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Critique de oiseaulire


Bolano a composé cette oeuvre en même temps que 2666 et l'a remise à son éditeur la veille de sa toute dernière hospitalisation. Elle contient plusieurs nouvelles (les deux plus belles à mon sens étant "le gaucho insupportable" et "le voyage d'Alvaro Rousselot") ainsi que son testament littéraire. Il y rend hommage à ceux qu'il considère comme les deux plus grands poètes français : Baudelaire et Mallarmé.
L'entrée en littérature de cet homme s'est donc faite par la poésie, et la fin de son chemin fut éclairé, autant qu'il l'a été possible, par la poésie. Il a vécu surtout pour elle et lui a été fidèle jusqu'au bout. C'est émouvant.

En plus du romancier que nous connaissons, cet homme fut un grand poète chilien.

Adios Roberto Bolano !
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