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Critique de JessicaLumbroso
Belinda a une ribambelle de copines qui ne tombent que sur des « boulets », comme elle aime à les appeler : des hommes incapables d'aimer, ridicules et blessants. Autant dire que dans les 18 anecdotes racontées dans ce livre, on en découvre des vertes et des pas mûres sur certaines personnes.
Néanmoins, ce qui aurait pu être une excellente idée et un livre rafraîchissant et amusant, m'a semblé un peu lourd. La définition du mot « boulet » de Belinda n'est pas la même que la mienne, et là où certaines attentions me semblent touchantes, elle crie aux situations cocasses à fuir.
De plus, Belinda raconte l'histoire d'un point de vue externe, de sorte qu'elle rapporte les anecdotes des unes et des autres de ses copines de son point de vue à elle, avec ses ressentis également. Ce qui manque cruellement d'objectivité.
Au final, il s'agit bien d'anecdotes, alors ne vous attendez pas à suivre une histoire, un fil conducteur ou autre. On ne sait de Belinda que ce qu'elle nous livre à travers les discussions qu'elle a avec ses copines, autant dire pas grand chose. On la sait copine d'écoute, à ramasser les autres à la petite cuillère. Point. Quant à savoir quand se déroulent ces fameuses anecdotes, c'est un peu compliqué. On dirait bien que les faits sont rapportés sur près d'une dizaine d'années.
En attendant, je me suis ennuyée dans cette lecture, que j'ai poussé tout de même jusqu'au bout. Pourtant, l'auteur a des qualités de narration certaines... Mais cela ne suffit pas. Je n'ai pas aimé ces anecdotes, qui mettaient souvent les hommes en position critiques : entre cons, Tanguy, machos, jaloux, et autres... Mais on en vient souvent à oublier que les femmes n'en mènent pas plus larges, et que pour tout homme à côté de ses pompes, il y a une femme dans le même cas.
Enfin, j'ai eu énormément de mal à savoir qui était qui... Les prénoms de ses copines s'enchaînent, et le fait de nous dire à la fin ce qu'elles sont devenues ne m'a pas aidé à les différencier pour autant.
Une petite perte de temps pour ma part, ce qui est dommage, j'en avais entendu du bien...
Lien : http://passion-d-ecrire.blog..
Néanmoins, ce qui aurait pu être une excellente idée et un livre rafraîchissant et amusant, m'a semblé un peu lourd. La définition du mot « boulet » de Belinda n'est pas la même que la mienne, et là où certaines attentions me semblent touchantes, elle crie aux situations cocasses à fuir.
De plus, Belinda raconte l'histoire d'un point de vue externe, de sorte qu'elle rapporte les anecdotes des unes et des autres de ses copines de son point de vue à elle, avec ses ressentis également. Ce qui manque cruellement d'objectivité.
Au final, il s'agit bien d'anecdotes, alors ne vous attendez pas à suivre une histoire, un fil conducteur ou autre. On ne sait de Belinda que ce qu'elle nous livre à travers les discussions qu'elle a avec ses copines, autant dire pas grand chose. On la sait copine d'écoute, à ramasser les autres à la petite cuillère. Point. Quant à savoir quand se déroulent ces fameuses anecdotes, c'est un peu compliqué. On dirait bien que les faits sont rapportés sur près d'une dizaine d'années.
En attendant, je me suis ennuyée dans cette lecture, que j'ai poussé tout de même jusqu'au bout. Pourtant, l'auteur a des qualités de narration certaines... Mais cela ne suffit pas. Je n'ai pas aimé ces anecdotes, qui mettaient souvent les hommes en position critiques : entre cons, Tanguy, machos, jaloux, et autres... Mais on en vient souvent à oublier que les femmes n'en mènent pas plus larges, et que pour tout homme à côté de ses pompes, il y a une femme dans le même cas.
Enfin, j'ai eu énormément de mal à savoir qui était qui... Les prénoms de ses copines s'enchaînent, et le fait de nous dire à la fin ce qu'elles sont devenues ne m'a pas aidé à les différencier pour autant.
Une petite perte de temps pour ma part, ce qui est dommage, j'en avais entendu du bien...
Lien : http://passion-d-ecrire.blog..
