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EAN : 9782290313725
400 pages
J'ai lu (15/03/2001)
4.14/5   614 notes
Résumé :
Pour Chris MacNeil et sa fille Reagan, une adolescente de quatorze ans, la vie s'écoule heureuse et aisée dans un quartier bourgeois de Washington.
Et puis, un jour, des bruits étranges résonnent dans la calme demeure, des objets disparaissent, des meubles sont déplacés. Quant à Reagan, d'étranges métamorphoses la défigurent, des mots obscènes jaillissent de sa bouche.
Tandis que peu à peu la personnalité de l'enfant se dédouble et se disloque, face au... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (108) Voir plus Ajouter une critique
4,14

sur 614 notes
Certains romans n'ont vraiment pas volé leur statut de "classique" et "L'exorciste" en fait indéniablement partie.

J'ai été scotchée par ce roman d'épouvante et pas seulement par son thème et son contenu mais aussi - et avant tout - par le style de Williams P. Blatty. Sincèrement, je ne m'attendais pas du tout à lire un roman aussi bien écrit et j'ai été enchantée par ma découverte. L'auteur développe intelligemment la personnalité de chaque personnage sans jamais tomber dans la caricature, ce qui, étant donnés lesdits personnages (metteur en scène et vedette de cinéma, prêtres et enquêteur) aurait été la voie de la facilité.

Mais c'est justement parce qu'on sent que l'auteur n'a cédé à aucune facilité que ce roman est un grand roman dans son genre. N'ayant pas encore vu le film culte qui s'en est inspiré, il m'a été impossible d'anticiper les événements et le dénouement, ce qui est toujours une grande satisfaction pour un lecteur.

Côté récit, c'est très fort, très violent et très cru, ce n'est donc pas un roman à mettre entre toutes les mains ou qui plaira à tous les "profils" de lecteurs mais j'ai personnellement apprécié la parfaite retenue de l'auteur qui nous évite les flots d'hémoglobine et joue davantage sur la dimension psychiatrique. J'ai également énormément apprécié le personnage de Kinderman, que j'ai visualisé sous les traits de l'inspecteur Columbo, ce qui n'a nui en rien à ma sympathie pour lui.

Une très belle surprise donc, notamment côté style, j'insiste ; pour moi, Blatty enfonce Stephen King, et de loin.


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"Bonjour les Babélionautes! Aujourd'hui...

-... on suce des bites en enfer!

-Méchante Déidamie, mais ça va pas?!

-Ben quoi? T'avais dit que j'avais le droit de rendre hommage au film, alors j'rends hommage!

-Oui, et j'avais dit aussi "pas trop littéral, l'hommage"!

-Ben c'est pas littéral, je ne porte aucun maquillage! Ha-ha, t'es verte, hein?

-Je suis fatiguée... Bon, bref, on va parler d'un roman: L'exorciste, de William P. Blatty. Je précise que c'est Méchante Déidamie qui a choisi le bouquin, ce qui explique pourquoi il ne colle pas du tout avec l'ambiance de Noël qui approche!

-Ben tiens, tu peux parler, toi, avec Rodogune comme lecture de Noël 2020! et puis, tout est question de point de vue, hein... chuis sûre que chez la famille Addams, c'est un film de Noël! Tout est relatif, tout ça...

-Est-ce qu'on peut au moins couper la musique de fin du film que t'écoutes en boucle depuis trois jours?

-Rhôôôh, elle est vachement belle et pas du tout crispante quand on l'écoute sans avoir vu le film juste avant!

-Méchante Déidamie, qu'est-ce que tu n'as pas saisi dans mon intonation qui appuyait sur "en boucle depuis trois jours"?

-D'accord, j'arrête...

-Merci! Or donc Chris McNeil s'inquiète: le comportement de sa fille Regan devient de plus en plus violent et agressif, sa maison devient le lieu de phénomènes étranges. La médecine moderne reste impuissante, la maladie s'aggrave et la mère, désespérée, se tourne vers un prêtre pour faire exorciser sa fille...

-J'parie que c'est un livre dégueulasse, rempli de trucs crades comme fait Stephen King, miam miam!

-Et bien détrompe-toi, Méchante Déidamie! Parce que la première chose qui m'a sauté aux yeux, c'est l'élégance de la prose.

Oui, croyez-moi, croyez-moi pas, mais L'exorciste est beau! le texte recèle de splendides trouvailles, de métaphores justes et mélancoliques. Il ne tape pas dans la vulgarité ni dans la facilité d'écriture: bien au contraire il prend un soin tout particulier du contexte de chaque personnage. Et ce contexte nous amène à un autre aspect de l'histoire: la tristesse.

Je m'attendais à un roman uniquement centré sur le progressif crescendo de la possession, mais je me trompais lourdement!

Les doutes et chagrins des personnages, aussi bien principaux que secondaires, forment une toile de tristesse derrière l'intrigue principale. Vous croyez qu'il s'agit bêtement d'une possession et d'un exorcisme éprouvant? Non.

-Ah non, Gentille Déidamie, 'faut pas prendre les gens pour des truffes! Je ne peux pas te laisser dire ça, tu exagères!

-D'accord. Il s'agit d'une possession et d'un exorcisme éprouvant, oui, mais pas seulement, mesdames et messieurs! Satisfaite?

Le roman raconte tellement plus que cela: il aborde non seulement le doute, le désespoir, la foi et la science, mais il parle aussi de lourds drames familiaux et intimes. Je croyais que le texte allait se limiter à l'horreur simple et pure, mais non! il se révèle bien plus riche que le film. le texte a plus de temps pour développer l'intériorité des personnages.

-Y a des passages trop longs quand même! les pages de prières en latin, les hésitations de Karras...

-Oh, pas tant que ça...

-L'édition numérique, elle est pourrie! C'est quoi, ces points n'importe où?

-Oui, ça, c'est dommage.

Alors qui dit horreur dit bien sûr scènes horrifiques. Elles restent soutenables pour ma sensibilité, pour deux raisons: comme dans le film elles ponctuent l'action avec un rythme précis sans envahir toute la narration. Ensuite parce qu'elles sont décrites avec froideur, distance. Bien sûr que j'étais horrifiée par les souffrances de Regan, mais sans être submergée par le dégoût ou l'effroi.

-Et pourtant, croyez-moi, la sensibilité, elle connaît! Vous pourriez lui vaporiser un nuage de talc qu'elle vous dirait que ça pique, cette chochotte!

-Tout ceci pour dire que j'ai passé un excellente lecture en compagnie de persos passionnants et hauts en couleurs...

-Ah en effet, on peut le dire...

-Je pensais aux Engstrom et à Kinderman, Méchante Déidamie!

-Oui, eux aussi.

-(soupir) Quoi qu'il en soit, si vous avez aimé le film et si vous vous intéressez à la littérature horrifique, je ne peux que vous conseiller sa lecture!

-Et si vous avez les miquettes ou pas aimé le film, abstenez-vous, hein. 'Faut pas se faire du mal, la vie est assez compliquée comme ça, on va pas s'en rajouter."
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Un thème inoubliable, le Tubular Bells de Mike Oldfield.
Un lit qui bouge, une tête complètement retournée.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui descend les escaliers à quatre pattes… à l'envers.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à sa mère de sucer des queues... en Enfer.
Une petite fille qui vomit.
Une petite fille qui dit à un prêtre de lui enfoncer son crucifix dans son vagin.
Une petite fille qui vomit.
J'ai lu « l'exorciste » de William P. Blatty et ce sont toutes les images du film qui me reviennent sauvagement en mémoire.
Des images folles, crues, totalement abjectes. Et maintenant j'ai mis des mots, des phrases sur ces images si fidèles aux écrits. J'ai revu l'intégralité du film en tournant les pages de ce roman écrit en 1971.
Et comme Bret Easton Ellis qui signe une nouvelle préface de la dernière édition du roman, j'ai été marqué, très jeune, trop jeune, par le film. Un film devenu instantanément culte dès sa sortie, de l'affiche à la musique.
Une chose est sûre, le roman se lit comme le film de William Friedkin, le coeur bien accroché et la gerbe sur quelques cinq cents pages.

Un vomi qui sort en jet saccadé, couleur verdâtre je dirais. Précision importante, car si j'ai l'habitude de la gerbe littéraire, qui est toujours le fait de pauvres gars complètement bourrés, n'est-ce pas monsieur Chinaski, qui déversent leur humeur dans le caniveau, là c'est ma première gerbe de possédée. Possédée par le malin ou le diable, appelle-le comme tu le sens, question odeur, on est servi, Regan l'est. Et toute la question est de comprendre ce qui peut transformer une petite fille gentille et fluette en un monstre de vulgarité et meurtrier. C'est là qu'entre en scène l'exorciste !

Un grand moment à la fois cinématographique et littéraire qui secoue. Comment peut-on écrire une telle histoire. Écoute ces quelques notes de musique, simples mais entêtantes, et pourtant déjà le grand frisson. Sers-toi un grand verre de whisky, gorge râpée, un coin de cheminée, nuit blanche dans le fauteuil, lune éclairée sur un prêtre sous un réverbère. Peut-être qu'au fil des pages, le fauteuil s'élèvera aussi, cognera, pris dans une houle de fureur, diable malin en toi jusqu'au petit matin, feu éteint. Un prêtre au seuil d'une aube qu'on préférerait oublier.

Satan vs L'Exorciste, le combat du siècle dernier. In nomine Patris, et Filii, et Satana !
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Un quart de siècle a passé depuis que j'ai eu la mauvaise idée de voir le film. Dire qu'il m'a traumatisée serait en deçà de la réalité, durant 6 mois je fus dans l'obligation de dormir avec Grande Soeur... C'est donc avec récalcitrance, mais dans l'espoir de gérer la peur du Malin que je fis une petite prière et pris mon courage à deux mains, tout en ayant à ma portée crucifix, eau bénite, Bible etc...( la force est avec toi petit Padawan ) et lus ce qui suit " le soleil flamboyant faisait perler des goutelettes de sueur sur le front de l'homme, mais il serrait pourtant son verre de thé chaud et sucré entre ses mains comme s'il voulait les réchauffer...... "

Deux sentiments contradictoires après lecture, celui de la déception mais en même temps de l'autosatisfaction.

Déception car le livre ne m'a procuré aucun frémissement, les longues et interminables tergiversations du Père Karras m'ont agacée. Je sais, il n'y a pas plus cartésien qu'un homme d'église, je ne suis pas spécialiste en la matière et suis même quelque peu dubitative et surtout sceptique quant à la véracité d'une telle chose, mais lorsqu'on est face à un tel cas, celui d'une gamine de 12 ans qui a la souplesse du caoutchouc à faire pâlir Nadia Comaneci et consoeur, qui est polyglotte à se faire rhabiller un linguiste et tout un tas de phénomènes et de situations que même Batman il aurait peur, faut arrêter de pousser Mamie dans les orties... Ceci dit, les recherches du Père Karras sont intéressantes, grâce à elles, j'ai appris qu'un couvent Lillois avait été la proie d'une frénésie diabolique, ce qui me pousse à faire quelques recherches à ce sujet.

Autosatisfaction, et là paradoxe, je suis fort aise de ne pas avoir des dents claqué, et ainsi de ne pas avoir eu à mettre tout un rituel en place afin de m'apporter une certaine sérénité avant le coucher...

Toutefois, une leçon à retenir "De ne point avoir de tablette Ouija tu te dois!"
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Beaucoup de ceux qui se plongeront aujourd'hui dans l'enfer de ce livre, le feront suite au visionnage du film.
Ils ne seront pas déçus, tant ils sont proches par l'ambiance.
Car cette histoire est effrayante, principalement par son atmosphère oppressante et son ton à la fois clinique et malsain.
Glaçant pour les lecteurs de l'époque et sans doute encore pour les lecteurs d'aujourd'hui.
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critiques presse (1)
Lexpress
25 novembre 2011
Si ce roman effraie encore aujourd'hui, c'est moins par ce qu'il raconte que par le style clinique de l'auteur, par ses non-dits et par sa manière de dépeindre l'Amérique matérialiste.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (114) Voir plus Ajouter une citation
Il lança un coup d'oeil par la vitre de la portière : le Home Relief Station de la 23ème rue Est où, le samedi matin, au coeur de l'hiver, elle allait chercher son lait et ses pommes de terre pendant qu'il restait au lit ; le zoo de Central Park où elle le laissait l'été pendant qu'elle mendiait près des fontaines en face du Plaza. En passant devant l'hôtel, Karras éclata en sanglots puis refoula ses souvenirs et essuya les larmes de regrets cuisants. Il se demanda pourquoi son amour pour sa mère avait attendu cette séparation, attendu le moment où il ne pouvait plus la voir, la toucher, où les limites du contact et de l'abandon humain s'étaient réduites aux dimensions d'un faire-part imprimé fourré dans son portefeuille ; In Mémoriam...
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Chris Heurta le commutateur. Le tourna. Vit se dérouler les images pointillées et saccadées d'un film de cauchemar au ralenti : Regan et les docteurs se tordant sur le lit dans un enchevêtrement de bars et de jambes qui s'agitaient, dans une mêlée de grimaces, de râles et de jurons, et ce glapissement et ces hurlements et ce rire hideux, et Regan aboyant, Regan hennissant, et puis le film s'accéléra et le bois du lit qui remuait, qui tanguait violemment tandis que, pétrifiée d’horreur, elle regardait la scène sans pouvoir rien faire et que les yeux de sa fille roulaient dans leurs orbites et qu’elle poussait un hurlement aigu de terreur comme si on lui arrachait, sanglant et encore palpitant, un morceau de ses entrailles.
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Ils s'arrêtèrent devant le n°32. Le gardien à la physionomie inexpressive ouvrit le casier, comme il l'eût fait d'un tiroir de bureau, tout en mordant dans son sandwich, et une croûte recouverte de mayonnaise tomba sur le linceul.
Pendant un instant Kinderman fixa le sol ; et puis lentement, avec douceur, il tira le drap pour dévoiler ce qu'il avait déjà vu mais qu'il ne parvenait pas à admettre.
La tête de Burke Dennings était complètement retournée sens devant derrière.
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Il sait... je veux dire, le démon sait où frapper. (...) Jadis, j'ai désespéré de jamais pouvoir aimer mon semblable. Certaines gens... me dégoûtaient. J'éprouvais une réelle aversion pour eux. Comment pourrais-je les aimer? me demandais-je. Cela me tourmentait, Damien. Cela me conduisit à désespérer de moi-même... et de là, très vite, à désespérer de mon Dieu. Ma foi avait disparu. (...) à la fin, j'ai compris que Dieu ne me demanderait jamais ce que je savais être psychologiquement impossible ; tout ce qu'il me demandait était un effort de ma volonté mais il n'exigeait pas de moi que j'éprouve de l'amour pour mes semblables en tant qu'émotion, en tant que sentiment. Pas du tout. Il me demandait d'agir comme si j'avais éprouvé de l'amour pour eux en général, et plus particulièrement pour ceux qui me répugnaient. (...) Je sais que tout ceci doit vous paraître évident, Damien. Je le sais. Mais, dans ce temps-là, je ne pouvais pas le voir. Étrange aveuglement, dit-il tristement, comme celui de beaucoup de maris et de femmes qui pensent qu'ils n'aiment plus parce que leur coeur ne bat plus à la vue de leur bien-aimé ! Ah, Dieu ! (...) C'est là que ça se tient, je pense, Damien... la possession, pas dans les guerres, comme certains ont tendance à le croire ; pas dans de telle tragédies ; et très rarement dans des interventions extraordinaires, telles que celle-ci... cette petite fille, cette pauvre enfant... Non, moi je la vois plus souvent dans les petites choses, Damien : dans les stupides et mesquines petites contrariétés, dans les malentendus ; dans le mot cruel et cinglant qui vous échappe entre amis. Entre amoureux. Nous n'avons pas besoin de Satan pour préparer nos guerres ; celles-là nous les préparons nous-mêmes. (...) Et pourtant, même de cela, même du mal... sortira le bien. D'une façon ou d'une autre... D'une façon que nous ne comprendrons ou que nous ne verrons jamais. (...) Peut-être le mal est-il le creuset du bien. (...) Et peut-être Satan lui-même... Satan, malgré lui, sert-il, contre sa volonté, à accomplir la volonté de Dieu.
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Comme elle se retournait vers lui, elle remarqua qu'il se tenait là, immobile, la tête légèrement penchée sur l'épaule, en regardant en l'air, comme s'il était en train d'écouter... non, plutôt comme s'il percevait... une présence invisible... une espèce de vibration lointaine, connue et familière. Déconcertée, elle l'observa. Sa peau semblait tannée par les vents étrangers, par un soleil qui brillait, ailleurs, loin d'elle et de la maison.
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