Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre a écrit sur le rugby des pages d'anthologie. Antoine Blondin aura aimé, d'amour tendre et désespéré, la littérature, l'amitié et le sport. Surtout le rugby, amour tardif, mais qui le conduisit à chroniquer des matches du Tournoi, ou du Championnat ; ou bien à digresser sur l'essence britannique de ce jeu. On retro... >Voir plus