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EAN : 9782072888694
240 pages
Gallimard (04/03/2021)
3.55/5   280 notes
Résumé :
On rit. C’est étonnant parce que, pris séparément, aucun d’entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l’hilarité – or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon cœur et les voilà qui s’esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu’apporte avec lui l’Arbalète filant vers Paris.

1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (101) Voir plus Ajouter une critique
3,55

sur 280 notes
Lui-même prof, parent de deux enfants, Jean-Philippe Blondel dans son nouvel opus, nous raconte l'histoire d'une bande d'enfants et de leurs parents, des enseignants du primaire, habitant un groupe scolaire en province.

Nous sommes dans les années 70.
La femme, mariée et mère, travaille. Même avec des prétentions féministes, elle continue à remplir la totalité des charges domestiques et passe le plus clair de son temps à obéir aux diktats imposés par son conjoint . Ce conjoint qu'elle pense pouvoir garder que par le sexe et la cuisine ( information précieuse donnée par la maman ), ouille !
La bande d'enfants, microcosme de cette société dont on retrouve tous les sentiments humains à un stade encore verts, et dont le terreau est la famille est encore ouvert à l'espoir de l' homme idéal, parfait ....comme le jeune Philippe qui ayant mis la maman d'un ami sur un piédestal,même après une révélation très blessante de sa part sur son compte ne se résout pas à l'en faire descendre. Est-ce encore largement autobiographique ? le personnage du jeune Philippe Goubert serait-il inspiré de sa propre enfance ?
Quand aux parents, ils sont empêtrés dans leur vie familiale, mais pas que, car à
la même période comme chante Bob Dylan, “les temps changent”.....Et l'éducation nationale pensant que, qu'en temps qu'un groupe d'instituteurs ils s'endorment sur leurs lauriers et ne remettent plus en cause leurs pratiques pédagogiques, leur envoie «  un prof innovateur », qui pour eux ne peut être qu'”une taupe” aux desseins obscures.
« La taupe » va faire bouger les choses, mais pas qu'à l'école, quand à “La grande escapade “ qui en découlera , c'est le pitch de l'histoire......

Doté d'un sujet intéressant, de personnages à la psychologie fouillée ( Que dire du truculent esquisse du personnage de Big Coudrier is watching you !) et de petites trames aux détails cocasses en guise d'épices , le dernier Blondel est une brillante radiographie du corps enseignant et des familles de classe moyenne, de l'après Mai 68. Il est l'un de mes écrivains français préférés dont moult lectures de ses livres ne m'ont jamais déçue. Les sujets qu'il traite, écrits sans prétention mais avec intelligence et humour sont toujours intéressants à lire. Qu'ajouter de plus, sinon que de vous recommander sa lecture.



Un grand merci aux Éditions Buchet Chastel et NetGalleyFrance pour l'envoie de ce livre intéressant.
#LaGrandeEscapade#NetGalleyFrance


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Le roman débute au milieu des années 70, avec une bande de gamins dont l'un d'eux Philippe Goubert se retrouve suspendu à une corniche, à une douzaine de mètres du sol, alors qu'il jouait à "la pique", jeu plus souvent appelé au loup avec ses copains sur cette bordure de pierre d'un mètre de large qui longe les toits du bâtiment. Ceci se passe dans le groupe scolaire où les parents de ces enfants enseignent. En effet, dans ces années-là, la plupart des instituteurs et institutrices habitent sur place, c'est le temps des logements de fonction. le décor est donc planté et nous allons suivre pendant une année la vie de ces enseignants, de leurs conjoints et de leurs enfants et vivre avec eux les changements en train de s'opérer après ce fameux mai 68.
Jean-Philippe Blondel restitue de façon remarquable, sans jamais céder à la nostalgie, cette période où tout change, que ce soit à l'école avec l'arrivée de la mixité, les changements de méthode d'enseignement avec la célèbre méthode Freinet, la fin de la rigueur éducative, ou dans la société avec l'émancipation des femmes, notamment, qui n'hésiteront plus, pour certaines, à prendre l'Arbalète pour Paris. Toutes ces mutations s'opèrent dans un milieu fermé, en vase clos dans ce groupe scolaire Denis Diderot où on s'aime, on se déteste et on s'épie. L'entraide est bien présente mais les ragots aussi ! Se combine à toutes ces modifications sociétales, le passage de l'enfance à l'adolescence pour notre bande de copains.
La grande escapade, avec cette galerie de personnages tous croqués avec beaucoup de justesse et beaucoup d'humour, redonne vie à cette époque pas si lointaine des années post soixante-huitardes. C'est un roman social, plein de délicatesse où la mélancolie est latente, où les émotions sont omniprésentes et les éclats de rire aussi, un roman où on ne s'ennuie jamais, un régal de tendresse et de vie. C'est un livre d'autant plus agréable à lire lorsqu'on a vécu ces années-là. Jean-Philippe Blondel est, décidément, un de mes auteurs préférés.
Je remercie les éditions Buchet Chastel pour cette superbe découverte.

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Brevet des collèges en ...68 , école normale d'instituteurs en 69 , premier poste en 73 , mariage en 75 , service militaire en 76.....Vous pensez bien que j'ai " sauté " sur ce bouquin dont j'ai pensé , à juste raison , qu'il avait été écrit pour moi ....Et puis , Blondel , on aime ou on n'aime pas et moi , j'aime....
Et je n'ai pas été déçu , profitant du talent de l'auteur pour me " vautrer " dans une période qui m'est familière , revivant des situations dont j'aurais pu être le témoin, même si je n'ai pas connu la vie en " collectivité " comme c'est le cas ici , et si la mixité dans les classes a toujours accompagné ma scolarité ....Ah les fêtes de l'école , travail effectivement colossal pour quelques minutes de spectacle qui , aux yeux des parents , servait aussi à
" juger" de la qualité de l'enseignant ....Des parents qui allaient rapidement " faire une entrée fracassante dans l'école " et jeter un regard pas toujours très objectif sur le travail de maitres qui , à leur avis , prenaient tout de même trop d'importance et s'octroyaient bien des prérogatives quant au travail et à la conduite des " chères petites têtes blondes " en route vers une nouvelle période, celle dite de " l'enfant roi " , autonome , responsable .....Ah , nostalgie ....
Et puis il y a ces adultes si différents , jaloux pour certains de voir leur " relation aux enfants " contestée par de nouveaux collègues aux méthodes innovantes et ludiques , suscitant l'admiration de l'inspection , reléguant les " hussards noirs " au second plan au risque de les priver de la récompense ultime , " les palmes académiques " dont a d'ailleurs si bien parlé l'extraordinaire Marcel Pagnol .Ce " passage vers un monde nouveau " ne se fait pas sans grincement , tout se " chamboule " , tout est bousculé , et la société patriarcale explose au grand dam des hommes , bien sûr , mais pour le plus grand plaisir de femmes enfermées jusqu'alors dans un carcan dévalorisant...C'était en 75 . Nous sommes en 2020....Que pensez - vous , mesdames de cette évolution ?....Pour ma part , je me garderai bien de tout commentaire ....Facile ? Oui , mais ...je suis un homme et donc...Mon petit doigt me sussure toutefois qu'il reste " encore du boulot ...non ? J'dis ça, j'dis rien....
Blondel fait vivre cette période à travers des personnages variés et plaisants .Les surprises sont tout de même nombreuses , dramatiques ou cocasses , on rit ou on prend un ton grave mais on ne reste jamais indifférent et , avec cet auteur , on ne sait pas toujours si " c'est du lard ou du cochon " pour reprendre une expression de l'époque .
J'ai beaucoup aimé ce livre pour tout ce qu'il m'a apporté de souvenirs nostalgiques . Être à ma place est un luxe que d'autres lecteurs plus jeunes n'auront peut - être pas même s'il est toujours agréable de " retrouver une école aujourd'hui disparue ". Un roman qui sait faire ressentir " une époque charnière " , post - soixante- huitarde , bien différente de celle qui est nôtre aujourd'hui .Un bon témoignage qui devrait plaire à beaucoup .
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Tableau d'une époque révolue, dans un monde en pleine mutation, alors que mai 68 n'a pas encore réussi à faire disparaître le ronron de l'enseignement : les pédagogies nouvelles font hurler au fou ceux qui tirent encore les oreilles ou font agenouiller les cancres sur des règles métalliques.

C'est en effet au sein d'une petite communauté de profs, contraints au voisinage imposé par les logements de fonction qu'une petite bande de garçons vit sa vie, comme un entrainement pour la future vraie vie, chacun endossant un costume qui ne lui convient pas toujours : on distingue les futurs chefs, les éternels soumis, les dépressifs , qui s'affrontent dans des querelles vaines.

Entre les adultes, les jeux sont plus dangereux : infidélité, commérages, lutte de pouvoir…


Cette chronique des années 70 est réjouissante, riche d ‘événements et de traditions oubliées. Mais c'est aussi une fine analyse des processus évolutifs d'une société qui sort de son ankylose, avec une jeunesse prête à bousculer les codes et décidés à prendre le relais de leurs ainés qui ont cherché la plage sous les pavés, pour se saisir des armes qui leur donneront l'illusion d'un pouvoir sur la marche de l'histoire.

C'est écrit à la façon d'un documentaire, que les personnages qui défilent rend vivant.

On ne s'y ennuie pas une minute, et surtout sans doute quand on a vécu cette période à l'âge qu'ont les enfants de la Grande Escapade.

#LaGrandeEscapade #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Un portrait de groupe. Les enfants devant. Philippe, Baptiste, Pascal, Christian, Julien et Nathalie. Les parents derrière. Michèle Goubert, la directrice de la maternelle, Gérard Lorrain, celui du primaire, mais aussi Francine Berger, Charles Florimont et bien d'autres. Au coeur de cette école, les instits habitent tout près les uns des autres, dans des appartements de fonction. Les gamins sympathisent, inévitablement, jouent ensemble. Quand arrivent les grandes vacances, chacun vaque de son côté... pour se retrouver de nouveau ensemble à la rentrée. Ensemble mais différents. Les enfants grandissent, les femmes s'émancipent, les hommes s'interrogent...

Jean-Philippe Blondel photographie avec finesse, humour et réalisme une toute autre époque. Celle des années 70. Plongé au coeur du groupe scolaire Denis-Diderot, l'on se délecte de tous ces faits et anecdotes, de ces bruits de couloir, de ces messes basses dans le grenier ou la cabane secrète, de ces échappées interdites. L'on suit l'évolution des gamins qui grandissent et changent, l'on s'adapte à la mixité scolaire et aux nouvelles méthodes de travail. C'est dans ce décor que l'auteur nous invite à partager une année avec tous ses personnages, de Gérard Lorrain, directeur qui voit d'un mauvais oeil les nouvelles méthodes de travail, à Michèle Goubert, un brin coincée, en passant par Baptiste qui quitte son meilleur ami, Philippe, pour aller au collège ou encore ce même Philippe qu'on dit un peu étrange. Une galerie de personnages avec leurs défauts, leurs espoirs, leurs désillusions, leurs rancoeurs ou leurs blessures. Inscrit dans un contexte social passionnant (milieu des années 70 où la place de la femme change et où l'image de la famille est importante), cette chronique douce-amère est empreinte de tendresse et d'émotions mais aussi teintée d'une touche de nostalgie...
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critiques presse (1)
LaCroix
23 août 2019
Le très beau roman de Jean-Philippe Blondel est une plongée dans le monde matérialiste et étouffant des années soixante-dix.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Citations et extraits (65) Voir plus Ajouter une citation
Il règne entre toutes les femmes de France une sorte de compétition amicale pouvant virer à l’aigre autour de la pâtisserie. Les épouses ont appris de leurs mères que l’on ne garde un homme que par le sexe ou la cuisine et, l’âge et l’habitude aidant, elles se sont toutes tournées vers la confection de gâteaux plus ou moins compliqués qui, s’ils ont le défaut d’empâter encore leurs maris dont les ventres se mettent à gonfler autour de la quarantaine, ont du moins la vertu de les faire fondre mentalement– ils deviennent, à la fin du repas, de molles marionnettes faciles à manipuler........Certaines se sont d’emblée extraites de ce concours tacite.....
D’autres, en revanche, sont de redoutables adversaires, notamment Geneviève Coudrier dont le parfait aux fraises a conduit son époux à changer trois fois de taille de pantalon, au point que, ajoutent malicieusement ses concurrentes, il a maintenant atteint la même circonférence que sa femme, dont les chairs opulentes sont une véritable référence dans le quartier.
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Le monde est en train de changer et il est contre-productif de s'arc-bouter sur ses anciennes croyances. Elles seront balayées comme les autres. Mai 68 a perdu le combat politique mais gagné la bataille culturelle : les idées de liberté et les envies de transgression se disséminent dans la société et, même si les hippies français semblent dernièrement s'effacer au profit d'une génération superficielle et clinquante qui ne vit que pour les samedis soir en discothèque, leur héritage restera ancré dans les différentes couches du pays.
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" Janick, ne le répète pas, mais je déteste les fêtes d'école. Toute cette agitation, toutes ces répétitions pendant des semaines durant, pour deux petites minutes qui ne servent à rien.
- À fabriquer des souvenirs, peut-être ?
- C'est si important que ça ? dans quelques années, toutes les photos prises finiront dans un carton qui montera au grenier et que personne ne regardera jamais. Et quand les petits-enfants en hériteront, ils jetteront tout au feu.
- Je te trouve bien sombre, dis donc. "
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Faire un tour. Marcher dans cet environnement désert pour le moment. Tenter de remettre une vie en marche et de trouver une direction. Jusqu'à il y a peu, tout semblait si simple. On écoutait des parents. On tentait de les dépasser. On amassait de l'argent et des responsabilités parce qu'on accomplissait bien les tâches qui nous incombaient. On montait tranquillement l'échelle sociale, tous ensemble, le confort dans les logements, l'eau chaude, les cuisinières électriques, la machine à laver, le monde entier marchait vers un avenir meilleur où les hommes et les femmes auraient davantage de temps à consacrer à leurs loisirs. Parfois, oui, il y a avait des mouvements révolutionnaires, des insurrections, des centaines de morts dans les pays d'Amérique latine ou d'Asie, un mois de mai révolté en France, mais, bon an mal an, dans leurs rafiots, les hommes tenaient plus ou moins le cap. Et puis, il y avait eu, quoi, un raté, une faiblesse, on avait failli tomber et en se relevant, on avait remarqué que le monde s’était légèrement modifié. On s'était dit que ce n'était pas si grave, tout semblait avoir repris sa place, mais très vite il avait fallu se rendre à l'évidence, les lignes avaient bougé, révélant des failles, des gouffres, des abîmes, de nouvelles aspirations se faisaient jour, des revendications, des décisions. Reine Esposito se mettait à courir le long des murs de briques en hurlant qu'elle voulait être prise, là, maintenant. Geneviève Coudrier se détachait de l'encoignure dans laquelle on pensait qu'elle resterait à exister pleinement. Janick, guidée par un patron soudain devenu mentor , tirait des plans sur la comète et transformait le quotidien en piste aux étoiles. Aucune de ces femmes ne lui demandait rien - elles s'imposaient, dans la démence ou dans l'assurance tranquille, et elles souriaient en ajoutant que le monde ne serait plus jamais le même. Les écoles étaient mixtes. Des inspectrices remplaceraient bientôt les inspecteurs et viendraient s'installer au fond des salles de classe pour juger du travail effectué. Gérard Lorrain et ses amis randonneurs deviendraient en quelques années une survivance, un morceau de cet univers où jadis les hommes pensaient qu'ils menaient la danse.
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.....il y avait eu ce stage à l’intitulé rébarbatif– « La littérature au sein des écoles de l’enseignement public ». Michèle s’y était inscrite parce qu’elle en avait assez de lire aux petits de la maternelle des histoires de cochons réfugiés dans leurs maisons pour échapper au loup et de poules rousses qui rangent impeccablement leurs intérieurs.
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Vidéo de Jean-Philippe Blondel
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