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Critique de Alfaric
Ce tome 3 est divisée en deux parties bien distincts :
- dans un 1er temps l'entraînement infernal du Mont Ji-Ri est l'occasion de se poser un peu et de développer un relationship drama dans Ken Kitano est la clé… C'est aussi plein d'humour avec les moines instructeurs militaires (ou les instructeurs militaires moines), la Team Sun-Rock qui fait le mur pour se remplir la panse qui à chasser le lapin et fuir les ours, et ses différents membres qui chacun son tour essaient de faire la peau à leur sifu (ainsi que les gros délire avec Kae-Lyn Kim qui décide de se donner corps et âme à Ken dont elle a fait sur un coup de tête son nouveau boss)
- dans un 2e temps Ken retrouve Miss Yoo qui après de nouveaux viols collectifs a été obligée de retournée à la prostitution dont il l'avait libérée, et il part en croisade avec ses nouveaux mousquetaires pour libérer les miséreux et les miséreuses des hameaux de plaisirs tenus par les maquereau du groupe Gal-ki qui fait du retour sur investissement à marche forcée en attendant du business immobilier avec les autorités
C'est tellement over the top qu'il impossible de prendre tout cela au premier degré (toutefois Boichi passe parfois en mode serious business, et la lutte des classes pète la grande classe !). C'est la grosse baston entre mafieux mais c'est aussi la révolte des gueux, et c'est en protégeant les gens d'en bas contre les gens d'en haut que Ken Kitano entre la grande et longue histoire des Robins des Bois coréens (au hasard les personnages du manhwa "Le Nouvel Angyo Onshi" et les personnages du film "The Pirates", parmi beaucoup énormément d'autres). Car les Coréens sont un peuple épris de justice et là-bas on n'hésite par à destituer celui qui ne sert pas les intérêt du peuple au lieu de dire « ta gueule, t'avais qu'à mieux voter » et laisser faire une petite minorité (c'est ce que élites à la con et les médias prestitués appelle « la vraie démocratie » : j'écrirais que les bras m'en tombent si je n'étais pas aussi vénère contre ces bullshits institutionnalisées)…
Ken se demande si tout cela n'a pas été organisé de main de maître par Tae-Soo Park quand il tombe sur Yumin l'amour de sa vie elle aussi en pleine remise en cause d'elle-même… Mêmes qualités et mêmes défauts qu'auparavant : To Be Continued !
- dans un 1er temps l'entraînement infernal du Mont Ji-Ri est l'occasion de se poser un peu et de développer un relationship drama dans Ken Kitano est la clé… C'est aussi plein d'humour avec les moines instructeurs militaires (ou les instructeurs militaires moines), la Team Sun-Rock qui fait le mur pour se remplir la panse qui à chasser le lapin et fuir les ours, et ses différents membres qui chacun son tour essaient de faire la peau à leur sifu (ainsi que les gros délire avec Kae-Lyn Kim qui décide de se donner corps et âme à Ken dont elle a fait sur un coup de tête son nouveau boss)
- dans un 2e temps Ken retrouve Miss Yoo qui après de nouveaux viols collectifs a été obligée de retournée à la prostitution dont il l'avait libérée, et il part en croisade avec ses nouveaux mousquetaires pour libérer les miséreux et les miséreuses des hameaux de plaisirs tenus par les maquereau du groupe Gal-ki qui fait du retour sur investissement à marche forcée en attendant du business immobilier avec les autorités
C'est tellement over the top qu'il impossible de prendre tout cela au premier degré (toutefois Boichi passe parfois en mode serious business, et la lutte des classes pète la grande classe !). C'est la grosse baston entre mafieux mais c'est aussi la révolte des gueux, et c'est en protégeant les gens d'en bas contre les gens d'en haut que Ken Kitano entre la grande et longue histoire des Robins des Bois coréens (au hasard les personnages du manhwa "Le Nouvel Angyo Onshi" et les personnages du film "The Pirates", parmi beaucoup énormément d'autres). Car les Coréens sont un peuple épris de justice et là-bas on n'hésite par à destituer celui qui ne sert pas les intérêt du peuple au lieu de dire « ta gueule, t'avais qu'à mieux voter » et laisser faire une petite minorité (c'est ce que élites à la con et les médias prestitués appelle « la vraie démocratie » : j'écrirais que les bras m'en tombent si je n'étais pas aussi vénère contre ces bullshits institutionnalisées)…
Ken se demande si tout cela n'a pas été organisé de main de maître par Tae-Soo Park quand il tombe sur Yumin l'amour de sa vie elle aussi en pleine remise en cause d'elle-même… Mêmes qualités et mêmes défauts qu'auparavant : To Be Continued !
