin. Il nommait personnellement les gouverneurs de chaque état ; et tout problème que les gouverneurs et leurs hommes de main ne pouvaient pas traiter, les rurales de don Porfirio ou son armée y parvenaient certainement. Les généraux de l’armée vivaient comme des seigneurs, et les riches propriétaires fonciers – les hacendados – jouissaient d’un pouvoir divin sur les péons qui travaillaient comme des esclaves dans leurs domaines. Les hacendados adoraient Porfirio Díaz. De même que les hommes d’affaires étrangers – les Britanniques et les Yankees, en particulier – qui obtenaient de lui des transactions extrêmement amicales et profitables pour des pâturages, des droits miniers, des licences d’exploitation pétrolière, des activités de transport maritime, des droits de passage ferroviaires – tout ce qu’ils voulaient. »
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La troupe a ensuite grossi… truands, bandits, transfuges carrancistes, mercenaires…
Notre armée accueillait tous les paumés du Mexique.
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Un matin, je repérai trois fédéraux morts, pendus par les pieds à la porte d’un poste de police, chacun avec un écriteau épinglé à la poitrine. L’un portait : «Cet homme a été tué parce qu’il était un voleur.» Le suivant indiquait : «Cet homme a été tué parce qu’il fabriquait de la fausse monnaie.» Le troisième faisait savoir : «Cet homme a été tué par erreur.»
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