" Il semble qu'aucun véhicule ne soit encore passé par là, et bien que nous soyons tous immédiatement descendus, il paraît douteux que le landau puisse continuer. Les chevaux, rendus à moitié fous par des nuées de taons, luttent pour monter la rude pente, s'arrêtent à chaque instant pour ruer. Le landau roule et tangue comme un bateau sur la mer. La route est de plus en plus mauvaise et la chaleur de la mi-journée de moins en moins supportable. Nous tombons maintena... >Voir plus