J'avais écrit une première critique de ce livre, longue comme le bras, mais mon disque dur est mort et j'en ai perdu le brouillon, vous me pardonnerez donc la courtesse de celle-ci, le désordre des idées. Et le vocabulaire fleuri... il faut bien trouver un exutoire à ma haine de ce roman :)
La dernière impression que je retire de ce livre est ... un immense foutage de gueule! à tel point que, si je n'avais pas acheté les tomes 2 à 4 de cette série en une fois, je n'aurais pas acheté le tome 4 après cette lecture. Même ainsi il m'a fallu lire un autre livres d'un genre complètement différent avant d'attaquer le tome 4... c'est dire le peu d'estime que je porte à ce livre et surtout à son auteur.
Le style est horrible à lire, avec des fautes de français qui ne sont pas excusables par la différence de language France-Quebec, des incohérences de narration ( point de vue et surtout changement soudain de temps de conjugaison qui ne passent pas du tout!), et des incohérences temporelles
L'auteur est clairement un gros obsédé sexuel ( et basique en plus de ça: SEINS CUL baaaave... c'est à peu près comme ça que je l'imagine après la lecture de ce tome).
le récit reste toujours aussi basique, et - il faut bien le dire - est plein de lacunes et d'incohérences, sans grand intérêt. Un seul élément un peu inattendu sort (un peu) du lot, et me fait penser que le fils d'orrotaresh serait en fait une fille très proche de notre héros principal. Sorti de ça: aucune surprise, aucune originalité.
Le récit se traine en longueur également, de plus en plus. Et se baigne dans l'absurdité et la facilité ( Sokar qui gagne l'amitié de son nouveau mentor en 2 pages alors que le mentor en question ne voulait pas de lui ? non mais serieux ?)
Il faut rajouter également que l'élément "qui sont les bons, qui sont les mechants?"du résumé du 4eme tome se voit arriver comme un éléphant dans un couloir: En effet, Aurora, personnage influent s'il en est dans l'ordre est à peu près la plus grande connasse que cette terre ait vu!
On oublie Mendoza en 2 battements de cils pour soudainement s'en rappeler vaguement à la fin du tome. Tout ça pour permettre à Sokar de finir sa formation de moine avec des disciplines qui sont... hé bien... un gros ramassis d'anneries (discipline d'empathie ?? Comme on dirait au québec : FOR REAL ??? )
Et pour clore en beauté ce magnifique roman, une scène à la hauteur du reste de la série et du style de l'auteur, en manque cruel d'imagination. Sans spoiler, vous verrez quand vous y arriverez ( si vous persistez jusque là), on dirait une mauvaise imitation du combat palpatine versus Ioda. Ioda en moins, palpatine en pourri...
Grands dieux, il va falloir que je me farcisse le tome 4 maintenant... Si vous n'avez pas commencé le premier tome, arrêtez vos avant de faire une bêtise, car il vous faudra passer par cet horrible, insipide, inimaginatif et vulgaire tome 3... Je ne promet même pas de finir le tome 4 tant la série s'enfonce dans la médiocrité au fur et à mesure...
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De retour au Monastère Forestier en reconstruction, Sokar et son Mentor nuitamment suivent une homme suspect dans les catacombes de l'ancien monastère aujourd'hui en ruines. En fait il s'agit de Mercurus à la recherche d'un artefact Arkhaznien. Ayant mis à l'abri son apprenti, un combat s'engage entre le sorcier et le Maître, Sokar en fermé ne peut entendre que le bruit de la dispute et les sorts qui s'échangent. Quand il parvient à se libérer, les deux hommes ont disparus. En se dirigeant vers la sortie il rencontre Mercurus qui le transforme en poireau,... il se réveille brutalement d'un mauvais cauchemar.
Une fois de plus sans mentor, il est envoyé au Monastère Volcanique...
Le jeune homme poursuit alors sa formation, mais un incident va encore l'obligé à changer de lieu.
L'auteur adopte le même synopsis que dans le précédent opus, se succèdent alors des thèmes récurrents du genre : un artefact à compléter, un temple sur une île volcanique , une épée aux pouvoirs surnaturels, des cauchemars récurrentes pour l'apprenti, et bien entendu les suites de la prophétie d'Orrotaresh... une bibliothèque secrète
Comme à son habitude l'auteur nous détaille les classiques du genre sans vraiment que ces différents éléments n'est à première vue n'est de rapport entre eux. Il faudra attendra la toute dernière partie pour que le lecteur puisse leurs interactions.
La formation des jeunes apprentis, Maya et Sokar se poursuit, et l'on découvre encore certains Pouvoirs des moines. Pour les deux jeunes gens la formation tire à sa fin. Ce qui devrait peut-on le supposer nous livrer un quatrième volume plus épique. Sans que vraiment le rythme de lecture s'en ressente il faut reconnaître que l'action n'est pas omniprésente. C'est souvent le cas des fantasy initiatiques. Mais heureusement le final s'emballe et re-situe l'intrigue principale, à savoir les dangers qui planent sur l'Ordre, mais également la possibilité d'invasion des barbares Arkahziens.
Un tome sans réelles surprises, comme le tome précédent celui-ci se révèle transitoire. le style simple de l'auteur et la facilité de lecture permettent au lecteur de se divertit agréablement malgré le manque de profondeur du récit.
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