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3,99

sur 363 notes
Je me souviens de ces Club des Cinq qui précédèrent, pour moi, Les Signes de Piste, Jules Verne, Daudet, Pagnol et Conan Doyle!
Ces Bibliothèque Rose créèrent mes premiers paysages littéraires dans ma jeune tête enfantine.
C'était des histoires simples mais captivante pour le futur Horusfonck... Des récits avec des images hors-texte qui sont restées gravées dans ma mémoire.
Un jour, je chiperai le temps pour relire l'un des tomes des aventures de ce club, en me replongeant dans ce temps si court et si riche de l'enfance: L'époque des chasses au trésor...
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Je me souviens d'une petite fille sage et plutôt solitaire qui aimait tellement les livres qui lui permettaient de découvrir des amis avec qui partager de belles aventures.
Je me souviens de cet été où la petite fille découvrit François, Annie, Michel et Claude, sans oublier le fidèle Dagobert.
Je la revoie captivée, prise dans sa lecture, sourde aux appels répétés de sa mère.

Les années ont passés, la petite fille est devenue mamie, et au moment de faire découvrir ces livres à ma « brunette d'amour », je me souviens…

La Bibliothèque Rose a garni les étagères de ma bibliothèque d'enfant, les livres d'Enid Blyton m'ont passionnée, fait trembler mais surtout et avant tout m'ont donné un goût immodéré pour la lecture.

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Après une lecture éprouvante, rien de tel qu'un bon vieux Club des 5 pour se replonger en enfance. Mais dans la version originale bien sûr !
L'occasion de faire ressurgir l'insouciance qui nous habitait alors et de nous rappeler que tout est possible !
Malgré l'évidente accessibilité au jeune public, une relecture à l'âge adulte reste agréable !
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Première aventure de la fameuse équipe "familiale" composée de François, Mick, Annie, Claud(in)e et du fidèle chien Dagobert.
J'ai découvert le Club des cinq par cette histoire à l'âge de 10 ans environ et j'ai rapidement été conquis par les personnages (et le sacré caractère de garçon manqué de Claude entre autres), le style employé par E. Blyton et surtout les aventures que ces protagonistes étaient amenés à vivre. J'ai à ce titre très vite demandé à ce que je puisse découvrir les autres épisodes de la série et de la Collection Bibliothèque Rose.
Pour moi, c'est une série incontournable d'une époque, comme nos parent sont pu en connaître lors de leur propre enfance.
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Club des cinq
Enid Blyton

C'était mon choix, probablement mes premières lectures littéraires. Je ne sais pas si ça s'adressait aux enfants de CE2 ou aux ados, ça s'adressait à moi en tout cas et je n'ai en effet demandé l'avis de personne pour entrer dans ce monde de l'aventure et du mystère, à peu près à la vitesse de mon chat quand il franchit les murs..

Toute la série du Club des cinq qui m'a fait rêver au sortir de mon enfance, vers ma dixième année, en bibliothèque rose, signée du nom énigmatique pour moi à l'époque : Enid Blyton . J'ai la chance de les avoir conservés ; Je les conserve précieusement. Je n'ai vraiment pas l'idée de m'en séparer un jour, impossible de concevoir cela. C'est un monument secret inaltérable dans mon jardin intime.. Ils ne seraient plus là à côté de moi dans ma bibliothèque que leur manque mutilerait mon souvenir. de fait ils ont une vie d'objet maintenant qui seuls ont une valeur incommensurable à mes yeux..
Curieusement, je n'éprouve pas le besoin de les relire, d'en brasser les pages, plutôt devrais-je le dire au passé pour être précis. Ils font partie de ma vie passée, indéfectible.. Non pas que les personnages se soient désincarnés en moi, ils ont juste correspondu à un moment de ma vie, je les respecte comme un coin de richesse de mon enfance : ils ont forgé mon tempérament, phare de mon existence.. Je me suis certainement identifié aux personnages, leur lecture passée, j'ai été accaparé par d'autres lectures propres à mon adolescence, sans ménagement je pense, et puis j'avais épuisé la série . Je n'ai peut-être pas les mots pour parler de ça aujourd'hui. D'ailleurs le fait de dire trois mots là dessus est le hasard ..

Je suis persuadé maintenant que la lecture du Club des cinq m'a aidé à me construire, et au delà de cette formule bateau, elle m'a permis de mesurer que les interdits parentaux et sociétaux me privaient de certaines libertés et bridaient ma jeunesse ; une rebellion assumée dans un imaginaire à travers ces livres a nourri mon équilibre de vie pour plus tard.
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Un bon livre pour lire le soir à ces enfants avant de s'endormir.
La mise en route est un peu longue.
Mais l'histoire devient vite palpitante.

J'ai lu l'édition originale.
Il n'y avait donc pas les simplifications de vocabulaire et de grammaire de l'édition récente
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J'ai déjà commencé à méditer cette petite chronique, il y a un certain temps. C'est assez rare que j'y réfléchisse pendant tant de temps, car je fais confiance en la spontanéité. Ma réflexion est parti de ce constat : le fait que rare soit les jeunes à lire le Club des Cinq, n'est qu'un des nombreux symptômes de l'abandon de l'activité nommée littérature. Et, ayant fait ce constat, j'ai décidé de faire d'une digression une part essentielle de ma critique. Une digression ? Une digression ? Il me semble que cette digression est en rapport avec le Club des Cinq, pusqu'elle en explique l'utilité. Est-ce donc une digression ? Bon, peu importe. J'en viens à cette fameuse… euh… digression, nommons-là digression, au moins on aura un nom à lui donner. Quelle est l'utilité de cette oeuvre, qui n'est pas littérairement exceptionnelle, quoique sympathique ? le grand avantage des oeuvres, tels que le Club des Cinq, est d'être une initiation à la littérature. Donner à un enfant de sept, huit ou neuf ans, un Club des Cinq, c'est faire commencer sur une bonne voie une vie de lecteur. Et en ces temps, cela est plus urgent que jamais, car nos jeunes-c'est une évidence-lisent moins. MAIS POURQUOI ? Que s'est-il passé ? Eh bien d'autres occupations l'ont supplanté. Je pense à la télévision et aux autres appareils du même type. Au risque d'offenser notre culte du progrès ( mais le progrès est une chose toute relative ; en 1945, le Monde se félicitait du progrès technologique que constituait la bombe atomique ), je dirais que ces changements n'ont pas eu que de bons effets, et qu'ils en ont eu aussi de très mauvais. Ces appareils, parfois utiles, sont souvent mal employés. C'est souvent le cas pour les jeunes. L'on expose les jeunes trop tôt à ce genre d'appareil, lorsqu'il n'ont pas encore la maturité nécessaire pour les utiliser. Et ce n'est pas sans risque. Si un jeune regarde n'importe quoi à la télévision, sans le recul nécessaire, il est évident que cela aura des conséquences néfastes. L'on pense à la télévision, mais l'on peut aussi penser aux téléphones, qui sont maintenant de véritables ordinateurs de poche. Les risques sont multiples : la dépendance, bien entendu, mais aussi le cyberharcèlement, par exemple. Il vaut mieux réfléchir à deux fois avant de décider d'offrir à un jeune garçon ce genre d'objet. A l'inverse, la lecture est une activité enrichissante, et sans risque. Lire couramment, c'est user couramment de nombre de ses capacités intellectuelles. La littérature déploie l'imagination. Et tandis que le spectateur, devant sa télévision, est généralement passif, le lecteur est à l'inverse, actif : il fait sa lecture, il construit son expérience littéraire. Il imagine, il ressent, etc. La lecture d'un livre peut être une expérience très intense. A l'inverse, devant la télévision, il n'y a même pas besoin de ressentir. Il suffit d'attraper un flot d'images et de sons. Voilà pourquoi le Club des Cinq est utile.
j'en arrive maintenant à ce roman : il est agréable, pittoresque, rien n'y est prévisible. C'est une lecture pleine d'agrément.
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J'ai régressé le temps d'un livre...Que cela est agréable de se replonger dans un des premiers livres (ou série) que l'on a lu...Mais j'avais oublié certains détails...A cette époque les enfants buvaient de la bière quand ils se restauraient...si si véridique...plusieurs fois dans le livre...;)
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En lectrice compulsif (et quand il n'y a pas grand chose d'autre à faire pendant les vacances chez mamie), je suis allée fouiller dans la bibliothèque de la chambre de mon père. Et là que vois-je : le club des cinq (et pas qu'un seul). de fait, autant commencer par le début, et découvrir les premiers pas du club. François, Michel et Annie partent en vacances chez leur oncle et leur tante où il font la connaissance de leur cousine Claude. le premier contact est difficile mais les enfants deviennent vite inséparables. Accompagnés du fidèle Dagobert, ils se lancent à la recherche d'un trésor perdu. Un beau souvenir de lecture.
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Dans ce volume fondateur du club des cinq, sont exposés les relations familiales et les caractères de chacun. Ceux-ci sont bien marqués et l'on aura plaisir à voir l'évolution choisie par l'auteur, pour chacun d'entre eux.
De même on découvre le cadre qui sera bientôt familier aux enfants et Dagobert : la villa des mouettes, la ferme et l'île de Kernak.
Les péripéties se succèdent, le rythme ne faiblit pas, les rebondissements s'enchaînent pour faire un véritable roman d'aventures.
La réussite est totale, surtout dans cette version des années 60 dont le syntaxe et le vocabulaire n'ont pas encore été édulcorés, voire massacrés.
La syntaxe est soignés, les conjugaisons variées et adaptées pour constituer un écrit solide, loin de ce qui est proposé actuellement voire même de certains romans de soi-disant auteurs actuels.
Certains diront que l'on n'a que des bons sentiments, que les méchants sont punis, que les bons triomphent mais c'était la conception de l'époque et certainement plus positive des publications actuelles qui tendent par trop à valoriser les valeurs de violence, l'absence de solidarité, d'entraide.

J'ai relu ce livre pour le confronter aux images qu'il me restait ou plutôt au ressenti que j'avais conservé. Je m'attendais à être déçu et pas du tout, j'ai compris pourquoi j'avais tant aimé ces séries puis celles des Michel, des Six compagnons. On y trouve de l'entraide, la vie en groupe si importante à cet âge tout comme les relations d'amitiés. J'y ai trouvé une intrigue, un décor et un écrit faisant la part belle au rythme, à la richesse de la phrase et aux descriptions si favorables à l'imaginaire en permettant des constructions mentales. J'ai tellement aimé que je pense que je vais m'en refaire un de temps en temps... et aussi relire quelques uns des autres séries que j'avais aimé alors !

Un roman que je donnerais encore à lire à des enfants d'une dizaine d'années.
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